| | | | 1 | DOSSIER : LES GINGIVITES chez le chien et le chat
Comment réaliser l’examen
de la gencive chez le chien et le chat Roger Mellinger
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L'examen de la cavité buccale doit être réalisé au cours de chaque consultation afin de ne pas passer à coté d'une affection buccale. La connaissance de l'anatomie est indispensable. L'examen visuel permet d'observer la gencive libre, la gencive attachée et la ligne mucogingivale. L'importance de la plaque dentaire, son degré de minéralisation et la réaction du tissu gingival sont appréciés.
Il n'y a pas de lien direct entre l'importance du tartre et celle des lésions du tissu parodontal. Lorsque l'inflammation est limitée à la gencive libre, la maladie parodontale est réversible. Le principal objectif d'un examen régulier de la bouche est de pouvoir intervenir avant le stade des lésions irréversibles. L'élimination du tartre est le préalable indispensable à un examen complet du parodonte.
L'examen instrumental est facile à réaliser avec une sonde exploratrice et une sonde graduée. La sonde parodontale graduée permet de mesurer la profondeur du sillon alvéolo-dentaire et d'évaluer la qualité de l'attache épithéliale. L'examen du parodonte peut être complété par des clichés radiographiques dentaires. Ceux-ci sont nécessaires pour évaluer la qualité de la racine, de l'endodonte, et de l'os alvéolaire. |
| | 2 | DOSSIER : LES GINGIVITES chez le chien et le chat - Immunologie
La cavité buccale :
un milieu de compétition
chez le chien et le chat François Debette
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La cavité buccale est un milieu ouvert sur l’extérieur, dans lequel les bactéries sont organisées en biofilms. Le biofilm est un remarquable moyen d’adaptation des bactéries à un environnement hostile, puisqu'il leur assure protection et coopération, ce qui optimise ainsi leur chance de survie.
Les muqueuses et les surfaces de la cavité buccale créent des conditions de milieu différentes. L’écosystème buccal peut être défini comme l’ensemble de ces niches.
Une compétition permanente existe entre les bactéries commensales, qui sont naturellement présentes et qui occupent les surfaces, et d’éventuels germes pathogènes qui veulent y adhérer.
Face à cette agression permanente de nouvelles bactéries, l’organisme a développé plusieurs niveaux de réponse :
- une réponse sécrétoire locale extra-cellulaire dans le fluide salivaire, qui, en neutralisant les antigènes bactériens évite une stimulation et une réponse immunitaire excessive ;
- une réponse immunitaire locale à dominante phagocytaire et inflammatoire ;
- une réponse immunitaire générale avec production d’anticorps spécifiques.
De l’ensemble de ces interactions résulte un équilibre fragile, qualifié de santé bucco-dentaire. |
| | 3 | DOSSIER : LES GINGIVITES chez le chien et le chat
La gingivite : stade initial
de la maladie parodontale
chez le chien et le chat Philippe Masse
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PLUSIEURS DÉFINITIONS DE LA GINGIVITE ?Tableau - Indice de maladie parodontale vétérinaire LA MALADIE PARODONTALE : UNE AGRESSION BACTÉRIENNE
La gingivite : à contrôler pour éviter la maladie parodontaleLa maladie parodontaleFigure - évolution d’une maladie parodontale, de la gingivite marginale à la parodontiteLa maladie parodontale chez le chatLES FACTEURS FAVORISANTS ET/OU AGGRAVANTS
La race
La conformation des mâchoires
Les malocclusions
La rétention des dents déciduales
Le tartre
Les lésions de résorption
Les fractures dentaires
Les agressions chimiques
L’alimentation
La respiration buccale
Les affections systémiquesCONCLUSION6 photos illustrent cet article. |
| | 4 | DOSSIER : LES GINGIVITES chez le chien et le chat
La prophylaxie des gingivites
liées à la maladie parodontale
chez le chien et le chat Ronan Cognet
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La maladie parodontale est, aujourd’hui encore, trop présente chez les animaux. Pour agir, la sensibilisation des propriétaires est essentielle.
Pour ce faire, il est nécessaire d'informer le propriétaire sur la nature de la plaque dentaire et sur son développement, d'expliquer les premiers signes de la gingivite, signal d’alarme de la maladie parodontale, d'évoquer les risques encourus, qu’ils soient locaux, régionaux ou systémiques, de proposer des soins dentaires simples, et d'accompagner le maître dans le choix des soins d’hygiène à domicile, aujourd’hui disponibles.
Il existe un large choix de méthodes mais toutes ne se valent pas. |
| | 5 | DOSSIER : LES GINGIVITES chez le chien et le chat
Le traitement médical
de la maladie parodontale
chez les chiens et les chats Roger Mellinger
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La maladie parodontale est la maladie la plus fréquente chez le chien et le chat. La gingivite est le premier indicateur de la souffrance gingivale. Son observation doit attirer l'attention sur l'évolution d'une maladie parodontale. Le praticien doit alors examiné l'ensemble du parodonte.
La gencive constitue le parodonte superficiel tandis que le ligament parodontal et l'os alvéolaire forment le parodonte profond. La mesure de la profondeur du sulcus et la prise de clichés radiographiques permettent d'évaluer l'ensemble du parodonte.
Ce n'est qu'après un examen précis qu’un plan de traitement peut être établi.
Le détartrage est la première étape de ce traitement, il permet d'éliminer tous les dépôts minéralisés, y compris le tartre sous-gingival. L’épithélium de jonction se trouve au fond de l'espace sous-gingival. Il représente la barrière anatomique qui s'oppose à la progression de la maladie.
La mise en œuvre d'un traitement médical efficace ne peut s'envisager que s'il est intégré dans un plan de traitement rationnel. La maladie parodontale est une maladie bactérienne. L'utilisation de substances à activité antibactérienne est indiquée par voie locale ou générale. Ce traitement peut être mis en place avant le détartrage pour réduire la charge bactérienne, ou après, pour favoriser la réparation tissulaire dans un environnement peu infecté.
Une solution de chlorhexidine à 0,2 p. cent est le traitement local le plus documenté. Le traitement antibiotique par voie générale doit être actif sur les bactéries anaérobies. Les anciens antibiotiques (la clindamycine et l'association spiramycine-métronidazole) sont toujours efficaces. Deux nouveaux choix existent avec la cefovecine et la pradofloxacine. Dans tous les cas, aucun traitement médical ne peut montrer son efficacité si l'assainissement de l'espace parodontal n'a pas été réalisé correctement. La conduite d'un plan de traitement rationnel est fondamentale. |
| | 6 | DOSSIER : LES GINGIVITES chez le chien et le chat
Le traitement chirurgical
des gingivites chez le chien Florian Boutoille
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La phase initiale du traitement de la maladie parodontale consiste à éliminer de manière mécanique la plaque dentaire et le tartre, qui se situe sur les couronnes dentaires (détartrage supra-gingival), mais aussi sous les gencives (détartrage ou débridement sous-gingival).
Le détartrage supra-gingival est, en général, réalisé avec un détartreur ultrasonique magnétostrictif ou piézoélectrique. Le détartrage sous-gingival peut être réalisé manuellement, avec des curettes spécifiques (universelle ou Gracey), ou mécaniquement, avec des inserts spécifiques montés sur le détartreur réglé à faible puissance.
Lors d’atteinte plus importante du parodonte, les dents peuvent nécessiter d'être extraites. Les dents pluriradiculées sont sectionnées en autant de fragments qu’elles possèdent de racines. Le praticien doit évaluer si une extraction simple est suffisante ou s’il doit effectuer une extraction chirurgicale. Dans certains cas, une chirurgie gingivale est indiquée, telle qu’une gingivectomie/gingivoplastie, ou encore certains types de lambeaux gingivaux. |
| | 7 | FÉLINE - Observation clinique
Diagnostic et traitement
d’un pyothorax chez un chat
Laurie Baron, Jack-Yves Deschamps, Anabelle Garand, Ophélie Marie-Magdelein
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Un jeune chat âgé de 9 mois est présenté en consultation d’urgences pour dyspnée.
L’examen clinique, l’imagerie médicale ainsi que des analyses bactériologiques ont permis de diagnostiquer un pyothorax consécutif à un abcès. La souche Porphyromonas a pu être isolée.
Une fois l’animal stabilisé par un traitement médical, un drainage thoracique est effectué pour drainer l’épanchement thoracique.
Le traitement chirurgical de l’abcès, par accès diaphragmatique, a pu être mis en œuvre, car la cause du pyothorax a été déterminée. Cependant, il est fréquent que l’origine de la cause reste inconnue.
Des radiographies postpératoires montrent une évolution favorable du pyothorax. Cinq jours après la sortie, l’état de santé général du chat est très satisfaisant.
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| | 8 | MANAGEMENT
Le marché des soins dentaires Roger Mellinger
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Pour définir une stratégie, il convient de disposer de toutes les informations concernant l’animal. Chez les animaux de compagnie, les besoins en soins dentaires sont importants et correspondent à une nécessité médicale.
Les propriétaires sont demandeurs de tels soins et sont parfaitement capables de comprendre les enjeux liés à la santé buccale. La maîtrise des techniques de soins dentaires s'envisage en tenant compte de la fréquence des affections et des difficultés techniques.
La maladie parodontale représente une dominante pathologique, il est donc logique de concentrer son offre de soins sur cette maladie. Le vétérinaire dispose de nombreux outils de communication pour faire connaître son offre de service. Dans une structure employant plusieurs vétérinaires et ASV (auxiliaires spécialisés vétérinaires), il est important que toute l'équipe adhère à la stratégie retenue. |
| | 9 | MANAGEMENT
Soins dentaires :
le plateau technique Roger Mellinger
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Dans une stratégie de développement de l'offre de soins dentaires, l'acquisition d'un plateau technique dédié à cette activité doit être prévue. Tout vétérinaire dispose, dans sa propre clientèle, d'un volume de travail suffisant pour justifier, d’un point de vue économique, d'un équipement dédié aux traitements de la maladie parodontale, et aux extractions. Les instruments à main, les équipements rotatifs, et une radiographie dentaire sont indispensables pour cette activité de base.
Les soins moins fréquents et plus techniques, tels que les fractures dentaires et l'orthodontie, peuvent être abordés par ceux qui manifestent un intérêt pour ces disciplines. Un unit dentaire, associé à un compresseur, est un équipement évolutif qu'il est possible de compléter en fonction des besoins futurs. |
| | 10 | SITUATION PARTICULIÈRE EN ANESTHÉSIE
résumé et plan de l'article
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Comment anesthésier
un chien ou un chat âgé Baptiste Mester, Delphine Holopherne-Doran
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Les animaux âgés peuvent avoir des anomalies au niveau de chaque fonction de l’organisme, ou avoir leurs capacités de réponses aux stress physiologique et pharmacologique diminuées. Ces anomalies conduisent à augmenter le temps d’induction par anesthésie injectable et volatile, diminuent la tolérance de l’organisme en cas de pertes sanguines, diminuent la capacité ventilatoire, modifient l’élimination des produits anesthésiques et analgésiques, et ont des conséquences immunitaires plus fréquentes.
Aucune molécule n’est contre-indiquée chez un animal âgé sain. Le flux sanguin peut être ralenti et redirigé vers le cœur et le cerveau, ce qui peut être responsable de surdosage. La préanesthésie sert à réduire l’anxiété et le stress, et à utiliser des doses plus faibles lors de l’induction.
La tilétamine et le zolazépam ne sont pas recommandés. Tous les agents d’entretien ont chacun leurs défauts, le choix est réfléchi en fonction du bilan clinique. Des morphiniques et/ou l’analgésie locorégionale sont conseillés.
La période de jeûne est de 8 h. Il convient de porter une attention particulière aux traitements mis en place (IECA, AINS, …). Un examen clinique préopératoire est indispensable ; pour toute découverte suspecte, effectuer des examen(s) spécifique(s). Il est nécessaire de préoxygéner les animaux. Le monitoring postopératoire est adapté aux besoins de chaque animal et de chaque intervention. Une surveillance de l’hypothermie, de l’hypoxémie, de l’hypotension, de la douleur, … (arthrose, etc.) est importante. PRÉCAUTIONS OU RECOMMANDATIONS ANESTHÉSIQUES SPÉCIFIQUES AU VIEILLISSEMENTPour l’appareil cardiovasculaireTableau 1 - Répercussion systémiques possibles chez un chien ou un chat âgéPour l’appareil respiratoire
Pour la fonction hépatique
Pour la fonction rénale
Pour le système nerveux
Pour le système immunitairePRÉCAUTIONS/RÉANIMATION PÉRIANESTHÉSIQUEEncadré - Protocole anesthésique pour un animal âgé Tableau 2 - Indications des principaux anesthésiques lors de l’anesthésie d’un chien ou d’un chat âgé Prise en charge préanesthésique
Les précautions pour les voies respiratoires
Les précautions pour la fluidothérapie
Les précautions pour le monitoring
Les précautions pour la thermorégulation
La prise en charge de la douleurFigure - Les mesures associées à l’anesthésie du chien ou du chat âgéCONCLUSION4 photos illustrent cet article. |
| | 11 | LÉGISLATION
résumé et plan de l'article
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Les responsabilités du vétérinaire Christian Diaz
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Les responsabilités du praticien sont nombreuses et complexes. Si la mise en jeu de la responsabilité pénale est rare, le contentieux des responsabilités civiles et disciplinaires est de plus en plus riche.
Les responsabilités civiles contractuelles ne se limitent pas au seul contrat de soins, elles s’étendent au contrat de dépôt pour les animaux conservés en dehors de l’acte médical. Si l’obligation de soins est une obligation de moyens, l’obligation d’information est une obligation de résultat à la charge du praticien.
En cas de dommages provoqués par les animaux dont il a la garde juridique, le praticien en est présumé responsable à titre délictuel. En matière civile, la réparation est financière.
En cas d’infraction aux dispositions du code de déontologie vétérinaire, le vétérinaire peut aussi être poursuivi devant les chambres de discipline vétérinaire, présidées par un magistrat professionnel, susceptibles de prononcer uniquement des sanctions professionnelles.
La protection du vétérinaire repose sur trois piliers : sa compétence, le consentement éclairé du client, et un solide contrat d’assurance adapté à son activité. LES RESPONSABILITÉS CIVILES
Les responsabilités contractuelles Le contrat de soins Encadré 1 - Contrat de soin et la responsabilité du médecin ou du vétérinaire Encadré 2 - L’obligation d’information Encadré exemple - Formulaire type de contrat de soinsLe contrat de dépôt Le contrat d’entreprise La responsabilité civile délictuelle
LA RESPONSABILITÉ PÉNALE
LA RESPONSABILITÉ DISCIPLINAIRE
CONCLUSION
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| | 12 | N.A.C.
L’hématobiochimie
chez les rongeurs
et les lapins de compagnie Didier Boussarie
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NORMES SANGUINES DES RONGEURS ET DES LAPINS DE COMPAGNIETableau 1 - Principaux paramètres physiologiques du lapin de compagnie Tableau 2 - Principaux paramètres physiologiques des rongeurs de compagnie HématologieTableau 3 - Paramètres hématologiques du lapin de compagnie Tableau 4 - Principaux paramètres hématologiques des rongeurs Érythrocytes
Leucocytes
Thrombocytes
Autres caractères hématologiques
Intérêt et limites de l’hématologieEncadré - Prélèvement Encadré - Les techniques de prélèvementBIOCHIMIE
Les paramètres biochimiquesTableau 5 - Principaux paramètres biochimiques du lapin de compagnie Tableau 6 - Principaux paramètres biochimiques des rongeurs Caviomorphes et SciuromorphesIntérêt et limites de la biochimie
LES APPLICATIONS LORS DES PRINCIPALES AFFECTIONS
Le lymphosarcome du cobaye
L’insuffisance rénale chez les rongeurs et lapins de compagnieSignes cliniques Le diabète sucré chez le lapin et chez les rongeurs de compagnieÉtiologie Signes cliniques Diagnostic CONCLUSION19 photos illustrent cet article.
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| | 13 | DOSSIER : LES GINGIVITES chez le chien et le chatRevue à feuilleter en ligne
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| Sauter N°50, volume 11, 2012Sauter sommaire
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Éditorial par Roger Mellinger Test clinique - Diarrhée, décubitus latéral sur un Cairn terrier de 6 ans Caroline Tardieu
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CANINE - Comment réaliser l’examen de la gencive chez le chien et le chat Roger Mellinger - Immunologie - La cavité buccale : un milieu de compétition chez le chien et le chat François Debette - La gingivite : stade initial de la maladie parodontale chez le chien et le chat Philippe Masse - La prophylaxie des gingivites liées à la maladie parodontale chez le chien et le chat Ronan Cognet - Le traitement médical de la maladie parodontale chez les chiens et les chats Roger Mellinger - Le traitement chirurgical des gingivites chez le chien Florian Boutoille
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FÉLINE - Observation clinique - Diagnostic et traitement d’un pyothorax chez un chat Laurie Baron, Jack-Yves Deschamps, Anabelle Garand, Ophélie Marie-Magdeleine
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RUBRIQUES - Management - Le marché des soins dentaires Roger Mellinger - Management - Soins dentaires : le plateau technique Roger Mellinger - Situation particulière en anesthésie - Comment anesthésier un chien ou un chat âgé Baptiste Mester, Delphine Holopherne-Doran - Législation - Les responsabilités du vétérinaire Christian Diaz - N.A.C. - L’hématobiochimie chez les rongeurs et les lapins de compagnie Didier Boussarie
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FMCvét - formation médicale continue vétérinaire - Revue de presse internationale - Notre sélection d’articles par Anne Gogny, Julien Debeaupuits, Pauline Fick, Annabelle Garand,Fabien Klodzinski, Emmanuel Topie, Olga Topie - Gastro-entérologie - Corps étrangers œsophagiens chez le chien : étude de 34 cas - Imagerie - Défaut de corrélation entre l’apparence échographique du parenchyme hépatique et son analyse histologique chez le chien - Locomoteur - Comparaison entre la gestion conservative et arthroscopique de la fragmentation du processus coronoïde médial chez le chien - Chirurgie - Antisepsie pré-chirurgicale des mains : concept et habitude des chirurgiens vétérinaires - Reproduction - Rétention fœtale partielle après un traitement par l'aglépristone chez une chienne - Un volumineux kyste ovarien chez une chienne stérilisée - Vaginouréthroplastie comme procédure salvatrice dans la gestion d’une rupture urétrale traumatique chez un chat
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Test clinique - Les réponses
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