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LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES
CHEZ LE CHIEN ET LE CHAT
| | | | 1 | DOSSIER : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chien et le chat
résumé et plan de l'article
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Causes et conséquences
d’une rétention vésicale
chez le chien et le chat
Christelle Maurey-Guenec
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Les causes de rétention vésicale sont multiples chez le chien et le chat. Elles se distinguent selon leur mécanisme : fonctionnelles ou lésionnelles.
Les calculs, les tumeurs sont des des causes communes aux deux espèces.
Les bouchons urétraux sont plus fréquents chez le chat tandis que la dyssynergie vesico sphinctérienne est surtout décrite chez les chiens mâles de grand format.
La présence d’une dysurie, d’une distension vésicale sont des signes qui peuvent orienter vers une rétention vésicale. Cette dernière peut se compliquer d’une insuffisance rénale, d’une atonie du détrusor et est fréquemment associée à une infection du tractus urinaire.
Disciplines : urologie, néphrologie, médecine interne
Mots-clés : dysurie, hypotonie, atonie, rétention vésicale, insuffisance rénale aiguë, post rénale, tractus urinaire, détrusor, chien, chat
PLAN DE L'ARTICLE
LES CAUSES DE RÉTENTION VÉSICALE
Les mécanismes impliqués
L’étiologie
Chez le chien
Chez le chat
Encadré 1 - Rappels d’anatomie et de physiologie
Figure 1 - Représentation schématique des nerfs impliqués dans la miction
LES CONSÉQUENCES D’UNE RÉTENTION VÉSICALE
Manifestations cliniques d’une rétention vésicale
L’examen clinique
Les complications associées à une rétention vésicale
L’insuffisance rénale aiguë post-rénale
L’atonie du détrusor
Infections du tractus urinaire
CONCLUSION
3 photos illustrent cet article
Christelle Maurey-Guenec
Christelle Maurey-Guenec est Maître de Conférences en Médecine interne (PhD)
1998 : Diplôme de fin d’étude vétérinaire, ENV Alfort
2000 : Diplôme d’internat en médecine interne, ENV Alfort
2001 : CEAV de médecine interne
2002 : Doctorat vétérinaire, Lauréat de l’université de Paris XII. « Efficacité et innocuité du transfert de gène par vecteur adénoviral par voie intra-rénale chez le chien » - Mention très honorable. Prix de thèse : Médaille d'argent
2003 : Diplôme de fin d’étude vétérinaire, ENV Alfort
2007 : Diplôme d’internat en médecine interne, ENV Alfort
Depuis septembre 2015 : Résidente ECVIM-CA | 
| | | 2 | DOSSIER : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chien et le chat
résumé et plan de l'article
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Conduite diagnostique à tenir
face une rétention vésicale
chez le chien et le chat
Elisabeth Robin, Harriet Hahn, Eymeric Gomes,
Kevin Le Boedec
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L'émission d'urine est une action capitale pour l'équilibre physiologique de l'organisme. Une rétention vésicale peut avoir de graves conséquences pour la fonction urinaire et cardio-vasculaire. Une prise en charge rapide est donc indispensable, mais le diagnostic étiologique peut parfois s'avérer complexe et long.
Afin de garantir une gestion thérapeutique adaptée, la conduite diagnostique doit être progressive et raisonnée. Dans un premier temps, le recueil complet des commémoratifs est nécessaire : mode de vie de l'animal, antécédents de trauma ou de chirurgie, traitement en cours, …
L'examen clinique général doit être exhaustif. L'inspection des voies urinaires et génitales représente un temps fondamental de la consultation. L’entretien avec le propriétaire est important, et peut être complété par l’observation d’une miction spontanée. Un sondage urinaire à l'issue d’une miction permet de déterminer le volume résiduel, et d’évaluer la difficulté au sondage.
Si la rétention urinaire est accompagnée de déficits neurologiques des membres postérieurs, les hypothèses diagnostiques sont orientées vers des atteintes médullaires/
nerfs périphériques.
Dans le cas contraire, des examens d'imagerie de première intention (radiographie avec ou sans marquage, échographie abdominale) permettent d'explorer la majorité des étiologies possibles. Des examens complémentaires de seconde intention existent pour les cas plus compliqués.
Disciplines : urologie, néphrologie, médecine interne, diagnostic, imagerie
Mots-clés : rétention vésicale, globe vésical, tumeur vésicale, cystoscopie, urétroscopie, endoscopie urinaire, atonie vésicale, hypertonie sphinctérienne, sondage urinaire, chien, chat
PLAN DE L'ARTICLE
RECUEIL DES COMMÉMORATIFS ET DE L’ANAMNÈSE
Tableau 1 - Principales informations à recueillir lors de l’entretien avec le propriétaire et de l’examen clinique
Figure - Conduite diagnostique de l’exploration d’une rétention vésicale
LES MÉCANISMES DE LA RÉTENTION VÉSICALE
Un défaut de contraction vésicale
La conséquence d’une atteinte neurologique
Tableau 2 - Les principales causes de rétention urinaire
Une origine musculaire
Une origine anatomique
Une résistance sphinctérienne inappropriée
IMPORTANCE ET IDENTIFICATION DES SIGNES CLINIQUES ASSOCIÉS
Examen clinique général
Examen de l’appareil uro-génital
Tableau 3 - Causes neurologiques de rétention vésicale
Examen neurologique
Tableau 4 - Résultat de la palpation vésicale et causes possibles
L’ÉVALUATION DE LA MICTION ET LE SONDAGE URINAIRE
Évaluer la miction
Tableau 5 - Patrons mictionnels anormaux et interprétation étiologique
Tableau 6 - Résultat du sondage urétral et interprétation étiologique
Le sondage urinaire
L’analyse des urines
LES EXAMENS COMPLÉMENTAIRES DE 1ERE INTENTION
Une radiographie abdominale sans contraste
Technique
Lésions
Une échographie abdominale
Technique
Lésions
Une urétrographie rétrograde
Technique
Lésions
LES EXAMENS COMPLÉMENTAIRES DE 2E INTENTION
Tomodensitométrie
Endoscopie urinaire
Profil uro-dynamique
EMG
CONCLUSION
7 photos illustrent cet article
Elisabeth Robin
Elisabeth Robin est docteur vétérinaire, elle a une activité de clinicienne en médecine interne au CHV Fregis
2012 : Diplômée de l’école vétérinaire d'Alfort
2012-2013 : Internat à l'ENVA
2013-2015 : Assistante et chargé de consultation de médecine à l'ENVA
2016 : Certificat d'etudes approfondies vétérinaires en médecine interne
2015-2017 : Assistante en médecine interne au CHV Fregis
2017 : Résidence en médecine interne ECVIM-CA
Kevin Le Boedec
Kevin Le Boedec est diplômé du Collège Américain de Médecine Interne (ACVIM (SAIM)) et du Collège Européen de Médecine Interne (ECVIM-CA) et est titulaire du Certificat d’Études Approfondies Vétérinaire de Médecine Interne (CEAV-MI) et d’un Master 2 Recherche en Épidémiologie Clinique.
2007 : Diplômé de l’École Nationale Vétérinaire de Nantes, Interne en clinique des carnivores domestiques puis un assistant de médecine à l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort
2009-2010 : Enseignant-chercheur en Médecine Interne à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse, résidence de Médecine Interne à l’Université d’Illinois aux Etats-Unis.
Depuis 2015 : Service de Médecine Interne du CHV Frégis
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résumé et plan de l'article
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Obstructions et sub-obstructions
urétérales : Quand les suspecter ?
Quelle démarche diagnostique ?
Cédric Dufayet
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En empêchant l’écoulement normal de l’urine du rein vers la vessie, l’obstruction urétérale entraîne une augmentation de pression intrarénale et urétérale. Il en résulte une chute du débit de filtration glomérulaire ainsi que des dégâts potentiellement irréversibles sur le rein atteint.
L’obstruction urétérale sur calcul chez le chat a vu sa prévalence considérablement augmenter au cours des deux dernières décennies, au point de devenir la principale cause d’insuffisance rénale aiguë dans cette espèce.
Elle participe également dans certains cas, à l’installation et à la progression d’une maladie rénale chronique. Les signes cliniques sont en général vagues et peu spécifiques.
Le diagnostic repose essentiellement sur les examens d’imagerie. Dans la grande majorité des cas, l’échographie abdominale et la radiographie conventionnelle suffisent pour confirmer et pour caractériser une obstruction urétérale.
Dans les cas plus complexes, le recours à une pyélographie antérograde ou à un examen tomodensitométrique peut être nécessaire.
Disciplines : urologie, néphrologie, médecine interne, biologie, chimique, imagerie
Mots-clés : échographie, radiographie, tomodensitométrie, uretère, obstruction, lithiase, chien, chat
PLAN DE L'ARTICLE
Chez le chat
Chez le chien
PHYSIOPATHOLOGIE
Tableau - Causes d’obstructions urétérales
Figure 1 - Impact d’une obstruction urétérale sur le débit de filtration glomérulaire
PRÉSENTATION CLINIQUE
Figure 2 - Diagramme décisionnel face à des obstructions
Chez le chat
Chez le chien
CONDUITE DIAGNOSTIQUE
Examens sanguins
Examens urinaires
Examens d’imagerie
Échographie
Radiographie
Urographie intraveineuse
Pyélographie antérograde
Examen tomodensitométrique
CONCLUSION
9 photos illustrent cet article
Cédric Dufayet
2001 : Diplômé de l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort
2001-2003 : Interne et assistant de Clinique du Service de Médecine de l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort
2003-2011 : Praticien en clientèle canine à Montigny-lès-Cormeilles
2016 : Diplômé en hémodialyse vétérinaire de l’Université de Californie - Davis
Depuis 2011 : Praticien en clientèle canine à Saint-Orens de Gameville |
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résumé et plan de l'article
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Les incontinences urinaires d’origine
neurologique chez le chien et le chat :
physiopathogénie, diagnostic
et traitement
Hélène Vandenberghe, Stéphane Blot
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La continence urinaire résulte d’une coordination entre la phase de stockage des urines par le bas appareil urinaire et la miction. Elle est sous contrôle des nerfs hypogastriques procédant du segment médullaire L1-L4 et pelviens et honteux procédant du segment médullaire S1-S3, dont la coordination est médiée par des réflexes spinaux segmentaires et des voies
supraspinales.
Une incontinence urinaire est fréquemment rencontrée lors de maladie neurologique. On parle de vessie MNC lors d’atteinte suprasacrée, crâniale à S1, à l’origine d’une perte de réflexe de miction.
La cause la plus fréquente est une hernie discale thoracolombaire de stade avancé. Une vessie MNP est consécutive à une atteinte sacrée (S1-S3).
L’obtention d’une anamnèse précise, la réalisation d’un examen clinique et neurologique exhaustif permettent de caractériser précisément
l’incontinence.
Dans certains cas, un profil urodynamique permet d’obtenir des éléments complémentaires et constitue un support pour le suivi. Une prise en charge adaptée et précoce est nécessaire. Toute incontinence urinaire neurogène est responsable d’une rétention urinaire et la vidange vésicale et la surveillance des infections du tractus urinaire constituent les pierres angulaires de la prise en charge, concomitantes au diagnostic et au traitement de la maladie neurologique. L’on pourra s’aider dans certains cas de drogues modulant le fonctionnement de la vessie et des sphincters.
Disciplines : urologie, néphrologie, neurologie, diagnostic, thérapeutique
Mots-clés : incontinence urinaire, rétention urinaire, réflexe de miction, motoneurone central, motoneurone périphérique, dyssynergie vésico-sphinctérienne, profil urodynamique, bétanéchol, chien, chat
PLAN DE L'ARTICLE
PHYSIOPATHOLOGIE DES INCONTINENCES URINAIRES NEUROGÈNES
Les vessies de type motoneurone central, dites MNC
Encadré - Neuroanatomie et neurophysiologie de la miction
Figure 1 - Innervation de la vessie
Tableau 1 - Nerfs, types d’innervations et récepteurs impliqués
dans le contrôle de la miction
Figure 2 - Phase de remplissage vésical
Figure 3 - Phase de vidange vésicale
Les vessies de type moto-neurone périphérique dites MNP
SIGNES CLINIQUES, DIAGNOSTIC ET PRONOSTIC
Figure 4 - Conséquences cliniques de l’incontinence urinaire
lors de myélopathie suprasacrée grave
Tableau 2 - Éléments d’orientation vers une vessie MNC et une vessie MNP
Examen clinique
Examen neurologique
Examens complémentaires
Examen urodynamique
Télémétrie
TRAITEMENT
Les infections du tractus urinaire
Figure 5 - Profil urodynamique
Gestion pharmacologique de la vessie
Traitement chirurgical spécifique des vessies MNC
Tableau 3 - Molécules modulant le fonctionnement du bas appareil urinaire
CONCLUSION
3 photos illustrent cet article
Hélène Vandenberghe
Hélène Vandenberghe est docteur vétérinaire
et résidente en neurologie ECVN (European College of Veterinary Neurology)
2009-2014 : Études vétérinaires à l’École Nationale Vétérinaire de Nantes-Oniris (ENVN)
2014-2015 : Internat en médecine et chirurgie des animaux de compagnie au Centre hospitalier universitaire vétérinaire d’Alfort (ChuvA)
Depuis 2015 : Résidence européenne en neurologie (ECVN) au Centre hospitalier universitaire vétérinaire d’Alfort (ChuvA) |
| | | 5 | FÉLINE : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chat
résumé et plan de l'article
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Fiche
Protocole de traitement médical
d’une lithiase urétérale
Mathieu Manassero, Christelle Maurey-Guenec
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Fluidothérapie
Diurétiques
Anti-spasmodiques et myorelaxants
Antalgiques
Antibiothérapie
2 photos illustrent cet article
Mathieu Manassero est docteur vétérinaire,
docteur en Sciences, et diplômé du collège Européen
de chirurgie Vétérinaire (dipECVS).
Il est actuellement maitre de conférence en chirurgie
à l'École Nationale Vétérinaire de Maisons Alfort
2000-2005 : Etudes vétérinaire à l'école de Nantes
2005-2006 : Internat en médecine et en chirurgie des animaux de compagnie à l'école d'Alfort
2006-2007 : Assistanat en chirurgie des animaux de compagnie à l'école d'Alfort
2007-2011 : Chargé de consultation en chirurgie des animaux de compagnie à l'école d'Alfort et étudiant en thèse de Sciences à l'Université Paris 7
2011-2014 : Résidanat de chirurgie à l'école d'Alfort
Christelle Maurey-Guenec
Christelle Maurey-Guenec est Maître de Conférences en Médecine interne (PhD)
1998 : Diplôme de fin d’étude vétérinaire, ENV Alfort
2000 : Diplôme d’internat en médecine interne, ENV Alfort
2001 : CEAV de médecine interne
2002 : Doctorat vétérinaire, Lauréat de l’université de Paris XII. « Efficacité et innocuité du transfert de gène par vecteur adénoviral par voie intra-rénale chez le chien » - Mention très honorable. Prix de thèse : Médaille d'argent
2003 : Diplôme de fin d’étude vétérinaire, ENV Alfort
2007 : Diplôme d’internat en médecine interne, ENV Alfort
Depuis septembre 2015 : Résidente ECVIM-CA |
| | | 6 | FÉLINE : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chat
résumé et plan de l'article
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Prise en charge thérapeutique
des obstructions urétérales chez le chat
Mathieu Manassero, Christelle Maurey-Guenec
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Les obstructions urétérales sont des affections de plus en plus fréquemment diagnostiquées chez le chat. La cause la plus commune est la présence de lithiases oxalocalciques.
Dans ce contexte, le traitement médical correspond principalement à une réanimation pré-opératoire avant un geste chirurgical de reperméabilisation urétérale lorsque le caractère obstructif est clairement démontré.
La dérivation pyélovésicale extra-urétérale semble être un traitement prometteur, malgré le faible recul actuel.
La morbimortalité reste néanmoins élevée avec près de 10 p. cent de mortalité périopératoire, et 10 à 50 p. cent de complications post-opératoires telles que notamment des cystites, des infections ou des obstructions.
Disciplines : urologie, néphrologie, médecine interne, chirurgie, imagerie
Mots-clés : stent pyélovésical SPV, dérivation pyélovésicale extra-urétérale DPV, obstructions urétérales, affections, lithiases oxalocalciques, traitement, réanimation, reperméabilisation urétérale, complications, chat
PLAN DE L'ARTICLE PRISE EN CHARGE MÉDICALE
Objectifs
Mise en œuvre
Suivi
Figure 1 - Critères orientant vers une prise en charge chirurgicale lors d’urétérolithiase chez le chat
DÉCISION OPÉRATOIRE
STABILISATION PRÉOPÉRATOIRE ET ANESTHÉSIE
LES PROCÉDURES CHIRURGICALES
Encadré 1 - Technique de reperméabilisation temporaire par mise en place d’une sonde de néphrostomie
Principes et indications de la dérivation pyélovésicale extra-urétérale
Soins post-opératoires et suivi
Résultats, avantages et limites de la technique
Encadré 2 - Principe de mise en place d’une dérivation pyélovésical extra-urétérale (DPV)
Tableau - Avantages et inconvénients de la dérivation pyélovésicale extra-urétérale
Complications
PRONOSTIC À LONG TERME
CONCLUSION
3 photos illustrent cet article
Mathieu Manassero est docteur vétérinaire,
docteur en Sciences, et diplômé du collège Européen
de chirurgie Vétérinaire (dipECVS).
Il est actuellement maitre de conférence en chirurgie
à l'École Nationale Vétérinaire de Maisons Alfort
2000-2005 : Etudes vétérinaire à l'école de Nantes
2005-2006 : Internat en médecine et en chirurgie des animaux de compagnie à l'école d'Alfort
2006-2007 : Assistanat en chirurgie des animaux de compagnie à l'école d'Alfort
2007-2011 : Chargé de consultation en chirurgie des animaux de compagnie à l'école d'Alfort et étudiant en thèse de Sciences à l'Université Paris 7
2011-2014 : Résidanat de chirurgie à l'école d'Alfort
Christelle Maurey-Guenec
Christelle Maurey-Guenec est Maître de Conférences en Médecine interne (PhD)
1998 : Diplôme de fin d’étude vétérinaire, ENV Alfort
2000 : Diplôme d’internat en médecine interne, ENV Alfort
2001 : CEAV de médecine interne
2002 : Doctorat vétérinaire, Lauréat de l’université de Paris XII. « Efficacité et innocuité du transfert de gène par vecteur adénoviral par voie intra-rénale chez le chien » - Mention très honorable. Prix de thèse : Médaille d'argent
2003 : Diplôme de fin d’étude vétérinaire, ENV Alfort
2007 : Diplôme d’internat en médecine interne, ENV Alfort
Depuis septembre 2015 : Résidente ECVIM-CA |
| | | 7 | FÉLINE : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chat
résumé et plan de l'article
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Prise en charge du chat en obstruction
urétrale : consensus et controverses
Brice Reynolds
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PLAN DE L'ARTICLE POSER UNE VOIE VEINEUSE
RADIOGRAPHIER L’URÈTRE ET L’APPAREIL URINAIRE
PRATIQUER UNE CYSTOCENTÈSE DÉCOMPRESSIVE
RECHERCHER ET PRENDRE EN CHARGE LES COMPLICATIONS SYSTÉMIQUES
DE L’OBSTRUCTION URÉTRALE
PLACER UNE SONDE URINAIRE À DEMEURE
PRENDRE EN CHARGE UN CHAT SONDÉ À DEMEURE
RATIONALISER LA DÉCISION DE RETIRER LA SONDE URINAIRE
IDENTIFIER ET PRENDRE EN CHARGE LES COMPLICATIONS À COURT TERME
CONCLUSION
4 photos illustrent cet article |
| | | 8 | FÉLINE : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chat
résumé et plan de l'article
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Chirurgie
Indications et mise en œuvre
de l’urétrostomie périnéale chez le chat
Antoine Hidalgo, Stefano Scotti
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PLAN DE L'ARTICLE QUAND PRATIQUER UNE URÉTROSTOMIE ?
Figure 1 - Représentation schématique de l’appareil urinaire bas du chat mâle
Encadré 1 - Les indications de l’urétrostomie périnéale
Encadré 2 - Les différentes phases opératoires
Le syndrome obstructif des voies urinaires basses
Les traumatismes péniens
Les malformations congénitales
Les tumeurs péniennes
LA TECHNIQUE OPÉRATOIRE DE L’URÉTROSTOMIE
Réanimer d’abord, anesthésier ensuite
Encadré 3 - Les protocoles anesthésiques
Les soins à réaliser dans les premiers jours
Les résultats et les complications
QUE FAIRE FACE À UNE STÉNOSE OU DE DÉHISCENCE ?
CONCLUSION
9 photos illustrent cet article |
| | | 9 | FÉLINE : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chat
résumé et plan de l'article
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Observation clinique
Syndrome du canal étroit du rachis
thoracolombaire chez un chat d’un an
Roy Hassoun, Jean-François Bardet
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Cet article décrit une myélopathie compressive thoracolombaire congénitale très rare et jamais décrite dans l’espèce féline. Cette maladie est rarement décrite toutes espèces confondues, seuls des cas sont répertoriés chez un Bouledogue Anglais, un Basset Hound, des Bergers de Shiloh ainsi que chez deux jeunes chevaux.
Il s'agit d'une dysplasie hypertrophique des processus articulaires et des pédicules du rachis thoracolombaire entraînant une compression médullaire visible à l’examen tomodensitométrique.
Plusieurs signes cliniques de compression médullaire sont décrits.
Les lésions médullaires présentes dans ce cas clinique se situent entre les vertèbres T11 et L4 entraînant une atteinte des membres pelviens. Celle-ci se traduit par une incoordination, ainsi qu’une ataxie compatible avec une atteinte moto neurone centrale. Un traitement chirurgical par laminectomie et exérèse des facettes articulaires sur toute la longueur est réalisé et permet une amélioration clinique. Nous décrivons dans cet article l’évolution et le suivi de ce cas.
Disciplines : neurologie, chirurgie, médecine interne
Mots-clés : myélopathie compressive, sténose médullaire, hypertrophie facettaire, chat
PLAN DE L'ARTICLE EXAMEN CLINIQUE
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL
EXAMENS COMPLÉMENTAIRES
TRAITEMENT ET SUIVI
DISCUSSION
Données épidémiologiques
Chez le chat
Une série de cas chez le chien
Chez le poulain
Clinique et diagnostic
Pronostic et traitement
CONCLUSION
4 photos illustrent cet article
Roy Hassoun
Docteur en médecine vétérinaire, Master of Veterinary Science
2014-2015 : Interne en clinique des animaux de compagnie – ENV Toulouse
2015-2016 : Assistant de chirurgie, Unité de Chirurgie et d’Anesthésiologie - VetAgro-Sup
2015-2016 : Master en biomécanique – Université Claude Bernard, Lyon 1
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| | | 10 | DOSSIER : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chien et le chat
résumé et plan de l'article
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Geste - Pose d’une sonde urinaire
à demeure chez le chat
Brice Reynolds
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PLAN DE L'ARTICLE ANESTHÉSIE GÉNÉRALE
PRÉPARATION DE L’ANIMAL
CATHÉTÉRISER L’URÈTRE (TEXTE DESCRIPTIF POUR UN OPÉRATEUR DROITIER)
FIXER LA SONDE
CONCLUSION
6 photos illustrent cet article |
| | | 11 | DOSSIER : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chien et le chat
résumé et plan de l'article
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| Geste - L'endoscopie urinaire
Elisabeth Robin, Kevin Le Boedec
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L'endoscopie urinaire est un examen complémentaire de deuxième intention lors de l'exploration de troubles urinaires tels que l'incontinence, les infections urinaires chroniques, l'hématurie, la dysurie ou la pollakiurie.
Elle permet d'obtenir des informations morphologiques précises sur le trajet urinaire incluant les ostiums urétral et urétéraux, l’urètre et la vessie, ainsi que sur le carrefour des voies uro-génitales.
La diversité des instruments existants permet de réaliser cet acte sur les chiens de petit comme de grand format, et parfois sur les chats.
L'anesthésie générale reste indispensable pour garantir la sécurité de l’animal, et la qualité des informations recueillies. La présence d’une anémie, d’un trouble de la coagulation ou d’une insuffisance rénale aiguë représente une contre-indication à cette procédure.
Différentes anomalies congénitales (ectopie urétérale par exemple) ou acquises telles que des lésions inflammatoires (urétrite sténosante, bride, ...), ou tumorale (carcinome à cellules transitionnelles, sarcome de Sticker, ...) peuvent être observées. L'endoscopie peut aussi présenter un caractère thérapeutique, permettant l’exérèse de calculs à l'aide d'une pince basket, et le retrait de polypes à l'aide d'un lasso cautérisant. Elle peut enfin guider l’utilisation du laser pour traiter les uretères ectopiques.
Disciplines : urologie, néphrologie, médecine interne, diagnostic, anesthésie
Mots-clés : endoscopie urinaire, cystoscopie, urétroscopie, sténose
PLAN DE L'ARTICLE
ÉQUIPEMENT MÉDICAL
L’endoscope souple
Tableau - Caractéristiques du matériel d’endoscopie urinaire
PRÉPARATION
TECHNIQUE
ÉVALUATION
3 photos illustrent cet article
Elisabeth Robin
Elisabeth Robin est docteur vétérinaire, elle a une activité de clinicienne en médecine interne au CHV Fregis
2012 : Diplômée de l’école vétérinaire d'Alfort
2012-2013 : Internat à l'ENVA
2013-2015 : Assistante et chargé de consultation de médecine à l'ENVA
2016 : Certificat d'etudes approfondies vétérinaires en médecine interne
2015-2017 : Assistante en médecine interne au CHV Fregis
2017 : Résidence en médecine interne ECVIM-CA
Kevin Le Boedec
2007 : Diplômé de l’École Nationale Vétérinaire de Nantes, Interne en clinique des carnivores domestiques puis un assistant de médecine à l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort
2009-2010 : Enseignant-chercheur en Médecine Interne à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse, résidence de Médecine Interne à l’Université d’Illinois aux Etats-Unis. Diplômé du Collège Américain de Médecine Interne (ACVIM(SAIM)) et du Collège Européen de Médecine Interne (ECVIM-CA). Titulaire du Certificat d’Études Approfondies Vétérinaire de Médecine Interne (CEAV-MI) et d’un Master 2 Recherche en Épidémiologie Clinique
2015 : Service de Médecine Interne du CHV Frégis
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| | | 12 | DOSSIER : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chien et le chat
résumé et plan de l'article
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Synthèse - Mise en place de dispositifs
de dérivation urétéraux (type SUB)
sans contrôle par fluoroscopie
chez des chats
présentant une obstruction urétérale :
étude sur 19 cas (2014-2016)
Véronique Livet, Paul Pillard, Isabelle Goy-Thollot,
David Maleca, Quentin Cabon, Denise Rémy, Didier Fau, Éric Viguier,
Céline Pouzot, Claude Carozzo, Thibaut Cachon.
Synthèse rédigée par Paul Garnier
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PLAN DE L'ARTICLE
MATÉRIEL ET MÉTHODES
RÉSULTATS
DISCUSSION / CONCLUSION
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| | | 13 | DOSSIER : LES ANOMALIES DE L'ÉCOULEMENT DES URINES chez le chien et le chat
résumé et plan de l'article
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Gastroentérologie - Les affections
de l’œsophage distal
et de la jonction gastro-œsophagienne
chez le chien et le chat
Émilie Krafft
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Les affections de l’œsophage caudal et de la jonction gastro-œsophagienne doivent être évoquées face à des régurgitations, mais également des vomissements ou d’autres signes peu spécifiques. Les anomalies anatomiques de la jonction gastro-œsophagienne sont peu fréquentes et incluent les hernies hiatales et les intussusceptions gastro-œsophagiennes. Un reflux gastro-œsophagien pathologique est fréquemment suspecté face à la présence d’une œsophagite distale mais difficile à confirmer.
Sa prise en charge combine le traitement d’une éventuelle affection sous-jacente, une alimentation adaptée et un traitement médicamenteux : protecteurs de la muqueuse, anti-sécrétoires et prokinétiques.
Les tumeurs primaires de l’œsophage sont rares chez le chien et le chat et de pronostic réservé, l’affection étant souvent avancée au moment du diagnostic. La spirocercose doit être évoquée en zone d’endémie ; les signes cliniques sont liés à la migration des formes immatures et à la présence des vers adultes au sein de nodules œsophagiens.
Disciplines : gastroentérologie, médecine interne, diagnostic
Mots-clés : œsophage, jonction gastro-œsophagienne, régurgitations, vomissements, hernies hiatales, intussusceptions gastro-œsophagiennes, œsophagite, tumeurs, spirocercose, nodules, chien, chat
PLAN DE L'ARTICLE
LES AFFECTIONS DE LA JONCTION GASTRO-ŒSOPHAGIENNE
Le reflux gastro-œsophagien pathologique
Tableau 1 - Les principales causes d’un reflux gastro-œsophagien pathologique
Les causes
Symptômes et clinique
Diagnostic
Traitement
Complications
Les hernies hiatales
Les causes
Figure 1 - Représentation schématique des anomalies morphologiques du hiatus œsophagien
Signes cliniques
Diagnostic
L’intussusception gastro-œsophagienne
Signes cliniques
Diagnostic
Traitement
LES TUMEURS DE L'ŒSOPHAGE
Signes cliniques
Diagnostic
Traitement
LA SPIROCERCOSE
CONCLUSION
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Emilie Krafft
Emilie Krafft est spécialiste en médecine interne des animaux de compagnie (diplômée du Collègue Européen de Médecine Interne ECVIM-CA) et est titulaire d'un PhD.
Elle exerce à VetAgro Sup (Maitre de Conférences).
2007 : Doctorat en médecine vétérinaire, ENV Lyon
2008 : Diplôme d'internat en clinique des animaux de compagnie, ENVL
2008-2009 : Assistanat en médecine interne des animaux de compagnie, ENVL
2010 : CEAV médecine interne
2014 : Doctorat en Sciences Vétérinaire (PhD), Faculté de médecine vétérinaire, Université de Liège. "Étude de la fibrose pulmonaire idiopathique canine : analyse du transcriptome, investigation des voies du TGF beta 1 et recherche de biomarqueurs."
2012-2015 : Résidente ECVIM-CA internal medicine, Faculté de médecine vétérinaire, Université de Liège
2016 : Diplôme ECVIM-CA internal medicine
Depuis 2015 : Maître de conférences en médecine interne des animaux de compagnie, VetAgro Sup |
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| Sauter N°67, Volume 15, 2017Sauter sommaire
Éditorial Christelle Maurey
Test clinique - Sub obstruction urétrale chez un chat
Maurine Zaratin, Clotilde Boivent, Édouard Reyes-Gomez,
Mathieu Manassero, Christelle Maurey-Guenec
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CANINE - FÉLINE
- Causes et conséquences d’une rétention vésicale
chez le chien et le chat
Christelle Maurey-Guenec
- Conduite diagnostique à tenir face à une rétention vésicale
chez le chien et le chat
Elisabeth Robin, Harriet Hahn, Eymeric Gomes, Kevin Le Boedec
- Obstructions et sub-obstructions urétérales :
quand les suspecter ? quelle démarche diagnostique ?
Cédric Dufayet
- Les incontinences urinaires d’origine neurologique
chez le chien et le chat : physiopathogénie, diagnostic et traitement
Hélène Vandenberghe, Stéphane Blot
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FÉLINE
- Fiche - Protocole de traitement médical d’une lithiase urétérale
Mathieu Manassero, Christelle Maurey-Guenec
- Prise en charge thérapeutique des obstructions urétérales
chez le chat
Mathieu Manassero, Christelle Maurey-Guenec
- Prise en charge du chat en obstruction urétrale :
consensus et controverses
Brice Reynolds
- Chirurgie - Indications et mise en œuvre de l’urétrostomie périnéale chez le chat
Antoine Hidalgo, Stefano Scotti
- Observation clinique - Syndrome du canal étroit du rachis thoracolombaire chez un chat
Roy Hassoun, Jean-François Bardet
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RUBRIQUES
- Geste - Pose d’une sonde urinaire à demeure chez le chat
Brice Reynolds
- Geste - L'endoscopie urinaire
Elisabeth Robin, Harriet Hahn, Eymeric Gomes, Kevin Le Boedec
- Synthèse - Mise en place de dispositifs de dérivation urétéraux
(type SUB) sans contrôle par fluoroscopie chez des chats
présentant une obstruction urétérale : étude sur 19 cas (2014-2016)
Véronique Livet, Paul Pillard, Isabelle Goy-Thollot, David Maleca, Quentin Cabon, Denise Rémy, Didier Fau, Éric Viguier,
Céline Pouzot, Claude Carozzo, Thibaut Cachon.
Synthèse rédigée par Paul Garnier
- Gastroentérologie - Les affections de la jonction
œsophago-gastriques
Émilie Krafft
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FMCvét - formation médicale continue vétérinaire
- Revue de presse internationale - Notre sélection d’articles par Paul Garnier, Tiphaine Le Berre, Nicolas Soetart
- Endocrinologie / nutrition - Facteurs de risques environnementaux du diabète sucré du chat
- Endocrinologie - Déterminer la durée d’action du pivalate
de désoxycorticostérone chez les chiens atteints d’hypoadrenocorticisme primaire
- Cardiologie - Le dosage de la troponine I chez des chiens
présentant des crises convulsives généralisées
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Test clinique - Les réponses
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