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Intérêts et limites de l’induction de l’ovulation par la GnRH pour une insémination programmée

Nicole Picard-Hagen

N°10 - L'INFÉCONDITÉ DES RUMINANTS ABORD DU TROUPEAU AFFECTIONS BACTÉRIENNES CUTANÉES DES PORCINS partie 1

LES PRINCIPES DU PROTOCOLE G.P.G.

Figure 1 – Protocoles (GnRH-PGF2a-GnRH) de synchronisation de l’ovulation

LES INTÉRÊTS DU PROTOCOLE G.P.G.

LES LIMITES DU PROTOCOLE G.P.G.

LES PRINCIPES DU PROTOCOLE G.P.G.
Figure 1 – Protocoles (GnRH-PGF2a-GnRH) de synchronisation de l’ovulation
LES INTÉRÊTS DU PROTOCOLE G.P.G.
LES LIMITES DU PROTOCOLE G.P.G.
Figure 2 – Relation curvilinéaire (modèle de régression logistique) entre la taille du follicule et la fertilité à l’œstrus induit
Figure 3 – Relation entre la taille du follicule et les concentrations d’œstradiol, et l’expression des chaleurs au moment de l’insémination artificielle
Figure 4 – Évolution des concentrations de progestérone en fonction des jours post-insémination artificielle
CONCLUSION

Picard-Hagen N