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AUTOUR DES CONVULSIONS
chez le chien, le chat, les nac
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11 | ANALYSES ET COMMENTAIRES
résumé et plan de l'article
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Analyses et commentaires -
Caractériser une gammapathie :
intérêts de l’immunoélectrophorèse
Nicolas Soetart, Laetitia Jaillardon
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De nombreuses maladies peuvent être responsables d’une augmentation de la production d’immunoglobulines. La distinction entre une augmentation polyclonale (plusieurs types d’immunoglobulines produites) et une augmentation monoclonale (un seul type d’immunoglobuline produite, traduisant une prolifération d’un seul clone de cellules lymphoïdes B fortement évocatrice d’une origine néoplasique) est indispensable pour préciser le diagnostic.
Lorsque l’observation du tracé électrophorétique ne permet pas d’établir cette distinction, le recours à une immunoélectrophorèse, en identifiant les types d’immunoglobulines présentes dans le sérum, est nécessaire.
Disciplines : pathologie clinique, immunologie
Mots clés : Immunoglobulines, Gammapathie, Ehrlichiose, Leishmaniose, Myélome multiple, chien, chat
PLAN DE L'ARTICLE
PRINCIPE DE L’IMMUNOÉLECTROPHORÈSE
Figure 1 - Représentation schématique d’une immunoglobuline Figure 2 Exemples de tracés d'électrophorèse des protéines sériques Tableau 1 - Cas cliniques Figure 3 - Principe de lecture d’une immunoélectrophorèse
CONCLUSION
Nicolas Soetart
2014 : diplômé de Oniris-Nantes 2015 : diplôme d'internat en clinique des animaux de compagnie de VetAgro-Sup Lyon Depuis septembre 2015 : Assistant hospitalier en médecine des animaux de compagnie à Oniris - Nantes
Laetitia Jaillardon
Docteur en médecine vétérinaire, diplômée de L’École nationale vétérinaire de Lyon (2005)
PhD, Dipl ECVCP, Maître de Conférences en Pathologie Clinique
2005-2006 : Interne en médecine et chirurgie équine - VetAgroSup 2009-2012 : Résidanat européen en Pathologie Clinique Vétérinaire - Oniris 2011-2015 : Thèse 3è cycle : "Évaluation du carcinome mammaire spontané canin comme modèle d’étude du rôle des facteurs de croissance et de leurs récepteurs dans l'interaction entre obésité et cancer du sein" Depuis 2013 : Diplômée du collège européen de Pathologie Clinique Vétérinaire Depuis 2017 : Maître de Conférences en Pathologie Clinique à Oniris, et responsable du LDHVet, laboratoire de biologie médicale qui traite de près de 45 000 analyses par an, dont le quart concerne la reproduction équine.
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