1 | DOSSIER : LES DOULEURS CHRONIQUES DU PIED chez les équidés
résumé
L’examen clinique
et les affections rencontrées
lors de douleurs chroniques du pied
chez le cheval
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Mathieu Spriet
Les douleurs chroniques de la région palmaire du pied ont toujours constitué une dominante pathologique des affections locomotrices chez le cheval. Elles sont l’une des principales causes de boiterie antérieure dans cette espèce.
Leur diagnostic est essentiel, il est d’abord clinique : l’examen locomoteur du cheval permet d’identifier les caractéristiques sémiologiques d’une boiterie chronique de pied, rappelées dans cet article. L’examen statique inclut l’inspection, la palpation/pression et les mobilisations passives du membre. L’examen dynamique comprend l’étude du poser du pied, de la foulée et les tests dynamiques. Le recours aux anesthésies sémiologiques locales permet de confirmer et/ou de préciser la localisation de la douleur.
Différentes affections peuvent être responsables de douleurs chroniques du pied : le syndrome podo-trochléaire, les affections de l’articulation interphalangienne distale, de la phalange distale et de la boîte cornée.
Cet article présente la pathophysiologie de ces différentes entités, ainsi que leurs caractéristiques sémiologiques. |
| | 2 | DOSSIER : LES DOULEURS CHRONIQUES DU PIED chez les équidés
résumé
Fiche -
Diagnostic différentiel
des douleurs chroniques du pied
chez le cheval
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Mathieu Spriet
Lors de douleur chronique du pied chez le cheval, il convient de différencier une affection primaire de la boîte cornée, d’une affection de la phalange distale et d’un syndrome podo-trochléaire.
L’examen locomoteur est essentiel. Il permet d’orienter le diagnostic en fonction des caractéristiques sémiologiques de la boiterie observée ; il peut également permettre à lui seul d’identifier une affection de la boîte cornée. Néanmoins, les examens complémentaires sont souvent nécessaires, notamment pour identifier une affection de la phalange distale.
Classiquement, un diagnostic de syndrome podo-trochléaire est établi lors de douleurs chroniques de la région palmaire du pied, en l’absence de lésions de la boîte cornée, de l’articulation interphalangienne distale ou de la phalange distale, et ce, indépendamment de la présence de lésion radiographique sur l’os naviculaire. Le diagnostic de syndrome podo-trochléaire peut toutefois être précisé. Il existe, en effet, une forme dégénérative de la facies flexoria et de la bourse naviculaire, une forme dégénérative articulaire et une forme tendineuse et ligamentaire.
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| | 3 | DOSSIER : LES DOULEURS CHRONIQUES DU PIED chez les équidés
résumé
Diagnostic et traitement
des entorses du pied
chez le cheval
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Mathieu Lenormand, Jean-Michel Casamatta, Serge Lenormand
Le pied du cheval est une structure anatomique compliquée, en raison de la présence de nombreux ligaments. Lors d’un mouvement forcé d’une articulation, si les structures osseuses résistent, une élongation ou une déchirure des ligaments peut se produire.
Ces desmopathies affectent surtout les antérieurs ; elles peuvent être unilatérales ou bilatérales, et sont accompagnées de signes physiques et cliniques, rappelés dans l’article.
Le diagnostic clinique peut être renforcé par la réalisation d’anesthésies sémiologiques, puis par imagerie. Les entorses, aiguës ou chroniques, peuvent impliquer les ligaments collatéraux de l’articulation interphalangienne distale, les chondrocoronaux et chondrocompédaux, les sésamoïdiens collatéraux et le sésamoïdien distal impair. Le diagnostic doit être précis, car les modalités thérapeutiques (surtout en maréchalerie) et le pronostic sont très différents selon les localisations.
Les entorses aiguës ont globalement un pronostic favorable si le diagnostic est précoce et que le choix thérapeutique est adapté. Dans tous les cas, le repos est indispensable et doit être effectué au box.
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| | 4 | DOSSIER : LES DOULEURS CHRONIQUES DU PIED chez les équidés
résumé
Anesthésies nerveuses
et intra-articulaires
du pied chez le cheval
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Maxime Birague
Les anesthésies nerveuses et intra-articulaires du pied permettent de préciser la localisation d’un site de boiterie chez le cheval. Elles sont réalisées lorsque l’intensité de la boiterie initiale est suffisamment importante pour qu’aucun doute n’existe sur sa disparition après la réalisation de l’anesthésie.
Les anesthésies intra-articulaires doivent être effectuées avant les blocs nerveux, elles permettent de localiser la douleur à une articulation bien précise et à elle seule, sauf dans le cas de l’articulation interphalangienne distale. Les blocs nerveux insensibilisent totalement ou partiellement des territoires anatomiques, ils sont donc peu spécifiques. La suspicion de fracture ou de fêlure des phalanges ou de l’os sésamoïde distal est une contre-indication absolue des blocs nerveux.
Cet article décrit les repères anatomiques nécessaires à la réalisation d’une anesthésie digitale distale et proximale, de la bourse podo-trochléaire et de l’articulation interphalangienne distale. Il précise également la technique à proprement parler, les formations insensibilisées et les causes d’échec, avec l’appui d’encadrés et de schémas.
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| | 5 | DOSSIER : LES DOULEURS CHRONIQUES DU PIED chez les équidés - Imagerie médicale
résumé
Images radiographiques
normales et anormales
de l’extrémité digitée
chez le cheval
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Mathieu Spriet
Compte-tenu de la fréquence des boiteries de pied chez le cheval, l’examen radiographique de l’extrémité digitée est sans doute l’examen radiographique le plus couramment pratiqué dans cette espèce.
L’examen standard du pied comprend un minimum de cinq incidences : l’incidence latéro-médiale, la dorso-palmaire, l’oblique dorso-proximale palmaro-distale de la phalange distale et de l’os naviculaire, et l’oblique palmaro-proximale palmaro-distale. Ces incidences permettent chacune d’évaluer des structures anatomiques différentes. L’emploi d’une grille n’est pas indispensable, compte tenu de l’utilisation de couples écrans-films modernes de bonne qualité.
Cet article rappelle les techniques radiographiques du pied du cheval, puis propose sous forme d’atlas les images radiographiques normales et anormales, les plus couramment rencontrées, de l’extrémité digitée du cheval. Il résume aussi, sous forme d’un tableau, les principales anomalies radiographiques du pied, en fonction de la région anatomique : os naviculaire, phalange distale, articulation interphalangienne distale et boîte cornée. |
| | 6 | DOSSIER : LES DOULEURS CHRONIQUES DU PIED chez les équidés - Imagerie médicale
résumé
Les principales images échographiques
du pied chez le cheval
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Nicolas Serraud
Les boiteries de pied sont fréquentes chez le cheval de sport et les investigations lésionnelles par imagerie sont nécessaires pour déterminer l’origine de la boiterie dans le pied.
L’échographie permet d’objectiver de nombreuses lésions des tissus mous du pied, ainsi qu’un grand nombre de lésions osseuses peu ou pas visibles lors d’un examen radiographique. Plusieurs abords permettent d’obtenir des images échographiques : - l’abord dorsal permet d’explorer l’articulation interphalangienne distale ; - l’abord palmaire/plantaire par le creux du paturon visualise la partie palmaire/plantaire de l’articulation interphalangienne distale et la partie proximale de l’appareil podo-trochléaire ; - l’abord entre les glomes explore surtout le tendon fléchisseur profond ; - l’abord transfurcal permet d’étudier la face palmaire/plantaire de la phalange distale et la partie distale de l’appareil podo-trochléaire.
Cet article décrit les images obtenues par les différents abords, le matériel nécessaire et présente sous forme d’atlas iconographique, les principales images échographiques normales et anormales du pied. |
| | 7 | DOSSIER : LES DOULEURS CHRONIQUES DU PIED chez les équidés - Imagerie médicale
résumé
Stratégie thérapeutique
lors de syndrome podo-trochléaire chronique
chez le cheval
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Philippe Heiles, Christophe Descamps
Les douleurs de la partie postérieure du pied représentent plus d’un tiers des boiteries chroniques chez le cheval. Le syndrome podo-trochléaire regroupe des entités pathologiques différentes. Il se caractérise par l’aspect chronique de la boiterie et de la douleur, et résulte de diverses affections tendineuses, ligamentaires et ostéo-articulaires.
La stratégie thérapeutique dépend essentiellement de l’identification des structures anatomiques atteintes. Elle permet la mise en œuvre du traitement le plus spécifique par la prise en compte des affections associées, et nécessite une gestion quotidienne précise et contraignante pour réussir la rééducation et le retour à la performance de ces chevaux.
Cet article aborde les points-clé de la stratégie à adopter lors de syndrome podo-trochléaire : il précise les différents aspects du traitement orthopédique, médical et chirurgical, ainsi que les recommandations thérapeutiques générales. Un tableau compare les différentes possibilités thérapeutiques et le pronostic associé, en fonction des lésions majeures rencontrées lors de syndrome podo-trochléaire. |
| | 8 | DOSSIER : LES DOULEURS CHRONIQUES DU PIED chez les équidés - Imagerie médicale
résumé
Maréchalerie orthopédique
et boiterie chronique du pied
chez le cheval
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Louis-Marie Desmaizières, Bruno Baup
La maréchalerie orthopédique fait partie du traitement des boiteries chroniques du pied du cheval. Les fers orthopédiques sont étudiés de telle sorte qu’ils répondent à la majorité des affections chroniques du pied rencontrées chez le cheval. Cet article décrit les principes de la maréchalerie orthopédique adaptée aux affections chroniques du pied du cheval.
Les fers orthopédiques ont différents objectifs : le fer en ovale ou le fer à couverture large en éponge augmente la surface portante en talons. D'autres fers favorisent le départ du pied (fers N.B.S., Colleoni ou de type Sainte-Croix Forge), diminuent les contraintes latérales (fers asymétriques), diminuent la résonance ou améliorent l’amortissement grâce à l’utilisation de résines, de silicone ou de plaques amortissantes. Ces effets peuvent être combinés pour répondre au mieux à l’affection responsable de la boiterie chronique de pied. L’ensemble des mesures orthopédiques à mettre en place est récapitulée sous forme d’un tableau, en fonction de l’affection chronique du pied. |
| | 9 | ÂNE
résumé
Les douleurs chroniques des pieds
chez l’âne et le mulet
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Ahmed Chabchoub, Mohamed El Messaoudi, Amel El Goulli, Faouzi Landolsi
Les affections du pied chez l’âne et le mulet provoquent presque systématiquement une boiterie de pied, dont l’intensité est en rapport avec la gravité des lésions. L’approche diagnostique est la même que chez le cheval.Néanmoins, l’âne et le mulet expriment moins la douleur, les manifestations cliniques sont donc plus discrètes. Le clinicien doit s’efforcer de rechercher des signes locaux à l’inspection du pied.
L’article présente la pathophysiologie, ainsi que la démarche diagnostique et thérapeutique face aux affections responsables d’une douleur digitée. Il détaille les affections qui sont communes au cheval et à l’âne, et celles qui touchent plus particulièrement l’âne et le mulet : l’inflammation de la corne du sabot, le crapaud et la contracture du tendon fléchisseur profond du doigt. Un tableau récapitule les signes cliniques, la prophylaxie et le traitement de chacune de ces affections.
Comme chez le cheval, la fourbure est redoutable par son expression clinique, ses répercussions à moyen et long terme, et peut poser des difficultés diagnostiques et prophylactiques. |
| | 10 | PRINCIPE ACTIF
résumé
Mohamed Yassine Mallem, Marc Gogny
L’isoxsuprine est un agent de synthèse, employé actuellement comme tocolytique chez le cheval, les bovins et les carnivores.
Cet agoniste β2-adrénergique a aussi des propriétés antagonistes sur les récepteurs α1-adrénergiques. L’isoxsuprine entraîne une dilatation des vaisseaux localisés dans les muscles squelettiques, les organes internes et les extrémités, et est dotée d’une action spasmolytique puissante sur les fibres musculaires lisses utérines. Elle diminue également la viscosité sanguine, et possède des propriétés anti-agrégante plaquettaire, anesthésique locale, inotrope et chronotrope positifs. Grâce à son action antispasmodique utérine, le lactate d’isoxsuprine est indiqué dans l’induction de la tocolyse ; néanmoins, en raison de ses effets agonistes β2-adrénergiques, l’isoxsuprine est considérée comme un agent dopant et est prohibée chez les chevaux de course.
Cette fiche passe en revue les données pharmacologiques et physico-chimiques de cette molécule. Elle précise également les modalités de son usage thérapeutique chez le cheval. |
| | 11 | NUTRITION
résumé
Les foins dans l’alimentation
chez le cheval
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Nathalie Priymenko
Les foins sont des fourrages obtenus de façon usuelle par dessiccation de l’herbe, spontanément ou artificiellement. Ils présentent donc une valeur nutritionnelle qui dépend d’abord de celle de l’herbe, puis de la qualité de sa fabrication et de sa conservation. La valeur alimentaire d’un foin est connue après examen des bottes de foin, 8 à 10 semaines après leur fabrication : le vétérinaire détermine l’identité de la prairie, le stade où l’herbe a été coupée et évalue la fabrication et la conservation du foin par l’appréciation de sa couleur, de son odeur, de sa consistance et de la présence de feuilles et de souillures.
Cette enquête permet ainsi d’identifier un foin et de prévoir sa valeur en le comparant, dans les tables alimentaires, à un foin de même type. Néanmoins, elle ne se substitue pas à l’analyse de laboratoire. Cet article décrit ensuite l’utilisation des foins et les performances permises, et analyse le cas particulier des foins enrubannés, qui sont des foins dont la conservation est assurée par une anaérobiose, permise par l’enveloppement dans des bâches plastiques étanches.
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| | 12 | OBSERVATION CLINIQUE
résumé
Un cas de harper australien bilatéral
en région Rhône-Alpes
chez un cheval
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Jean-François Jamet
Ce cas d’hyperflexion des postérieurs chez un cheval Selle Français de 15 ans illustre la prise en charge diagnostique et thérapeutique d’un harper australien bilatéral.
Le harper peut être unilatéral ou bilatéral, deux formes existent : le harper classique et le harper australien probablement d’origine mycotoxique. Le harper australien est surtout observé après des chaleurs exceptionnelles, et est associé au pâturage de prairies envahies par des porcelles enracinées, Hypochœris radicata.
Les symptômes sont provoqués par des lésions d’axonopathie des nerfs périphériques des membres postérieurs, responsables d’une flexion involontaire et exagérée du membre postérieur pendant sa phase de soutien. Le diagnostic est essentiellement clinique et épidémiologique.
L’essentiel du traitement consiste à retirer les chevaux de la pâture concernée ; néanmoins, dans les cas sévères, une ténectomie du tendon extenseur latéral du doigt peut améliorer la locomotion du cheval. Au contraire du harper classique, le harper australien guérit spontanément dans la majorité des cas en plusieurs mois, voire années.
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| | 13 | OPTHALMOLOGIE
résumé
Geste thérapeutique
d’une plaie de la sphère oculaire
chez les équidés
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Olivier Bisseaud
La position proéminente latérale du globe oculaire et de l’orbite expose les équidés aux plaies et aux traumatismes. La paupière supérieure, la cornée et l’arcade zygomatique sont souvent concernées. Néanmoins, les lésions associées, dues à la forme ovale du globe oculaire, ne doivent pas être négligées.
Face à une plaie de la sphère oculaire, un examen clinique doit être pratiqué avec précaution, avec au préalable la réalisation d’une anesthésie adéquate. L’examen débute toujours par un bilan d’extension lésionnel, il permet de vérifier l’intégrité des structures intra-oculaires et extra-oculaires. La plaie est ensuite examinée en détail.
Cet article détaille la gestion thérapeutique d’une plaie de la sphère oculaire chez les équidés. Il précise la conduite à tenir devant les lacérations des paupières, les lacérations cornéennes et lors d’atteinte des structures internes et du globe oculaire. Des tableaux récapitulent la gestion thérapeutique, ainsi que les molécules utilisées en ophtalmologie par voie systémique et par voie locale.
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| | 14 | SYNTHÈSE
résumé
Apport de l’I.R.M.
dans le diagnostic et le traitement
des boiteries du pied
chez le cheval
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Guillaume Tamba
Les boiteries de pied, améliorées par une anesthésie tronculaire digitale distale ou proximale, sont fréquentes chez les chevaux. Pourtant, les investigations lésionnelles par imagerie (radiographie, échographie, scintigraphie) ne permettent pas toujours d’identifier des lésions évidentes.
Cet article rapporte les résultats d’une étude américaine réalisée sur 199 chevaux et qui montre l’intérêt de l’imagerie par résonance magnétique (I.R.M.) de la région du pied et du paturon dans ces cas bien précis.
Cette étude montre que les causes de boiterie du pied sont nombreuses et peuvent se combiner ; les lésions les plus fréquentes impliquent le tendon fléchisseur profond du doigt et les ligaments collatéraux de l’articulation interphalangienne distale. Elle révèle aussi que le pronostic sportif des chevaux présentant des lésions des tissus mous du pied est plutôt réservé, voire mauvais.
L’I.RM. est la technique de référence dans le diagnostic des boiteries de pied, la plus sensible, permettant ainsi d’établir un diagnostic de certitude et de déterminer les tissus lésés.
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| Sauter N°6, volume 2, 2005Sauter sommaire
Éditorial par Bruno Baup Test clinique : Boiterie postérieure associée à une douleur du pied Guy-Pierre Huchette
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CHEVAL ET ÉQUIDÉS Conduites à tenir diagnostiques et thérapeutiques - L’examen clinique et les affections rencontrées lors de douleurs chroniques du pied chez le cheval Mathieu Spriet - Fiche - Diagnostic différentiel des douleurs chroniques du pied chez le cheval Mathieu Spriet - Diagnostic et traitement des entorses du pied chez le cheval Mathieu Lenormand, Jean-Michel Casamatta, Serge Lenormand - Anesthésies nerveuses et intra-articulaires du pied chez le cheval Maxime Birague Imagerie médicale - Images radiographiques normales et anormales de l’extrémité digitée chez le cheval Mathieu Spriet - Les principales images échographiques du pied chez le cheval Nicolas Serraud Conduites à tenir thérapeutiques - Stratégie thérapeutique lors de syndrome podo-trochléaire chronique chez le cheval Philippe Heiles, Christophe Descamps - Maréchalerie orthopédique et boiterie chronique du pied chez le cheval Louis-Marie Desmaizières, Bruno Baup
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ÂNE, PONEY - Les douleurs chroniques des pieds chez l'âne et le mulet Ahmed Chabchoub, Mohamed El Messaoudi, Amel El Goulli, Faouzi Landolsi
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RUBRIQUES Principe actif - L'isoxsuprine Mohamed Yassine Mallem, Marc Gogny Nutrition - Les foins dans l’alimentation chez le cheval Nathalie Priymenko Observation clinique - Un cas de harper australien bilatéral en région Rhône-Alpes chez un cheval Jean-François Jamet Ophtalmologie - Gestion thérapeutique d’une plaie de la sphère oculaire chez les équidés Olivier Bisseaud
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REVUE DE PRESSE INTERNATIONALE - Rubrique dirigée par Jean-Luc Cadoré et Louis-Marie Desmaizières Revue thématique des articles parus dans les revues internationales Résumé des rencontres francophones E.C.V.S. à Lyon le 6 juillet 2005 Youness Elouasbi, Laetitia Jaillardon, Aurélien Léonard Un panorama des meilleurs articles d’équine : notre sélection Colombe Benoist, Benoît Blachon, Émilie Guillot, Sophie Jullian, Bilitis Kuhn, Carine Lalangue, Aurélie Plotto, Camille Tourmente Synthèse - Apport de l’I.R.M. dans le diagnostic et le traitement des boiteries du pied chez le cheval Guillaume Tamba
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Test clinique - les réponses
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