1 | DOSSIER : L'INFLAMMATION OCULAIRE chez le cheval
résumé
Conduite diagnostique
devant une occlusion palpébrale
chez le cheval
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Jean-Luc Cadoré
Une occlusion palpébrale est le plus souvent secondaire à un blépharospasme. Le blépharospasme est dû à la contraction spastique du muscle orbiculaire des paupières. Néanmoins, il peut arriver que l’occlusion palpébrale ne soit pas spastique, ou qu’elle soit purement mécanique lors de ptose palpébrale neurogénique.
Souvent unilatérale, l’occlusion peut parfois être bilatérale. Les causes d’occlusion palpébrale sont nombreuses, parmi lesquelles les traumatismes conjonctivo-cornéens, ou les inflammations endo-oculaires qui sont de véritables urgences diagnostiques et thérapeutiques. Ainsi, l’approche diagnostique se doit d’être méthodique et rigoureuse.
Cet article présente les différentes étapes d’un examen oculaire d’un cheval présenté pour une occlusion palpébrale. La réalisation d’anesthésies locales des nerfs moteurs et sensitifs de la région palpébrale permet d’effectuer l’examen de l’œil et de ses annexes dans des conditions idéales. Les principales affections responsables d’une occlusion palpébrale sont récapitulées, en fonction de la nature de l’occlusion et de la présence ou non d’un blépharospasme.
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| | 2 | DOSSIER : L'INFLAMMATION OCULAIRE chez le cheval
résumé
Comment reconnaître une uvéite
chez le cheval
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Thomas Dulaurent, Émilie Guillot,Youssef Tamzali, Alain Régnier
Les uvéites sont des affections oculaires graves chez le cheval ; elles représentent la première cause de cécité dans cette espèce. Leur gravité médicale est renforcée par leur nature fréquemment récidivante qui augmente le risque de complications dans les segments antérieur et postérieur du globe oculaire.
Au-delà de son importance médicale, reconnaître une uvéite équine ou ses séquelles présente un intérêt légal car cette affection est inscrite dans la liste des vices rédhibitoires du cheval, sous le vocable d’uvéite isolée.
La crise d’uvéite aiguë est la forme clinique la plus classique. Elle se manifeste généralement par une inflammation de l’uvée antérieure, mais peut aussi prendre l’aspect d’une uvéite postérieure, voire d’une inflammation globale de l’uvée.
Cet article fait le point sur l’ensemble des signes rencontrés lors d’une crise d’uvéite aiguë, avec l’appui de nombreuses photos ; il détaille aussi les signes cliniques lors de forme atypique d’uvéite, les séquelles de l’inflammation uvéale et les complications terminales. |
| | 3 | DOSSIER : L'INFLAMMATION OCULAIRE chez le cheval
résumé
Comment diagnostiquer
les uvéites leptospirosiques
chez le cheval
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Anne-Marie Desbrosse, Stéphane Provost
Les uvéites d’origine leptospirosique sont fréquentes, elles sont estimées à au moins 60 p. cent des cas d’uvéite en France. Son diagnostic fait appel à des examens de laboratoire, réalisés dans des laboratoires spécialisés : la recherche des leptospires dans le sang ou dans les urines, le diagnostic sérologique dans le sang, la technique de Dot-Blot et la technique par P.C.R.
Ces deux dernières techniques peuvent être réalisées à partir d’un prélèvement d’humeur aqueuse ou de vitré ; la méthode de prélèvement de la chambre antérieure est précisée dans cet article.
La méthode par P.C.R. est d’une grande sensibilité et d’une grande spécificité, et rapide à mettre en œuvre : elle permet la visualisation de matériel génétique présent initialement en trop faible quantité et depuis peu, précise l’origine leptospirosique des uvéites du cheval.
Cet article présente les différentes techniques de diagnostic d’uvéite leptospirosique, les prélèvements à effectuer, les précautions pour leur envoi au laboratoire et l’interprétation des résultats obtenus.
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| | 4 | DOSSIER : L'INFLAMMATION OCULAIRE chez le cheval
résumé
Identifier et traiter les ulcérations
cornéennes à collagénases
chez les équidés
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Franck Ollivier, Catherine Gaillard-Lavirotte
Les ulcérations cornéennes à collagénases sont caractérisées chez le cheval par une augmentation du film lacrymal et de l’activité stromale protéolytique, induisant une liquéfaction et une nécrose du stroma, bien plus importantes que dans les autres espèces animales.
Les ulcères à collagénases peuvent évoluer défavorablement très rapidement, et induire une perte de vision. L’intégrité de la surface cornéenne est rapidement évaluée avec la fluorescéine ; l’examen cytologique et les cultures microbiologiques sont impératifs pour cibler rapidement le traitement antibiotique et/ou antifongique ; la culture cornéenne est un examen plus précis et plus sensible que la cytologie.
Les signes cliniques, discrets en début d’évolution, incluent une douleur oculaire, un écoulement séreux abondant qui devient mucopurulent, une hyperhémie conjonctivale marquée et un chémosis.
Le traitement doit être adapté et agressif pour limiter au maximum l’apparition de séquelles définitives et invalidantes ; il doit limiter le développement des agents microbiens incriminés, éviter une uvéite antérieure secondaire, maîtriser l’action protéolytique et assurer une protection mécanique de l’œil.
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| | 5 | DOSSIER : L'INFLAMMATION OCULAIRE chez le cheval
résumé
Comment gérer et traiter
la douleur oculaire
chez les équidés
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Olivier Bisseaud
La cornée est l’un des tissus les plus sensibles de l’organisme à cause de son innervation sensitive très dense. Les érosions épithéliales sont donc parmi les sources les plus fréquentes de douleur oculaire. La douleur est alors superficielle et très aiguë, contrairement aux kératites, aux uvéites ou aux glaucomes, dont la douleur est profonde et lancinante.
Les signes cliniques de la douleur oculaire sont avant tout extérieurs et les signes ophtalmologiques sont aigus ou chroniques.
Les traitements doivent être d’emblée agressifs et sont parfois longs.
Cet article fait le point sur l’emploi des différentes molécules chez le cheval en cas de douleur oculaire : les médicaments du système autonome, les anti-inflammatoires et associés, les anesthésiques locaux, les opiacées et les sédatifs. Il aborde aussi les mesures de protection mécanique ainsi que les traitements spécifiques à certaines affections, comme l’uvéite récurrente ou le glaucome. Les protocoles thérapeutiques de chaque molécule sont récapitulés sous forme de tableaux.
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| | 6 | DOSSIER : L'INFLAMMATION OCULAIRE chez le cheval
résumé
Comment effectuer
une injection sous-conjonctivale
chez les équidés
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Olivier Bisseaud
L’injection sous-conjonctivale s’effectue par dépôt du médicament sous la conjonctive bulbaire, le plus souvent dans le quadrant dorso-latéral. Elle permet d’augmenter l’absorption et le temps de contact de substances, qui ont une mauvaise pénétration cornéenne. Les cibles thérapeutiques sont la conjonctive, la cornée, la sclère, l’uvée antérieure et parfois le vitré.
L’injection sous-conjonctivale est utilisée principalement pour la gestion en urgence des infections du segment antérieur, l’administration de corticostéroïdes retard, et en fin de chirurgie oculaire. La procédure est détaillée dans cet article.
Le choix des molécules est fonction de l’indication. Les mydriatiques cycloplégiques sont employés lors d’ulcère cornéen, lors d’uvéite antérieure ou de cataracte nucléaire. Le choix des antibiotiques est fondé sur la coloration de Gram du frottis cornéo-conjonctival, puis sur l’antibiogramme : l’injection est particulièrement intéressante pour les antibiotiques temps-dépendants. Un tableau récapitule les molécules utilisables en injection sous-conjonctivale, et les doses recommandées.
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| | 7 | DOSSIER : L'INFLAMMATION OCULAIRE chez le cheval
résumé
Identifier et traiter les principales
affections néoplasiques oculaires
chez les équidés
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Alain P. Théon
Les affections néoplasiques du cheval constituent un ensemble très hétérogène, dans lequel subsistent de nombreuses inconnues, tant sur l’évolution locale et métastatique que sur les stratégies thérapeutiques susceptibles d’être mises en œuvre.
La pathologie tumorale des tumeurs des surfaces oculaires est dominée par les carcinomes épidermoïdes conjonctivaux. Les tumeurs intra-oculaires sont rares ; le mélanome de l’iris est la plus fréquente des tumeurs oculaires malignes primitives du jeune adulte. Les lymphomes représentent une large part des tumeurs secondaires de l’œil et de l’orbite. Les tumeurs de la rétine et du nerf optique sont extrêmement rares chez le cheval.
Cet article présente les principales affections néoplasiques oculaires chez les équidés, leur fréquence, et leur localisation. La démarche diagnostique et thérapeutique est récapitulée sous forme d’un tableau.
Actuellement, la chirurgie garde une place prépondérante dans la prise en charge thérapeutique, mais elle n’est pas toujours suffisante pour assurer la guérison de toutes les lésions ; de nouveaux traitements sont apparus, avec une tendance prononcée pour une approche conservatrice.
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| | 8 | ÂNE
résumé
Diagnostiquer et traiter
les affections oculaires et péri-oculaires
chez l’âne et le mulet
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Ahmed Chabchoub, Faouzi Landolsi
Quelques particularités de l’espèce font de l’âne et du mulet des candidats fréquents aux affections oculaires rencontrées en pratique courante. Les affections oculaires sont similaires au cheval, mais l’expression clinique de la douleur oculaire est plus tardive et plus fruste chez l'âne et le mulet. Ainsi, lors d’ulcère cornéen, l’âne ne présente pas de blépharospasme.
Cet article expose les particularités anatomiques des yeux chez l’âne et les recommandations pratiques pour la tranquillisation de l’âne et du mulet, nécessaires à l’examen oculaire. Le diagnostic et le traitement des différentes affections oculaires et péri-oculaires rencontrées chez l’âne et le mulet sont abordées dans une seconde partie.
Les conjonctivites sont fréquentes chez l’âne, elles sont secondaires à des traumatismes, des irritations et parfois à une obstruction du canal lacrymal. Les conjonctivites parasitaires et fongiques semblent rares dans cette espèce, bien que l’histoplasmose peut être responsable de troubles oculaires chez l’âne et le mulet. |
| | 9 | ÂNE
résumé
Tumeurs des paupières :
deux cas de sarcoïdes palpébraux
chez l’âne
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Youssef Tamzali
Ces deux cas de tumeurs des paupières chez des ânes adultes, traités initialement par chirurgie et récidivant après quelques mois, illustrent la prise en charge thérapeutique délicate de ces tumeurs.
Plusieurs approches thérapeutiques des sarcoïdes palpébraux sont possibles et décrites dans la littérature. La chirurgie seule est déconseillée, car le taux de récidives est de l’ordre de 50 p. cent. Dans ces deux cas, une exérèse chirurgicale réductrice minimale puis une chimiothérapie précise sur le lit de la tumeur sont effectuées. Deux semaines après l’intervention, des séances d’électrochimiothérapie sous anesthésie générale sont effectuées à deux semaines d’intervalle. Les résultats sont probants : bon aspect esthétique et absence de récidive plusieurs années après l’intervention.
L’électrochimiothérapie est une thérapie anticancéreuse récente qui consiste à appliquer des impulsions électriques, elle optimise ainsi la chimiothérapie. Elle est encore réservée à certains centres spécialisés ; néanmoins, des résultats similaires peuvent être obtenus en associant chirurgie et chimiothérapie à l’aide d’une émulsion de cisplatine et d’huile de sésame. |
| | 10 | PRINCIPE ACTIF
résumé
Wajdi Souilem
L’atropine, chef de file historique des parasympatholytiques, est employée chez le cheval en ophtalmologie, en prémédication anesthésique et occasionnellement lors de troubles respiratoires aigus. L’atropine est, néanmoins, surtout réservée à l’examen de l’œil et à la thérapeutique de certaines affections oculaires.
Elle est systématiquement utilisée lors d’uvéite isolée, pour son effet cycloplégique et antalgique, et son effet mydriatique prépare à l’examen oculaire. En prémédication anesthésique, l’atropine prévient la bronchosécrétion, le bronchospasme, le laryngospasme et protège contre les troubles cardiaques d’origine vagale.
Elle est aussi utilisée pour son effet bronchodilatateur lors d’accès de pousse et dans les crises de bronchospasmes. Les effets secondaires sont majeurs chez le cheval : l’utilisation de cette molécule par voie systémique doit être ponctuelle.
Cette fiche passe en revue les données pharmacologiques et physico-chimiques de cette molécule. Elle précise également les modalités de son usage thérapeutique chez le cheval. |
| | 11 | RÉGLEMENTATION
résumé
Aspects juridiques et réglementaires
de l’uvéite isolée
des équidés domestiques
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Pierre Saleur
Inscrite sur la liste des vices rédhibitoires, l’uvéite isolée peut conduire à une cécité unilatérale au bout d’un temps plus ou moins long, beaucoup plus rarement à une cécité totale. Lors d’uvéite isolée, deux cas peuvent se présenter : soit le praticien intervient dans le cadre d’une expertise de transaction, soit il est consulté lors d’une vente déjà conclue.
Cet article décrit les aspects juridiques et réglementaires de l’uvéite isolée des équidés domestiques. Lors d’une expertise de transaction, le diagnostic d’une uvéite isolée chez un cheval doit conduire le praticien à informer les deux parties simultanément, le vendeur et l’acheteur.
Le praticien doit également informer l’acheteur potentiel, aussi complètement que possible, des difficultés qui peuvent apparaître ultérieurement ; mais, dans tous les cas, la décision appartient à l’acheteur. Lorsque la vente est déjà conclue, une transaction amiable entre le vendeur et l’acheteur est toujours possible ; si elle échoue, il reste la voie judiciaire : la procédure en cas de suspicion de vice rédhibitoire est alors très particulière et mérite d’être connue des praticiens équins.
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| | 12 | GESTE CHIRURGICAL
résumé
L’énucléation trans-conjonctivale
chez le cheval
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Thomas Launois, Anne-Marie Desbrosse
L’énucléation est indiquée lorsque le pronostic de survie du globe oculaire est défavorable ou en présence d’un œil très douloureux et aveugle : la chirurgie est très invasive, elle est faite si possible en dernier recours et l’information du propriétaire est essentiel. Il existe deux techniques d’énucléation : l’énucléation trans-palpébrale et l’énucléation trans-conjonctivale.
Cette dernière technique est indiquée lorsque l’affection concerne le contenu du globe et ne menace pas l’orbite. Elle est aussi plus simple, le traumatisme chirurgical moins important et les saignements sont moindres. L’intervention peut être réalisée sur cheval debout ou sous anesthésie générale. L’anesthésie du nerf frontal et du nerf auriculo-palpébral est réalisée avant l’intervention.
Les différentes étapes de l’énucléation trans-conjonctivale sont détaillées dans cet article, avec l’appui de nombreux schémas. Les risques les plus encourus sont le choc vagal au moment de la section du nerf optique, et une hémorragie incontrôlée si celui-ci a été mal ligaturé.
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| | 13 | GESTE
résumé
Indications et techniques
de pose d’un cathéter sous-palpébral
chez le cheval
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Thomas Dulaurent, Emilie Guillot, Alain Régnier
L’application oculaire des topiques s’avère délicate chez le cheval, voire impossible, lorsque les traitements doivent être répétés fréquemment. La mise en place d’un cathéter sous-palpébral permet de faire arriver le collyre sur son site d’action à travers un cathéter dont l’extrémité d’injection se situe à distance de l’œil. Ce système d’administration garantit une bonne observance du traitement, et permet que celui-ci soit réalisé dans de bonnes conditions de sécurité.
Les chevaux présentés avec des kératites ulcéreuses, des plaies cornéennes non perforantes, des abcès cornéens ou des uvéites antérieures graves sont des bons candidats à la pose d’un cathéter sous-palpébral.
Deux techniques sont décrites : l’une avec deux passages transpalpébraux et l’autre avec un seul passage ; cette dernière vise à mettre dans le cul-de-sac conjonctival l’extrémité mousse et évasée d’un cathéter en silicone médical implanté par un passage unique. Le geste est simple mais doit respecter certaines règles techniques pour éviter les complications inhérentes à la mise en place de ce dispositif, fixé sur le chanfrein et l’encolure.
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| | 14 | SYNTHÈSE
résumé
Utilisation des A.I.N.S.
en chirurgie de colique
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Camille Tourmente
Les adhérences sont des attaches fibreuses qui se forment entre deux surfaces intestinales, entre une surface intestinale et la paroi abdominale ou entre l’omentum et l’intestin ou le péritoine. Elles apparaissent après une chirurgie de colique à plus ou moins long terme, et peuvent être responsables de signes de colique ou de perte d’état chronique.
Cette synthèse rappelle les phénomènes inflammatoires qui se produisent dans la paroi intestinale des chevaux opérés de colique et présente plusieurs études portant sur les effets des inhibiteurs des cyclo-oxygénases (C.O.X.) sur la muqueuse intestinale.
La 1ère étude décrit l’infiltration inflammatoire touchant la paroi intestinale lors de chirurgie de colique et souligne l’efficacité de la flunixine méglumine dans la prévention des adhérences. Cependant, cette molécule est un A.I.N.S. non sélectif, qui pourrait avoir un effet délétère sur la muqueuse intestinale ; elle pourrait donc être remplacée par un inhibiteur sélectif de la C.O.X.2, qui a une action analgésique et anti-inflammatoire et qui préserve la synthèse des prostanoïdes, essentiels au bon fonctionnement de la paroi intestinale.
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| Sauter N°9, volume 3, 2006Sauter sommaire
Éditorial par Jean-Luc Cadoré Test clinique : un cas de trombopénie d’origine médicamenteuse Laetitia Jaillardon, Emmanuelle Moreau, Agnès Bénamou-Smith, Jean-Luc Cadoré
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CHEVAL ET ÉQUIDÉS Conduites à tenir diagnostiques - Conduite diagnostique devant une occlusion palpébrale chez le cheval Jean-Luc Cadoré - Comment reconnaître une uvéite chez le cheval Thomas Dulaurent, Émilie Guillot,Youssef Tamzali, Alain Régnier - Comment diagnostiquer les uvéites leptospirosiques chez le cheval Anne-Marie Debrosse, Stéphane Pronost - Identifier et traiter les ulcérations cornéennes à collagénases chez les équidés Franck Ollivier, Catherine Gaillard-Lavirotte - Comment gérer et traiter la douleur oculaire chez les équidés Olivier Bisseaud - Comment effectuer une injection sous-conjonctivale chez les équidés Olivier Bisseaud - Identifier et traiter les principales affections néoplasiques oculaires chez les équidés Alain P. Théon
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ÂNE, PONEY - Diagnostiquer et traiter les affections oculaires et péri-oculaires chez l’âne et le mulet Ahmed Chabchoub, Faouzi Landolsi - Observation clinique - Tumeurs des paupières : deux cas de sarcoïdes palpébraux chez l’âne Youssef Tamzali
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RUBRIQUES Principe actif - L’atropine Wajdi Souilem Règlementation - Aspects juridiques et règlementaires de l’uvéite isolée des équidés domestiques Pierre Saleur Geste chirurgical - L’énucléation trans-conjonctivale chez le cheval Thomas Launois, Anne-Marie Desbrosse Geste - Indications et techniques de pose d’un cathéter sous-palpébral chez le cheval Thomas Dulaurent, émilie Guillot, Alain Régnier
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REVUE DE PRESSE INTERNATIONALE - Rubrique dirigée par Jean-Luc Cadoré et Louis-Marie Desmaizières Revue thématique des articles parus dans les revues internationales (avril - mai - juin 2006) Congrès de L’European College of Veterinary Surgeons à Séville Nicolas Latouche, Jean-Philippe Germain, émilie Guillot Un panorama des meilleurs articles d’équine : notre sélection Lotfi Benalioua, Jean-Philippe Germain, Alexandre Richoux Synthèse - L’utilisation des AINS en chirurgie de colique Camille Tourmente
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Test clinique - les réponses
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