La mortalité (hors abattage) des bovins adultes est plutôt rare et mal documentée malgré des conséquences importantes pour l’élevage.
Les causes de mort répertoriées dans les 36 424 Fiches d’information et de suivi de la mortalité enregistrées dans la base de données du programme pilote de surveillance active de l’E.S.B. (programme conduit en 2000-2001 dans le Grand Ouest de la France sur les bovins de plus de 24 mois) ont été catégorisées à l’aide d’un algorithme de classification basé sur l’analyse des termes saisis, afin de décrire les principales causes de mortalité dans cette population.
Les accidents (16,7 p. cent des diagnostics renseignés), les vêlages difficiles (15,8 p. cent) et les syndromes entériques (8,3 p. cent) représentaient les trois premières causes de mortalité rapportées, aussi bien chez les bovins laitiers que chez les bovins allaitants. Les bâtiments d’élevage étaient à l’origine de trois quarts des morts par accident dont les circonstances étaient précisées. La majorité des morts au vêlage chez les bovins laitiers étaient dues à des troubles locomoteurs post-partum tandis que les troubles gynécologiques et obstétricaux étaient prépondérants chez les bovins allaitants.
Les taux de mortalité observés étaient supérieurs chez les bovins laitiers pour toutes les causes, hormis "mauvais état général", "cause inconnue" et "syndromes entériques" qui étaient plus importants chez les bovins allaitants. La période hivernale était associée à une augmentation des taux de mortalité quelle que soit la cause considérée.
Encadré 1 - Source des données sur la mortalité des bovins adultes
LES PRINCIPALES CAUSES DE MORT
Encadré 2 - Classification des causes de mort Tableau 1 - Nombre de morts notifiées pendant la période d’étude et taux de mortalité par cause et par type de production Figure 1 - Répartition des différentes causes de mort chez les bovins allaitants et laitiers parmi les 36 424 morts renseignées
Les causes de mortalité les plus fréquentes
Les taux de mortalité
Encadré 3 - Calcul du taux de mortalité Figure 2 - Taux de mortalité moyen sur la période d’étude (par 1000 bovins-années) par cause de mort en fonction du type de production
FOCUS SUR CERTAINES CATÉGORIES
Les vêlages difficiles
Tableau 2 - Principales causes de mort regroupées dans la catégorie “autres causes”, par ordre de fréquence Figure 3 - Distribution des causes de mort dues à un vêlage difficile chez les vaches allaitantes (1 832 cas) et chez les vaches laitières (3 920 cas)
Les accidents
Les syndromes entériques
Figure 4 - Distribution des causes de mort par syndrome entérique chez les bovins allaitants et chez les laitiers
Les “autres causes”
Les causes inconnues
LES TENDANCES SAISONNIÈRES
Tableau 3 - Évolution mensuelle des taux de mortalité (pour 1 000 bovins-années) par cause chez les bovins allaitants et laitiers (le mois de janvier 2001 n’a pas été représenté pour cause d’interruption du programme pendant la plus grande partie de ce mois)
DISCUSSION
Détermination des causes de mort
Représentativité des données et biais de l’étude
Intérêt pour la surveillance du cheptel bovin français
CONCLUSION
2
DOSSIER : SUIVI DE REPRODUCTION ET SANTÉ DU TAUREAU en élevage allaitant
résumé et plan de l'article
L'infertilité du taureau :
approche pratique
Nicole Hagen, Xavier Berthelot N. Picard-Hagen et X. Berthelot, Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse, Université de Toulouse, INP, ENVT, Département Elevage et Produits et Santé Publique Vétérinaire, 31076 Toulouse cedex
La démarche pratique d'investigation de l'infertilité chez le taureau prend en compte son environnement et la conduite de la monte naturelle. L’approche diagnostique est fondée sur l’observation du comportement du taureau en présence d’une vache en chaleur, l’examen des organes génitaux et l’examen du sperme. Le développement de l’échographie apportera certainement des éléments diagnostiques complémentaires.
Une diminution de la libido peut avoir une origine fonctionnelle associée notamment à une insuffisance de sécrétion de testostérone, ou une origine comportementale (stress, douleur). Une impossibilité de saillie peut être liée à un trouble musculo-squelettique, à des anomalies du pénis ou du prépuce.
Si le coït est normal, l’examen de la semence peut apporter des indications physiopathologiques. Une diminution de la production spermatique est généralement associée à un développement testiculaire insuffisant, qui peut être estimé par la mesure de la circonférence scrotale. Des anomalies de la motilité spermatique peuvent être liées à une inflammation des glandes annexes, en particulier des vésicules séminales. Une altération de plusieurs paramètres séminologiques est généralement associée à des dysfonctionnements testiculaires ou épididymaires, à des anomalies génétiques ou à des causes toxiques ou iatrogènes. L’origine infectieuse des troubles de l’appareil génital est difficile à investiguer en raison de l’absence de critères diagnostiques précis de l’examen bactériologique.
Figure 1 - Approche pratique de l’infertilité du taureau en élevage
ANAMNÈSE
SITUATION N°1 : LE TAUREAU N’A PAS OU N’A PLUS UNE LIBIDO SUFFISANTE
Origine comportementale
Origine fonctionnelle
Figure 2 - Sécrétion de LH et de testostérone après une administration IV d’hCG à la dose de 500 UI
SITUATION N°2 : LE TAUREAU NE PEUT PAS SAILLIR (IMPOTENTIA CŒUNDI)
Absence ou insuffisance d’érection
Impossibilité d’intromission du pénis
SITUATION N°3 : LE TAUREAU SAILLIT, MAIS LES FEMELLES RESTENT VIDES …
Un examen de l’appareil génital
Un examen du sperme
LES LIMITES DU SPERMOGRAMME
INTÉRÊTS ET LIMITES DE LA RECHERCHE D’AGENTS INFECTIEUX DANS LE SPERME
Figure 3 - Bactéries et parasites potentiellement retrouvés dans les différentes parties de l’appareil génital du taureau
Un traitement anti-inflammatoire et antibiotique préconisé
CONCLUSION
3
DOSSIER : SUIVI DE REPRODUCTION ET SANTÉ DU TAUREAU en élevage allaitant
plan de l'article
Santé reproductive et conduite
du taureau de monte naturelle
Luc Manciaux, Guy Chambon
Encadré 1 - L’achat du taureau reproducteur
LE SUIVI DE LA SANTÉ REPRODUCTIVE DU TAUREAU
1. Contention
2. L’examen clinique général
3. Examens complémentaires
4. Examen spécifique de l’appareil génital
Examen morphologique de l’appareil génital externe
Tableau 1 - Recommandations de mesure de circonférence scrotale de quelques races bovines
Examen morphologique de l’appareil génital interne
Examen échographique
Tableau 2 - Estimation de la libido
Examen fonctionnel
5. Examen du sperme récolté au vagin artificiel ou par électro-éjaculation
Encadré 2 - L’examen du sperme : les différents points à examiner ou à analyser Tableau 4 - Appréciation de l'intensité du test de schalm en fonction de la gélification du réactif
LA PRÉPARATION À LA MONTE
Tableau 3 - Caractéristiques optimales du sperme de taureau
1. Logement
2. L’alimentation
3. L’immunisation active
4. La gestion du parasitisme
5. La vérification des onglons
CONCLUSION
4
DOSSIER : SUIVI DE REPRODUCTION ET SANTÉ DU TAUREAU en élevage allaitant - Observation clinique
plan de l'article
Diagnostic d’un granulome
de la tête de l’épididyme
chez un taureau de race Prim’Holstein
Olivier Gérard, Nicola Louka, Marc Lebreton, Stéphane Basquin
COMMÉMORATIFS
Tableau 1 - Résultats du spermogramme obtenus à l’occasion de différents contrôles Tableau 2 - Échelle d’interprétation de la réaction au test de Schalm Tableau 3 - Calendrier des examens bactériologiques et des traitements Figure 1 - Récapitulatif des collectes de semence effectuées, des éjaculats conservés et des doses congelées et stockées
EXAMEN CLINIQUE
Encadré - L’intervention chirurgicale
EXAMEN ÉCHOGRAPHIQUE
RÉSULTATS DES EXAMENS COMPLÉMENTAIRES
Résultats des examens microscopiques des liquides prélevés
Résultats de l’examen histologique
DISCUSSION
5
DOSSIER : SUIVI DE REPRODUCTION ET SANTÉ DU TAUREAU en élevage allaitant
résumé et plan de l'article
Stratégie thérapeutique hormonale
en suivi de reproduction
des bovins allaitants
Gilles de Crémoux
Le suivi de reproduction en élevage allaitant peut suivre le modèle développé dans les cheptels laitiers : au cours des visites mensuelles sont examinées les vaches de trois à six semaines post-partum, afin de vérifier l'absence d'infection utérine et la reprise de la cyclicité ovarienne, les vaches qui n'ont pas manifesté de chaleurs plus de 50 jours après le vêlage et les vaches saillies ou inséminées depuis plus de 30 jours.
L'examen des vaches non gravides doit permettre de caractériser les organites présents sur les ovaires. La présence ou l'absence d'une structure lutéale conduit à classer les animaux en deux groupes : chaleurs inapparentes ou absence de cyclicité ovarienne. Le diamètre du follicule dominant permet de se situer par rapport aux vagues folliculaires et d'affiner la pertinence des traitements entrepris.
Les traitements hormonaux des vaches non gravides sont définis d'après cette classification en tenant compte des facteurs d'élevage : s'agit-il de monte naturelle ou d'insémination artificielle, l'éleveur a-t-il eu le temps de suivre correctement les chaleurs de ses bovins ? Dans le cas des vaches classées dans le groupe "chaleurs inapparentes" en monte naturelle, le traitement proposé est souvent la patience afin d'éviter d'interrompre une gestation débutante. La mise en place des traitements des vaches classées "absence de cyclicité ovarienne" est plus facile car le risque d'interrompre une gestation beaucoup plus faible.
L'absence de cyclicité ovarienne avec l'absence de tout organite sur les ovaires sur un grand nombre d'animaux signe un déficit énergétique majeur de la ration et doit être corrigé rapidement afin d'éviter un allongement des intervalles vêlage-insémination fécondante.
LA DÉMARCHE ADOPTÉE POUR LE SUIVI DES FEMELLES NON GRAVIDES
1. S'agit-il de monte naturelle ou d'insémination artificielle ?
2. En cas de monte naturelle, l'éleveur a-t-il bien suivi les chaleurs dans le mois précédent la visite ?
Tableau 1 - Diagnostics de gestations positifs dans quatre troupeaux suivis sur l'année 2010 et proportion entre les gestations sur saillies observées et les celles découvertes à l'échographie (saillies estimées) Figure 1 - Proportion des saillies découvertes à l’échographie sur le total des saillies suivant la saison dans l’élevage 2
3. Qu’indique l’examen échographique des ovaires ?
Tableau 2 - Stratégie hormonale en fonction des examens échographiques des organites ovariens en élevage bovin allaitant
1er groupe : les vaches aux chaleurs inapparentes
Figure 2 - Détection du corps jaune par échographie ou par dosage de la progestérone en fonction du cycle ovarien (J0 : jour de l’ovulation)
2e groupe : les vaches avec absence de cycle
Tableau 3 - Cyclicité ovarienne et intervalle vêlage-insémination fécondante
4. Quelle est la durée écoulée depuis le dernier vêlage ?
LA STRATÉGIE MISE EN ŒUVRE SELON LES QUATRE CRITÈRES ÉVALUÉS DANS LA DÉMARCHE
Tableau 4 - Traitements effectués dans les quatre troupeaux étudiés pendant l'année 2010 Figure 3 - Vagues folliculaires et traitements hormonaux
CONCLUSION
6
DOSSIER : SUIVI DE REPRODUCTION ET SANTÉ DU TAUREAU en élevage allaitant
résumé et plan de l'article
La détection des chaleurs
en troupeaux laitiers et allaitants :
quelle perception
des éleveurs et des techniciens ?
Pascal Salvetti, Brigitte Frappat, Julie Gatien, Audrey Chanvallon, Fabienne Blanc, Jacques Agabriel, Fabienne Constant, Bénédicte Grimard, Catherine Disenhaus, Pierre Paccard, Henri Seegers, Claire Ponsart
Basée sur 319 enquêtes individuelles auprès d’éleveurs bovins (laitiers et allaitants) et 4 entretiens collectifs auprès de techniciens spécialisés (principalement inséminateurs), cette étude propose une analyse des pratiques et perceptions des éleveurs sur la détection des chaleurs et la mise à la reproduction ainsi qu’une description du ressenti des prescripteurs de conseils en élevage sur ces thématiques.
Les résultats montrent que les pratiques de détection et les processus de décision pour la mise à la reproduction sont complexes et personnels avec une décision d’inséminer parfois difficile à prendre bien que la détection des chaleurs soit jugée comme satisfaisante par un éleveur sur deux.
Concernant les signes de chaleurs utilisés, les éleveurs se réfèrent en grande majorité à l’acceptation du chevauchement et, pour certains d’entre eux, basent exclusivement leur diagnostic sur l’observation de ce seul signe de chaleurs fiable mais peu fréquent. De plus, les émissions de glaires sont également jugées comme un signe fiable par l’ensemble des éleveurs, alors que les signes sexuels secondaires sont moins fréquemment pris en compte par les éleveurs allaitants que par les éleveurs laitiers. Les entretiens menés avec les techniciens spécialisés ont mis en évidence de grandes disparités entre les zones dans les pratiques de conseil aux éleveurs bien que tous soient unanimes pour dire que cela reste un exercice délicat.
Cette étude a montré qu’il est nécessaire de développer de nouveaux outils de diagnostic-conseil aux techniciens spécialisés pour les aider à apporter du conseil aux éleveurs en matière de détection des chaleurs.
Figure 1 - Répartition géographique des 319 enquêtes en élevages sur les pratiques de détection des chaleurs
LA DÉTECTION DES CHALEURS PERÇUE COMME SATISFAISANTE POUR UN ÉLEVEUR SUR DEUX
Figure 2 - Perception de la détection des chaleurs par les éleveurs en fonction de la zone enquêtée Figure 3 - Problèmes rencontrés lors de la détection des chaleurs par les éleveurs
35 P. CENT DES ÉLEVEURS ALLAITANTS N’UTILISENT QUE LES SIGNES DE CHEVAUCHEMENT POUR DÉTECTER LES CHALEURS
Figure 4 - Exemple de situation fictive utilisant l’échelle de fiabilité, (avec le curseur à placer sur l’échelle de [-] = non [note 1], à [+] = oui [note 10]) et décision associée de l’éleveur sur l’action à mener
Les autres critères
Le temps consacré à la détection des chaleurs
DÉTECTION DES CHALEURS ET INSÉMINATION : UNE DÉCISION PAS TOUJOURS AISÉE
Tableau 1 - Note moyenne sur 10 de la certitude de chaleurs et pourcentage d’éleveurs prenant la décision d’inséminer (pourcentage d’insémination artificielle IA) pour chaque mise en situation fictive Figure 5 - Notes moyennes données par les éleveurs allaitants (a) et laitiers (b) pour juger de la fiabilité des signes de chaleurs
La situation jugée la plus fiable
La situation jugée la moins fiable
LA DÉTECTION DES CHALEURS VUE PAR LES TECHNICIENS
Les principales causes de mauvaise détection
Les signes d’alerte rapportés par les techniciens
Des conseils délicats à prodiguer
CONCLUSION
7
VOLAILLES
plan de l'article
Les Escherichia coli pathogènes
pour les volailles (APEC)
le sont-ils pour l’homme ?
Isabelle Kempf
TRANSMISSION DIRECTE ET ESSAIS SUR VOLONTAIRES
Des études qui objectivent une transmission directe
LES SÉROGROUPES
LES GROUPES PHYLOGÉNÉTIQUES
LES FACTEURS DE VIRULENCE ET LES TESTS DE VIRULENCE
Des combinaisons de gènes de virulence
LES DIFFÉRENTES TECHNIQUES MOLÉCULAIRES
Le séquençage
La méthode MLST (Multi Locus Sequence Typing)
L’électrophorèse en champ pulsé (Pulse Field Gel Electrophoresis : PFGE)
Des clones préoccupants ...
PLASMIDES DE RÉSISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES
CONCLUSION
8
COMPRENDRE ET AGIR - ENJEUX ÉCONOMIQUES
résuméet plan de l'article
Panorama
de la filière caprine française
Pierre Sans
L’article dresse un tableau des principales données techniques et économiques de la filière caprine française, ainsi que des problématiques actuelles.
2e des trois productions laitières en terme de volume collecté, la filière caprine française a connu un développement important depuis une vingtaine d’années : avec un cheptel de 1,4 million de caprins, la France se place au 3e rang en Europe.
La production laitière finale s'est élevée à environ 650 millions de litres en 2010 et a progressé de près de 30 p. cent depuis le début des années 2000 en raison de l’évolution des effectifs et de l’augmentation de la production par chèvre. Le lait de chèvre est essentiellement utilisé pour la fabrication de fromages (industriels ou de production fermière) dont une partie est protégée par des Appellations d’Origine Contrôlée.
Même si elle reste modeste (1 kg/an), la consommation par habitant progresse. A l’inverse, la consommation de viande est quasi-nulle à l’exception de certains départements d’outre mer (Antilles, Réunion). Un plan de développement de la filière a été mis en place par l’interprofession en 2008 dans le but poursuivre le développement et faire face aux enjeux actuels (diminution des revenus, renouvellement de la population d’éleveurs, organisation de la filière).
1. UN CHEPTEL EN CROISSANCE RÉGULIÈRE
Figure 1 - Répartition des effectifs de chèvres et chevrettes saillies dans l’Union Européenne à 27 en 2010 Figure 2 - Structure des exploitations caprines détenant plus de 10 chèvres en 2000 et 2009 (d’après données Service de la statistique et de la prospective (SSP)
2. L’AUGMENTATION DES EFFECTIFS ET DE LA PRODUCTIVITÉ TIRE LA PRODUCTION LAITIÈRE VERS LE HAUT
Figure 3 - Localisation régionale de la production de lait de chèvre en 2009 (d’après données SSP)
3. UNE PRODUCTION ORIENTÉE VERS LA TRANSFORMATION FROMAGÈRE
Tableau - Tonnages commercialisés des fromages de chèvres en AOC en 2009
CONCLUSION
Encadré - Le plan Bien vivre du lait de chèvre
9
COMPRENDRE ET AGIR - DIAGNOSTIC
plan de l'article
Border Disease
(Maladies des Frontières) :
un dépistage sérologique
sur lait de tank désormais possible
Céline Pouget, Roland Brugidou, Pierre Blancard, Fabien Corbière
MATÉRIELS ET MÉTHODES
RÉSULTATS
Figure - Relation entre la séroprévalence estimée et le pourcentage d’inhibition sur lait de tank N = 157 mesures en cheptels ovins laitiers
Encadré 1 - La fièvre catarrhale ovine (FCO) : une maladie des tropiques ? Encadré 2 - Le virus de la bluetongue (BTV) Tableau 1 - Nombre de foyers de FCO à sérotype 8 notifiés par pays en 2006 et en 2007 Figure 1 - Carte des foyers de FCO et des zones de restriction aux échanges d’animaux en Europe à la fin de l’année 2006 Figure 2 - 1998-2006 : Introduction de la FCO dans le bassin méditerranéen Figure 3a - Le génome de la Bluetongue (BTV) Figure 3b - Schéma de la structure du virus Figure 4 - Localisation des foyers de FCO enregistrés en France en 2008
LA MAÎTRISE DE L’ÉPIZOOTIE DE 2009 À 2010
Figure 5 - Localisation des foyers de FCO enregistrés en France en 2009 Figure 6 - Localisation des foyers de de FCO enregistrés en Europe de l’Ouest entre le 1er mai 2010 et le 3 février 2011 (source : Anses, d'après données OIE - Surveillance network for bluetongue)
Les résultats de PCR non négatifs
Tableau 2 - Détections de génome viral par typage du BTV réalisées en France entre juin 2009 et déc. 2010 Les nombres de typages positifs Figure 7 - Localisation des prélèvements ayant conduit à des résultats positifs de typage dans le cadre de la surveillance active FCO entre juin 2010 et décembre 2010, en France continentale
SITUATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE ACTUELLE DE LA FCO : VERS UNE NOUVELLE ÉMERGENCE ?
Une situation actuelle favorable
Répartition géographique
Le risque d’introduction à court terme d’un nouveau sérotype en France métropolitaine ?
CONCLUSION
11
FMC Vet -formation médicale continue - ÉTUDE DE CAS
plan de l'article
Syndrome d’agalaxie
en début de lactation
et mammite virale
chez des chèvres laitières
Christophe Chartier, Carine Paraud, Philippe Gilbert, Vincent Girardot, Olivier Albaric, Stephen Valas
COMMÉMORATIFS ET ANAMNÈSE
Description de l’élevage
Description de l’épisode clinique
Figure 1 - Âge des chèvres (rang de lactation) réformées pour cause d’insuffisance de production laitière d’octobre à mars
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL
EXAMENS COMPLÉMENTAIRES
Encadré 1 - Les examens complémentaires réalisés
SITUATION DE L’INFECTION PAR LE VIRUS DE L’ARTHRITE ENCÉPHALITE CAPRINE DANS L’ÉLEVAGE ET HISTORIQUE
Encadré 2 - Principe du contrôle du CAEV et résultats obtenus Tableau - Évolution des sérologies vis-à-vis de l’AECV entre 1996 et 2006
DISCUSSION
1. Bilan des données épidémiologiques, cliniques et de laboratoire
Syndrome mycoplasmique Les autres mammites bactériennes Une erreur de rationnement Les affections chroniques (paratuberculose, parasitisme)
2. Mammite virale à CAEV
CONCLUSION
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DOSSIER : SUIVI DE REPRODUCTION ET SANTÉ DU TAUREAU en élevage allaitant Revue à feuilleter en ligne
FMC Vét -formation médicale continue vétérinaire - Étude de cas - Syndrome d’agalaxie en début de lactation et mammite virale chez des chèvres laitièresChristophe Chartier, Carine Paraud, Philippe Gilbert, Vincent Girardot, Olivier Albaric, Stephen Valas - Revue de presse internationale - Synthèses rédigées par Sébastien Assié, Nicole Picard-Hagen, Catherine Belloc - Épidémiologie - Utilisation de l’électrophorèse en champ pulsé pour étudier l’épidémiologie de Mycoplasma bovis dans les ateliers de veaux en France - Reproduction - Évaluation des métabolites du ceftiofur dans le sérum, le tissu endométrial et les lochies chez les vaches laitières en postpartum après une administration sous-cutanée de ceftiofur - Métabolisme - Effet d’une supplémentation en iode et en sélenium sur le statut biochimique des vaches et de leurs veaux - Infectiologie porcs - Mise en évidence du virus du SDRP dans des élevages porcins en l’absence de signes cliniques