Samuel Boucher
La filière cunicole française, aujourd’hui au 4e rang mondial, s’est rationnalisée depuis une quarantaine d’année. Mise à mal par la survenue de l’Entéropathie Epizootique du Lapin (EEL) en 1996, elle doit faire face aujourd’hui à une augmentation sans précédent du coût alimentaire.
Réactive, après avoir progressé zootechniquement de manière spectaculaire en repensant complètement son mode de production et en inventant la conduite en bande unique en « tout vide – tout plein », la filière cunicole cherche aujourd’hui à réduire ses coûts de production. Elle possède un atout majeur : la grande qualité nutritionnelle et diététique de sa viande.
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