Hervé Hoste, Denis Gautier, Laurence Sagot, Barbara Fança, Vincent Niderkorn
Face à l’expansion et à la rapidité d’apparition des résistances aux anthelminthiques de synthèse dans les populations de nématodes gastro-intestinaux chez les ovins et les caprins, il est indispensable d’explorer l’intérêt de solutions représentant des alternatives aux molécules antiparasitaires de synthèse.
Parmi les options explorées pour développer le concept de gestion intégrée des nématodes parasites, l’emploi de plantes bioactives, comme le sainfoin ou la chicorée, présente l’intérêt d’avoir des effets bénéfiques sur les plans nutritionnels, sanitaires ainsi qu’environnementaux.
Ces plantes contenant des métabolites secondaires répondent donc par plusieurs aspects aux attentes de l’agroécologie.
Disciplines : Nutrition, Zootechnie, thérapeutique, parasitologie
Mots-clés : Physiologie Digestive, Nutrition, Méthane, Gaz à Effets de Serre, Parasitisme, Nématodes, Alicament, Plantes Bioactives, Métabolites secondaires, Tannins condensés, Sesquiterpènes lactones, Ruminants
Séjour post doctoral à l’Université de Melbourne Diplomate de l’European College of Veterinary Parasitology.Directeur de Recherches INRA dans l’UMR 1225 IHAP INRA/ENVT où il est responsable d’une équipe travaillant sur les Interactions Nématodes-Milieu Digestif. Auteurs ou co auteurs de 130 publications dans des revues internationales de Parasitologie et de Sciences Vétérinaires.
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