1 | DOSSIER : MALADIES VECTORIELLES du chien et du chat
À propos de
quelques “hémopathogènes” : émergence et convergence Gilles Bourdoiseau | | UNE TRANSMISSION PAR UN VECTEUR HÉMATOPHAGE Vecteur biologique et vecteur mécanique Figure 1 - Les différences entre un vecteur biologique et un vecteur mécanique
Reproduction sexuée et remaniements génétiques chez l’hôte définitif
Figure 2 - Cycles évolutifs de Plasmodium et Babesia
DES AGENTS PATHOGÈNES LOCALISÉS DANS LE SANG
LES MODALITÉS DE L’INOCULATION
La multiplication de l’hémopathogène chez l’hôte et l’expression de la maladie favorisées par le vecteur
Figure 3 - Le rôle actif de l’arthropode vecteur : cas du phlébotome et de la leishmanie Figure 4 - Le rôle actif de l’arthropode : exemple de la tique avec Borrelia afzelii (espèce voisine de B. burgdorferi responsable de la maladie de Lyme)
Des réactions immunitaires induites chez l’hôtecommunes à ces hémopathogènes
Encadré - La production d’anticorps chez l’animal : intérêt diagnostique et conséquences
CONCLUSION
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2 | DOSSIER : MALADIES VECTORIELLES du chien et du chat
Les babésioses du chien : identité et interrogations Gilles Bourdoiseau, Christophe Hugnet | | LES AGENTS PATHOGÈNES : IDENTIFICATION ET APPLICATIONFigure 1 - Le cycle évolutif de Babesia canisEncadré 1 - Les grandes babésies et les petites babésies : classification et applications cliniquesEncadré - Application importantes du cycle évolutif Tableau 1 - Les agents responsables des babésioses du chien LES AVANCÉES PATHOGÉNIQUES : APPLICATIONS Encadré 2 - Les formes cliniques Encadré 3 - Des éléments de pronosticTableau 2 - Étude de l’hématocrite, de la glycémie et de l’évolution de la lactatémie chez 90 chiens atteints de babésiose à Babesia canis rossi Figure 2 - Les deux formes cliniques des babésioses Le phénomène de rechute
Un phénomène lié à un échec thérapeutique Figure 3 - Le phénomène de rechute
LES MÉTHODES DE LUTTE
Nouveautés dans le traitement des babésioses à B. gibsoni
La prévention individuelle
Encadré 4 - La prévention individuelle Un protocole de traitement différent et la mise au point d’un nouveau vaccin CONCLUSION
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3 | DOSSIER : MALADIES VECTORIELLES du chien et du chat
Comment diagnostiquer
et traiter l’ehrlichiose chez le chien Luc Chabanne, Cédric Martin | | EXPRESSION CLINIQUEEncadré 1 - un nouvelles classification des agents pathogènes, leur épidémiologie et leur pouvoir pathogèneFigure 1 - Classification des Ehrlichia sur la base de l’analyse de l’ARNr 16STableau - Les principales ehrlichioses canines La phase aiguë
La phase chronique DIAGNOSTIC Figure 2 - Conduite à tenir diagnostique et thérapeutique lors d’ehrlichiose canineEncadré 2 - Les techniques diagnostiques et leur coût
PRONOSTIC, TRAITEMENT ET PROPHYLAXIE
CONCLUSION4 photos illustrent cet article.
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4 | DOSSIER : MALADIES VECTORIELLES du chien et du chat
Zoonoses - Les infections à Bartonella chez les mammifères Henri-Jean Boulouis, Renaud Maillard, Lenaïg Halos, Muriel Vayssier-Taussat, Bruno Chomel | | LES MANIFESTATIONS CLINIQUES Encadré 1 - Caractéristiques bactériologiques, biologiques et épidémiologiques des BartonellesFigure - Séroprévalence chez 420 chats prélevés dans 12 clientèles françaisesTableau 1 - Espèces, hôtes et vecteurs principaux de Bartonella Tableau 2 - Aspects cliniques des principales infections à Bartonella chez l’Homme, le chien et le chat Encadré 2 - Les manifestations des bartonelloses chez l’Homme
Chez le chat
Chez le chien
Chez les autres espèces LE DIAGNOSTIC
LE TRAITEMENT
PRÉVENTION
CONCLUSION2 photos illustrent cet article. |
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5 | DOSSIER : MALADIES VECTORIELLES du chien et du chat - GESTE
Techniques de leucoconcentration chez le chien et le chat Thomas Normand, Luc Chabanne | | PRINCIPE
COMMENT RÉALISER UN LEUCOCONCENTRÉ ? Figure 1 - Vue schématique d’un leucoconcentréFigure 2 - La technique de leucoconcentration modifiée de Cabassu et Haroutunian CONCLUSION 3 photos illustrent cet article. |
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6 | DOSSIER : MALADIES VECTORIELLES du chien et du chat - ÉPIDÉMIOLOGIE
Résultats d’une enquête en France
sur les cas suspectés
ou confirmés de babésiose
chez le chien Gilles Bourdoiseau, Nicolas Renard
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LES RÉSULTATS
Encadré 1 - La méthodeTableau 1 - Résultats d’enquêtes épidémiologiques effectuées en France Tableau 2 - Résultats d’enquêtes par questionnaire envoyé aux cabinets et cliniques vétérinaires en France Tableau 3 - Données sur les vétérinaires participants à l’enquête Tableau 4 - Répartition saisonnière des cas diagnostiqués Tableau 5 - Prévalence en fonction du nombre de cas de babésiose par cabinet et par an, et en fonction de la saison Figure 1 - Répartition des confrères en fonction du nombre de cas diagnostiqués de babésiose durant un an Figure 2 - Les caractéristiques des chiens malades pour lesquels un diagnostic de babésiose a été porté Figure 3 - Répartition des méthodes de confirmation diagnostique retenues par les confrères Figure 4 - La prévalence sur une année par département Figure 5 - La prévalence au printemps Figure 6 - La prévalence à l’automne
L’INTERPRÉTATION L’existence de zones de forte et de faible enzootieUn caractère saisonnier marquéLes caractères épidémiologiques du chien suspect de babésioseLES LIMITES CRITIQUES
Discussion des critères retenus De nouveaux critères à proposer pour des études futures
Encadré 2 - Les nouveaux critères à proposer pour des études futures CONCLUSIONFigure 7 - Les données déjà connues sur la babésiose confirmées et les nouvelles données apportées par l’étude Encadré 3 - Les avantages d’un réseau d’épidémiosurveillance |
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7 | FÉLINE Conduite à tenir
diagnostique et thérapeutique
lors d’hémobartonellose
chez le chat Luc Chabanne | | PATHOGÉNICITÉ ET EXPRESSION CLINIQUE
Encadré 1 - Les hémopathogènes félins autres que les mycoplasmesEncadré 2 - L’hémobartonellose féline : agent pathogène et épidémiologie Tableau - Les principales maladies vectorielles chez le chat Figure - Conduite à tenir diagnostique et thérapeutique lors d’hémobartonellose féline
DIAGNOSTIC Encadré - Exemple PRONOSTIC ET TRAITEMENT
CONCLUSION3 photos, dont une accompagnée d'un schéma, illustrent cet article. |
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8 | FÉLINE - Observations cliniques
Une hémobartonellose chez un chat
Jean-Pierre Beaufils | | L’EXAMEN CLINIQUE
LES EXAMENS COMPLÉMENTAIRES ET LE DIAGNOSTIC
Tableau - Résultats de la numération sanguine Figure - Conduite à tenir diagnostique et thérapeutique lors d’hémobartonellose féline LE TRAITEMENT ET LE SUIVI
DISCUSSION Agent infectieux et épidémiologieSignes cliniques et biologiquesDiagnosticEncadré - Un diagnostic par frottis sanguin et par P.C.R. (polymerase chain reaction)
Traitement CONCLUSIONEncadré - Gestion de cas
12 photos illustrent cet article. |
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9 | FÉLINE - Observations cliniques
Une ehrlichiose chez un chat
Jean-Pierre Beaufils | | 1re VISITE : BOITERIE DE L'ANTÉRIEUR DROIT
2e VISITE TROIS SEMAINES PLUS TARD : UNE BOITERIE IMPORTANTE avec suppression d'appui
3e VISITE SIX SEMAINES PLUS TARD :UNE BOITERIE INTERMITTENTE de l'antérieur droit et du postérieur gauche
LE SUIVI DE L’ANIMAL
DISCUSSION Tableau - Symptômes observés chez 13 chats des environs de Sommières (Gard) CONCLUSIONEncadré - Gestion de cas
3 photos, dont 2 accompagnées d'un schéma, illustrent cet article.
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10 | FÉLINE - Geste chirurgical
Comment traiter
une hernie diaphragmatique
chez le chat
Hervé Brissot, Gilles Dupré | | L’OXYGÉNATION : UN PRÉALABLE NÉCESSAIRE
Encadré 1 - L’oxygénothérapie Figure 1 - Position de la sonde nasale à oxygène
L’ANESTHÉSIE
Encadré 2 - Protocoles d’anesthésie du trauma thoracique Tableau - Les effets dépressifs sur la respiration des agents anesthésiques Figure 2 - Exemple de protocole anesthésique pour un chat atteint de trauma thoracique LA RÉDUCTION CHIRURGICALE DE LA HERNIE Figure 3 - Représentation schématique des ruptures diaphragmatiques observées dans une série de 30 cas de hernies diaphragmatiquesEncadré 3 - Trauma thoracique et fluidothérapie
LE SUIVI POSTOPÉRATOIRE ET LE PRONOSTIC
CONCLUSION |
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11 | NUTRITION
La nutrition postopératoire
chez le chien et le chat
Laurence Colliard, Géraldine Blanchard | | QUAND NOURRIR L’ANIMAL EN PHASE POSTOPÉRATOIRE ?
Encadré - Pourquoi nourrir rapidement l’animal opéré ? QUEL ALIMENT CHOISIR EN PHASE POSTOPÉRATOIRE ?
QUELLE QUANTITÉ ET QUEL RYTHME DE DISTRIBUTION ? Tableau 1 - Exemple de réalimentation d’un chat suivant la durée de son anorexie et exprimé en proportion du besoin énergétique et ml/kg de poids vif/j d’un aliment liquide à 1 kcal/mlEncadré - Que faire si l’animal est anorexique ? CONCLUSION 3 photos illustrent cet article.
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12 | IMMUNOLOGIE ET LE B.A. BA EN BD
Les phénomènes de cyto-adhérence
et de séquestration
Gilles Bourdoiseau, Delphine Grezel, Frédéric Mahé
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UNE HÉMOLYSE MASSIVE due à la destruction anticorps-dépendante d’hématies non parasitées Encadré 1 - Les manifestations cliniques de la babésiose et leur mécanisme Figure 1 - Le mécanisme d’hémolyse des hématies parasitées et non parasitées DES FORMES CLINIQUES GRAVES, EN PARTICULIER CEREBRALES dues à la séquestration des hématies Encadré 2 - Le phénomène de séquestration lors de neuropaludisme chez l’Homme Figure 2 - Le mécanisme des phénomènes de cyto-adhérence et de séquestration CONCLUSION |
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13 | PRINCIPE ACTIF
L'imidocarbe
Hervé Pouliquen
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PHARMACOLOGIE Pharmacocinétique PharmacodynamieEffets protisticides Encadré - Propriétés physio-chimiques Figure - Structure de l’imidocarbe
Effets indésirables
USAGE THÉRAPEUTIQUE Indications et modalités d’administration Interactions médicamenteuses et contre-indications Précautions d’emploi Administration |
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14 | N.A.C. Les zoonoses
transmises à l'Homme
par les reptiles et les poissons
Hervé Pouliquen | | LES ZOONOSES TRANSMISES PAR LES REPTILES Les zoonoses bactériennes La salmonellose Encadré - Les précautions à prendre avec les reptiles et les poissons La tuberculose Les autres affections bactériennes LES ZOONOSES TRANSMISES PAR LES POISSONS
CONCLUSION 5 photos illustrent cet article.
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15 | MANAGEMENT ET ENTREPRISE - Dossier
Marketing de l’examen de santé annuel
Philippe Baralon | | L’EXAMEN ANNUEL DE SANTÉ : UN HYPERTYPE Figure - Les différents éléments de l’activité des entreprises vétérinaires
Des raisons techniques
Des raisons historiques
TROIS OBJECTIFS À IDENTIFIER
Encadré 1 - Choisir l’expression “examen annuel de santé” ? Encadré 2 - Pratiquer un prix uniqueTRAVAILLER LA PERCEPTION DU CONTENU DEUX OUTILS DE COMMUNICATION : LE RAPPEL ET LE FICHIER MÉDICAL
Le rappel d’examen annuel de santé
Le fichier médical, 1er outil de fidélisation CONCLUSION |
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16 | MANAGEMENT ET ENTREPRISE - Témoignage Un protocole rigoureux
pour l’examen de santé annuel
Jean-Jacques Bynen | | NOTRE ANALYSE A POSTERIORI
CONCLUSION 3 photos illustrent cet article.
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