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Thérapeutique : évolution de l’antibiorésistance des mycoplasmes responsables de l’Agalactie Contagieuse Caprine (hors M. agalactiae)

François Poumarat, Jaquemine Vialard, Dominique Le Grand, Florence Tardy

N°38 - LES MYCOPLASMOSES CHEZ LES RUMINANTS LES ENTÉROCOQUES DANS LA FILIÈRE VOLAILLE

PLAN DE L’ARTICLE
LA MISE EN ÉVIDENCE DE RÉSISTANCES ACQUISES ET DÉFINITION D’UN SEUIL DE RÉSISTANCE ÉPIDÉMIOLOGIQUE
Tableau 1 – Caractéristisques des 354 isolats mycoplasmiques utilisés dans cette étude
La distribution des concentrations minimales inhibitrices vis-à-vis de six antibiotiques dans un échantillon représentatif au niveau national de 48 isolats contemporains de Mcc, 48 de Mmc et 48 de Mput
Macrolides et lincosamides
Figure 1 – Distributions des concentrations minimales inhibitrices vis-à-vis de la tylosine, de la tulathromycine et de la lincomycine
Tétracyclines (oxytétracycline)
Les fluoroquinolones (enrofloxacine)
Les aminosides (spectinomycine)
Figure 2 – Distribution des concentrations minimales inhibitrices vis-à-vis de l’oxytétracycline et de l’enrofloxacine
Les associations de résistances
Définition des seuils de résistances épidémiologiques
FRÉQUENCE, RÉPARTITION ET DYNAMIQUE DES RÉSISTANCES ÉPIDÉMIOLOGIQUES CONSTATÉES VIS-À-VIS DES MACROLIDES ET LINCOSAMIDES AU NIVEAU NATIONAL
Figure 3 – Proportions annuelles des isolats de M. capricolum subsp. capricolum sensibles et résistants à la tylosine, la tulathromycine, la lincomycine, et isolés sur la période de 2008 à 2016 dans 169 foyers
Figure 4 – Répartition géographique des isolats résistants à la tylosine et/ou à la tulathromycine et/ou à la lincomycine détectés parmi 185 foyers d’ACC à Mcc (169 cliniques et 16 inapparents) et 96 foyers de Mmc (75 cliniques et 21 inapparents) détectés entre 2008 et 2016 et testés dans cette étude avec répartition des souches
CONCLUSION SUR L’ANTIBIORÉSISTANCE DES MYCOPLASMES RESPONSABLES DE L’ACC
CONCLUSION

Le Grand D
Vialard J
Treilles M
Tardy F

Florence Tardy
Florence Tardy est ingénieur (INSA) et docteur en Biochimie (Université de Lyon).
Elle a travaillé sur diverses thématiques de microbiologie successivement à l’Université Libre de Bruxelles, à l’Afssa (Lyon), à l’Institut scientifique de santé publique (Bruxelles) et dans une entreprise agroalimentaire.
1994 : Ingénieur INSA
1997 : Docteur en Biochimie
2011 : Habilitation à diriger les recherches
Depuis 2012 : Direction de l’UMR Mycoplasmoses des ruminants (Anses-VetAgro Sup)