DOSSIER : REPRODUCTION chez les équidés : mises au point et nouveautés
résumé et plan de l'article
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Maîtrise hormonale de l’œstrus
chez la jument
Jean-François Bruyas
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Disciplines : reproduction, thérapeutique, imagerie, économie
Mots clés : œstrus, cycle, transplantation embryonnaire, progestagènes, prostaglandine, molécules, traitement, ovulation, altrénogest, jument, cheval
PLAN DE L'ARTICLELES TRAITEMENTS À BASE DE PGF2α OU D’ANALOGUES STRUCTURAUX
Molécules et produits disponibles et utilisations
Y-a-t-il du nouveau sur le moment de l’injection et sur la dose à utiliser ?
Encadré - Principe d’une tentative de maîtrise du moment de l’œstrus
Résultats à attendre et conséquences pratiques
Figure 1 - Répartition de la durée de l’intervalle entre l’injection de cloprosténol (250 µg) et l’ovulation chez des juments traitées le 6e ou le 7e jour post-ovulation (n = 555 cycles)
Les molécules sont-elles équivalentes ?
LES TRAITEMENTS À BASE DE PROGESTATIFS
Molécules et produits disponibles
Comment effectuer le traitement
LES TRAITEMENTS ASSOCIANT PROGESTATIFS ET PROSTAGLANDINES
Molécules et produits disponibles
Résultats à attendre
Figure 2 - Répartition de la durée de l’intervalle entre l’injection de cloprosténol (250 µg) et l’ovulation chez des juments traitées pendant 7 jours avec de l’altrénogest 40 mg/j per os et par une injection de cloprosténol (250 µg) le 7e jour (n = 134 cycles)
Tableau 1 - Résultats des synchronisations d’ovulation entre juments donneuses et receveuses lors d’opération de transfert d’embryons
Une injection de prostaglandine 3 à 5 jours après la 1re injection de PG post-traitement progestatif pourrait-elle mieux grouper les ovulations ou la venue de l’œstrus ?
Peut-on synchroniser la croissance folliculaire pour réduire la variabilité de réponse aux traitements de synchronisation de l’œstrus et de l’ovulation ?
CONCLUSION2 photos illustrent cet article
Jean-François Bruyas est docteur vétérinaire, PhD,
habilité à diriger des recherches (HDR) (Rennes 1),
diplômé ECAR (European College of Animal Reproduction),
chef de Centre d’insémination artificielle dans les espèces
chevalines et asines. Il est professeur agrégé des écoles nationales vétérinaires (ENV) en pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’alimentation, Nantes-Atlantique (ONIRIS).
1984 : Diplômé de l'école nationale vétérinaire de Toulouse
1986 : Doctorat Vétérinaire, Lauréat de l'Université Paul Sabatier de Toulouse
1984-1985 : Service national comme vétérinaire biologiste aspirant section équestre du prytanée militaire de la Flèche
1984-1986 : Aides et remplacements en clientèles vétérinaires rurales ou mixtes
1986-1987 : Vacataire d'enseignement clinique en Pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire de Nantes (ENVN)
Depuis 1987 : Enseignant - chercheur en Pathologie de la reproduction à l'ENVN (ONIRIS), et professeur depuis 1998
1990 : Diplôme d'études approfondies (DEA) de Physiologie de la reproduction de l'Université Pierre et Marie Curie
1994 : Admission au concours d'agrégation de Pathologie de la reproduction des ENV
1997 : Thèse de doctorat de l’école nationale supérieure agronomique de Rennes, sur la cryoconservation des embryons équins
2007 : HDR (habilitation à diriger les recherches) – mention Sciences de la vie - Université Rennes 1 sur les travaux de recherche en reproduction équine (maîtrise des cycles œstraux, (polyovulation, induction de l'ovulation) cryoconservation des embryons équins, risques sanitaires de transmission des EHV1 et 4 par le sperme et les embryons équins)