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Comment développer l’activité « animaux de compagnie » en milieu rural

Philippe Baralon

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UN CONTEXTE GÉNÉRAL TRÈS PORTEUR

Figure 1 – Pourcentage d’animaux atteignant l’âge de 12 ans (d’après FACCO 1999)
Figure 2 – Croissance annuelle du marché en volume (1997 – 1999) (source Phylum)
Figure 3 – Vaccination des animaux selon la taille de la commune (d’après SOFRES 1999)
Figure 4 – Répartition des effectifs canins (d’après FACCO 2000)
Figure 5 – Répartition du marché canin (Phylum 2000)
Figure 6 – Répartition des effectifs félins (d’après FACCO 2000)
Figure 7 – Répartition du marché félin (Phylum 2000)

UN POTENTIEL FORMIDABLE MAIS DIFFICILE À EXPLOITER

Une évolution rapide

Impossible de cibler un seul segment du marché

UN ATOUT ESSENTIEL : LA TAILLE DE LA STRUCTURE

COMMENT GÉRER LA PERSONNALISATION DE LA RELATION CLIENT ?

Figure 8 – L’organisation au sein du cabinet : la personnalisation du client

La disponibilité pour la canine : définir des plages horaires astucieuses

Référer les cas difficiles : une bonne solution pour la qualité du service rendu

CHANGER LA CULTURE DE L’ENTREPRISE VÉTÉRINAIRE

L’aménagement du local professionnel : l’activité canine prise en compte

Un personnel adéquat

La formation des associés et/ou le recrutement d’un(e) salarié(e) ?

Un regard féminin : un point fort

Après une phase de salariat, pourquoi ne pas s’associer ?

CONCLUSION : LA SUPÉRIORITÉ DE L’EXERCICE MIXTE

2 photos illustrent cet article.

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