Article

Les mycoplasmes, stratégies d’adaptation et de persistance des bactéries minimales

Christine Citti

N°03 – MYCOPLASMES ET MYCOPLASMOSES – CHEZ LES RUMINANTS – EN AVIAIRE

DONNÉES ÉPIDÉMIOLOGIQUES

Encadré 1 – Les mycoplasmes : des bactéries minimales

Figure 1 – Les principales caractéristiques des mycoplasmes

Tableau 1 – Taxonomie des mollicutes et hôtes

Encadré 2 – Une culture délicate

Figure 2 – Différence de croissance entre Escherichia coli et M. bovis (A) colonies de M. bovis (B)

LES MYCOPLASMOSES DES RUMINANTS

Un pouvoir pathogène démontré

Tableau 2 – Principales espèces de mycoplasmes commensaux ou pathogènes rencontrées chez les bovins

Tableau 3 – Principales espèces de mycoplasmes commensaux ou pathogènes rencontrées chez les ovins et caprins

Figure 3 – Principaux symptômes causés par les mycoplasmes chez les bovins et principales voies d’excrétion

La principale voie d’entrée : la muqueuse respiratoire

Deux mycoplasmoses fréquentes chez les ovins et les caprins

Figure 4 – Principaux symptômes causés par les mycoplasmes chez les petits ruminants et principales voies d’excrétion

CHRONICITÉ ET PERSISTANCE : LA STRATÉGIE DES MYCOPLASMES DE RUMINANTS

La variabilité antigénique

Figure 5 – Schéma illustrant la variation d’expression des Vspchez M. bovis au sein d’une population clonale

La formation de biofilm

Figure 6 – Formation d’un biofilm par M. bovis ou M. agalactiae

LA SEXUALITÉ DES MYCOPLASMES : STRATÉGIE D’ADAPTATION ET CONSÉQUENCES

Figure 7 – Arbre illustrant les relations phylogénétiques qui existent entre différentes espèces de mycoplasmes

Figure 8 – Image obtenue par immuno-empreinte sur colonies de M. agalactiæ (A) (photo F. Poumarat) – Croissance centrifuge d’une colonie (B)

CONCLUSION

DONNÉES ÉPIDÉMIOLOGIQUES
Encadré 1 – Les mycoplasmes : des bactéries minimales
Figure 1 – Les principales caractéristiques des mycoplasmes
Tableau 1 – Taxonomie des mollicutes et hôtes
Encadré 2 – Une culture délicate
Figure 2 – Différence de croissance entre Escherichia coli et M. bovis (A) colonies de M. bovis (B)
LES MYCOPLASMOSES DES RUMINANTS
Un pouvoir pathogène démontré
Tableau 2 – Principales espèces de mycoplasmes commensaux ou pathogènes rencontrées chez les bovins
Tableau 3 – Principales espèces de mycoplasmes commensaux ou pathogènes rencontrées chez les ovins et caprins
Figure 3 – Principaux symptômes causés par les mycoplasmes chez les bovins et principales voies d’excrétion
La principale voie d’entrée : la muqueuse respiratoire
Deux mycoplasmoses fréquentes chez les ovins et les caprins
Figure 4 – Principaux symptômes causés par les mycoplasmes chez les petits ruminants et principales voies d’excrétion
CHRONICITÉ ET PERSISTANCE : LA STRATÉGIE DES MYCOPLASMES DE RUMINANTS
La variabilité antigénique
Figure 5 – Schéma illustrant la variation d’expression des Vspchez M. bovis au sein d’une population clonale
La formation de biofilm
Figure 6 – Formation d’un biofilm par M. bovis ou M. agalactiae
LA SEXUALITÉ DES MYCOPLASMES : STRATÉGIE D’ADAPTATION ET CONSÉQUENCES
Figure 7 – Arbre illustrant les relations phylogénétiques qui existent entre différentes espèces de mycoplasmes
Figure 8 – Image obtenue par immuno-empreinte sur colonies de M. agalactiæ (A) (photo F. Poumarat) – Croissance centrifuge d’une colonie (B)
CONCLUSION

Citti C