Des agneaux séronégatifs IPI, trembleurs ou hirsutes Des agneaux séronégatifs IPI et présentant des troubles divers Des agneaux séropositifs non IPI et présentant des anomalies congénitales L’infection postnatale
Les signes cliniques actuellement constatés (2009-2010)
Résultats d’une enquête dans 60 élevages naisseurs Tableau 1 - Fréquence des signes cliniques observés en 2009/2010 dans les 60 cheptels naisseurs séropositifs enquêtés Tableau 2 - Taux de morbidité et de mortalité des agneaux et des brebis dans les 60 cheptels naisseurs séropositifs enquêtés Constatations en ateliers d’engraissement
DÉPISTAGE ORGANISÉ
Modalités de dépistage
Encadré - Séroprévalence et incidence Tableau 3 - Proportion d’élevages séropositifs et incidence en 2009 et en 2010 dans l’Aveyron
Répartition des élevages selon le nombre de mélanges positifs
Figure 1 - Répartition des cheptels en fonction du nombre de mélanges séropositifs (9 mélanges testés/cheptel)
Le risque de circulation virale dans les cheptels Figure 2 - Dans les cheptels avec 1 mélange positif sur 9 lors de la prophylaxie en année n, nombre de mélanges séropositifs en année n+1
CONCLUSION
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DOSSIER : L'I.B.R. EN FRANCE : stratégies de contrôle dans un contexte européen
Encadré 1 - Classification du BoHV1 et syndromes cliniques Tableau 1 - Virus Herpes mis en évidence chez les bovins dans les conditions naturelles Tableau 2 - Sous-types du virus BoHV1 et troubles cliniques associés Le site d’entrée La multiplication initiale du BoHV1 La dissémination du virus
Latence et réactivation / réexcrétion / récurrence Figure 3 - évolution schématique de l’excrétion virale et des anticorps sériques lors de primo-infection et de réactivation La latence Les sites principaux de latence Les mécanismes moléculaires de l’établissement et du maintien de la latence Encadré 2 - Mécanismes moléculaires de l’infection productive et rôles de bICP0 La régulation de la latence Figure 2 - Quelques gènes d’intérêt au sein du génome de BoHV1 La réactivation Conséquences diagnostiques et épidémiologiques Tableau 3 - Infection des bovins par des aherpèsvirus de ruminants Tableau 4 - Infection de ruminants autres que bovins par le BoHV1
VACCINS ET VACCINATION
Tableau 5 - Vaccins commercialisés Tableau 6 - Vaccins contre le BoHV1 : quelques critères d’intérêt Tableau 7 - Vaccins contre le BoHV1 : quelques critères limitants
Efficacité
En station expérimentale L’hyper-immunisation En conditions de terrain, à grande échelle
Innocuité
Vaccins vivants modifiés Vaccins inertes
Différenciation des animaux vaccinés et infectés
Tableau 8 - Résultats sérologiques selon le statut infectieux et vaccinal
CONCLUSION
4 photos illustrent cet article.
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DOSSIER : L'I.B.R. EN FRANCE : stratégies de contrôle dans un contexte européen
résumé
Situation épidémiologique actuelle
de la rhinotrachéite
infectieuse bovine en France
chez les bovins
Sophie Memeteau
RÉSULTATS DU DÉPISTAGE OBLIGATOIRE
Figure 1 - Prévalence des cheptels infectés au regard de l’I.B.R. au 31 mai 2010 (données GDS France - en p. cent des cheptels soumis au dépistage) Tableau - Taux de prévalence et taux d’incidence, à l’échelle nationale, selon l’orientation zootechnique des cheptels en 2010 (données GDS France)
RÉSULTATS DE LA QUALIFICATION DES CHEPTELS
“Indemne” ou “contrôlé en I.B.R.”
Figure 2 - évolution du taux de cheptels qualifiés entre le 31 mai 2002 et le 31 mai 2010 Progression des cheptels indemnes et leur répartition non homogène
Figure 3 - Répartition des cheptels qualifiés au 31 mai 2010 (données ACERSA) RÉSULTATS DES CONTRÔLES À L’INTRODUCTION DANS LE CHEPTEL
CAS DES RÉSULTATS NON NÉGATIFS EN SÉROLOGIE
NOUVELLES ÉVOLUTIONS EN 2010-2011
CONCLUSION
2 photos illustrent cet article.
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DOSSIER : L'I.B.R. EN FRANCE : stratégies de contrôle dans un contexte européen
résumé
Situation réglementaire de l’I.B.R.
en Europe
Sophie Memeteau
LES CONDITIONS D’ÉCHANGES SELON LES ZONES ET LE STATUT DES CHEPTELS
Figure - Pays de la Communauté européenne dont le territoire est reconnu pour tout ou partie zone en programme d’éradication approuvé et/ou zone indemne Tableau 1 - états membres pour lesquels tout ou partie du territoire est considéré zone en programme d’éradication approuvé (annexe I de la décision 2004/558/CE) et/ou zone indemne (annexe II de la décision 2004/558/CE)
LES GARANTIES DEMANDÉES AUX ÉLEVAGES FRANÇAIS POUR L’EXPORTATION
Tableau 2 - Garanties additionnelles pour les bovins issus d’élevages français exportés vers une zone “à programme d’éradication approuvé” (annexe I) ou vers une zone “indemne” (annexe II) (conditions en date du 05/08/2010)
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DOSSIER : L'I.B.R. EN FRANCE : stratégies de contrôle dans un contexte européen
Le diagnostic de la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR) est réalisé par des tests sérologiques. Ces méthodes se distinguent non seulement par leur capacité à détecter différents anticorps dirigés contre les antigènes viraux (de l’herpès virus bovin de type 1), mais aussi par leurs performances. En France, tous les kits ELISA utilisés dans le cadre de la prophylaxie obligatoire ou pour la qualification volontaire des cheptels font l’objet de contrôle des exigences de performance.
Les trousses ELISA indirects sont les seules à satisfaire aux contrôles pour les essais sur les mélanges de sérums ou les laits de grands mélanges. Une récente évolution des procédures de diagnostic sérologique indique que les sérums d’un mélange positif doivent être analysés individuellement par un test ELISA indirect.
Les ELISA par compétition, qui détectent les anticorps dirigés contre la glycoprotéine B (gB) du virus, sont utilisés seulement en confirmation d’un résultat individuel positif. En raison de leur moindre sensibilité, les ELISA par compétition, qui détectent les anticorps dirigés contre la glycoprotéine E (gE) du virus, ne sont pas agréés au plan national pour le diagnostic de l’IBR. Néanmoins, ce test distingue un animal infecté d’un animal immunisé avec un vaccin gE délété.
La neutralisation virale est une méthode normalisée. Moins sensible également, elle est surtout utilisée pour la confirmation des résultats positifs en ELISA. La mise en œuvre de ces essais par les laboratoires est harmonisée. Toutefois, le contexte d’élevage doit être considéré dans l’interprétation des résultats afin de tenir compte des sources d’interférences dans le diagnostic de l’IBR.
1- POURQUOI UTILISER DES TESTS SÉROLOGIQUES DE DIAGNOSTIC INDIRECT DE L'I.B.R. ?
Figure 1 - Cinétique d’apparition des anticorps neutralisant le BoHV-1 c hez un bovin infecté expérimentalement par la souche Los Angeles (2 x 107 doses infectieuses en culture de cellules)
2- QUELLES SONT LES MÉTHODES DE DIAGNOSTIC SÉROLOGIQUE DE L’I.B.R. ?
Figure 2 - Illustration schématique des différents anticorps dirigés contre les antigènes du BoHV-1 et ciblés par les méthodes sérologiques de diagnostic de l’IBR
La neutralisation virale
Les ELISA indirects et les ELISA par compétition
3- QUELLES SONT LES PERFORMANCES DE CES TESTS SÉROLOGIQUES ?
Les données en 2004
Tableau 1 - Performances des tests de diagnostic de l’I.B.R. en analyse individuelle, évaluées par Kramps et coll. en 2004
Les nouveaux tests
Tableau 2 - Critères du LNR-I.B.R. pour l’agrément des kits ELISA indirect et ELISA par compétition, en fonction des matrices Tableau 3 - Enquête auprès de 10 laboratoires sur la confirmation des mélanges positifs Figure 3 - Évaluation de la spécificité de kits ELISA indirects sur sérums individuels et mélanges de sérums
Figure 4 - Évaluation de la spécificité d’un kit ELISA par compétition gB sur sérums individuels
4- COMMENT SONT INTERPRÉTÉS, AU LABORATOIRE, LES RÉSULTATS DES DIFFERENTS ESSAIS ?
Tableau 4 - Interprétation des analyses de sérums individuels selon la procédure ACERSA PR/IBR/03
5- COMMENT PEUT-ON DIFFÉRENCIER UN ANIMAL INFECTÉ NATURELLEMENT D’UN ANIMAL VACCINÉ ?
Tableau 5 - Résultats en ELISA par compétition pouvant être observés chez des bovins infectés par un BoHV-1, la souche vaccinale délétée gE, ou d’autres virus apparentés au BoHV-1
6- QUELLE EST L’INTERFÉRENCE DES AUTRES ALPHAHERPÈSVIRUS SUR LE DIAGNOSTIC DE L’I.B.R. ?
7- LA MISE EN ŒUVRE DE CES MÉTHODES DANS DES LABORATOIRES D’ESSAI AGRÉÉS EST-ELLE HARMONISÉE ?
Figure 5 - Résultats obtenus en ELISA indirect, en condition de réproductibilité (42 laboratoires différents), sur des dilutions d’un sérum positif (E)
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
Tableau 6 - Modalités d’utilisation des tests de diagnostic sérologique de l’IBR
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DOSSIER : L'I.B.R. EN FRANCE : stratégies de contrôle dans un contexte européen
résumé
Éradication et maîtrise
du risque sanitaire I.B.R.
dans la filière “insémination animale”
pour l’espèce bovine
Nathalie Pozzi, Bernard Guérin
L’éradication de l’IBR dans les centres de collecte (centre d’insémination) français a été initiée à partir de 1972. Le protocole initialement défini a permis, par contrôle sérologique individuel, de détecter et d’éliminer progressivement tous les animaux infectés. Parallèlement, des mesures de contrôle en ferme appliquées aux couples mère-veau ont permis d’éviter l’entrée dans la filière IA de nouveaux animaux séro-positifs.
L’importation de génétique Holstein en provenance du Canada a été associée à celle d’animaux séronégatifs infectés latents. Ceci a ralenti le processus d’éradication. Néanmoins, ce dernier a été achevé au début des années 1990.
La réglementation française actuellement en vigueur a bien intégré le dispositif sanitaire qui permet, par des contrôles répétés et des garanties de cheptels, de maîtriser le risque sanitaire associé à cette maladie.
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DOSSIER : L'I.B.R. EN FRANCE : stratégies de contrôle dans un contexte européen
résumé
Les plans de lutte et de certification
chez les bovins : état des lieux
Sophie Memeteau
1996-2006 : LA CRÉATION D’UN DOUBLE DISPOSITIF DE CERTIFICATION ET DE CONTRÔLE
1996 : le 1er dispositif de certification
Encadré 1 - Audits d’habilitation et de suivi des schémas territoriaux de certification Figure 1 - Organisation interne
2006 : l’arrêté ministériel complète le 1er dispositif
2010 : LE DISPOSITIF ACTUEL
Une nouvelle notion : la zone épidémiologique favorable (Z.E.F.)
Le dépistage à l’échelle des troupeaux
Tableau 1 - Dépistage des troupeaux en prophylaxie - maintien des appellations ”indemne d’I.B.R.“ et “ contrôlé en I.B.R.“ Tableau 2 - Protocole d’acquisition des appellations “indemne d’I.B.R.“ et “contrôlé en I.B.R.“
Le contrôle à l’introduction dans le cheptel et ses dérogations
Tableau 3 - Règles de contrôle à l’introduction Encadré 2 - Les conditions de dérogation au contrôle d’introduction des bovins indemnes d’I.B.R. Des dispositions complémentaires pour les élevages sous appellation
CONCLUSION
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DOSSIER : L'I.B.R. EN FRANCE : stratégies de contrôle dans un contexte européen
résumé
Observation clinique -
Épisodes respiratoires aigus
en atelier d’engraissement :
quand impliquer l’IBR ?
Didier Raboisson, Élise Bernardin, Jérôme Dufour, Gilles Meyer, François Schelcher
DESCRIPTION DES CAS
Anamnèse
Épisodes respiratoires
Tableau 1 - Description sommaire des quatre ateliers et circonstances d’apparition des troubles respiratoires Dans l’atelier 1 Tableau 2 - Clinique liée aux troubles respiratoires Dans les ateliers 2 et 3 Tableau 3 - Liste des animaux morts en 2011 dans l’atelier 2 Tableau 4 - Allotement et mortalité par mois dans l’atelier 2 Tableau 5 - Liste des animaux morts en 2005-2006 dans l’atelier 3 Tableau 6 - Allotement et mortalitépar mois dans l’atelier 3 Dans l’atelier 4 Figure 1 - Nombre d’animaux traités par mois (année 2011) dans l’atelier 4 Tableau 7 - Liste des animaux morts en 2011 dans l’atelier 4 Tableau 8 - Allotement et mortalité par mois dans l’atelier 4 Figure 2 - Bâtiments de l’atelier 4 (site principal) Figure 3 - Bâtiments de l’atelier 4 (site secondaire) Clinique
Autopsies
Tableau 9 - Conclusions des autopsies réalisées
EXAMENS COMPLÉMENTAIRES
Tableau 10 - Examens complémentaires
TRAITEMENTS ET PROPOSITION DE CONDUITE À TENIR
ÉVOLUTION
DISCUSSION
Suspicion et confirmation d’IBR lors de troubles respiratoires
Clinique Autopsie et examens complémentaires
Épidémiologie de la circulation virale
Morbidité et mortalité Origine des épisodes respiratoires Dynamique de la circulation dans l’atelier 4
La conduite à tenir lors d’épisode respiratoire et en prévention
Encadré en pratique - Conduite à tenir lors d’épisode respiratoire et en prévention en lien avec l’étude sur ces quatre ateliers CONCLUSION
11 photos illustrent cet article.
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PORCS
résumé et plan de l'article
La visite d’élevage
en production porcine :
3. le logement
Arlette Laval
Ce troisième article est consacré au logement, point essentiel pour garantir le confort et le bien-être des animaux, et optimiser le potentiel de production, mais aussi lourd de conséquences sur la santé digestive, et surtout respiratoire.
Les bâtiments sont à disposer de façon à éviter la contamination des animaux les plus vulnérables par les sujets plus âgés. Ils doivent être suffisamment spacieux pour éviter une densité animale excessive et le mélange de sujets d’âges différents, avec des sols confortables, faciles à nettoyer et à désinfecter. Le respect des normes de température et de ventilation est essentiel pour éviter l’expression clinique des infections inapparentes.
La mise en application des nouvelles normes relatives au bien-être des truies, qui prévoit leur logement en liberté pendant la gestation, doit être impérativement accompagnée d’un aménagement rationnel des systèmes d’alimentation pour éviter la compétition à l’auge, et de dangereuses expressions d’agressivité.
Il est également indispensable de prévoir une quarantaine à l’écart du troupeau de reproductrices, de façon à gérer au mieux l’adaptation microbienne des cochettes au cours de leur introduction.
LA DISPOSITION DES BÂTIMENTS
Figure 1 - L’élevage de porc LES SURFACES ET LES VOLUMES DISPONIBLES
LA NATURE DES SOLS
LE CONFORT DES LOCAUX
Tableau 1 - Températures recommandées dans chaque local en fonction de l’âge des porcs et du type de logement
La température
La ventilation
Le contrôle de l’ambiance
Figure 2 - Contrôle de l’ambiance : les 15 principaux points à vérifier Tableau 2 - Normes minimales de surface au sol (directive 91/630/CEE)
BIEN-ÊTRE ET ÉVOLUTION DU LOGEMENT
CONCLUSION
5 photos illustrent cet article.
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COMPRENDRE ET AGIR - DIAGNOSTIC
plan de l'article
Enjeux économiques
Vers une politique agricole commune
plus verte et plus juste ?
Les propositions de la Commission
européenne pour 2014-2020
Pierre Sans
LES RÉFORMES DE LA PAC : DU TRAITEMENT D’ENJEUX AGRICOLES À UNE POLITIQUE INTÉGRÉE DES TERRITOIRES RURAUX
Encadré 1 - Glossaire des termes de la Politique Agricole Commune Figure 1 - évolution des dépenses de la Politique Agricole Commune en prix constants 2007) de 1980 à 2009 et poids dans le Produit Intérieur Brut (PIB) de l’Union Européenne (source INE)
LES PROPOSITIONS DE LA COMMISSION
1. Une adaptation des instruments de régulation du marché
2. Une nouvelle conception des paiements directs en plusieurs strates avec un plafonnement des aides
Tableau - Le nouveau dispositif des paiements directs proposé pour 2014
3. Une redistribution des paiements directs entre États membres
CONCLUSION : DES LIGNES DE RUPTURE, BASE D’UNE NÉGOCIATION À VENIR
Figure 2 - Les 10 points clés de la réforme proposée
3 photos illustrent cet article.
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FMC Vet -formation médicale continue - ÉTUDE DE CAS
Dans un contexte de fertilité dégradée, la fonction sexuelle de 36 béliers (Blanc du Massif Central, Romane et Rouge du Roussillon) a été évaluée, à la demande de la coopérative ovine des Pyrénées Orientales.
Le sperme a été collecté à l’électro-éjaculateur. La circonférence scrotale moyenne a été de 31,1 ± 3,6 cm. Six jeunes béliers sur neuf ont présenté une circonférence scrotale insuffisante (inférieure à 30 cm) associée à une production spermatique insuffisante. La production spermatique a été plus élevée chez les béliers en bon état d’entretien que chez les béliers maigres. Des anomalies de l'appareil génital ont été détectées chez six béliers et ont été associées, pour quatre d’entre eux, à des éjaculats de mauvaise qualité.
L’évaluation clinique de la fonction sexuelle des 36 béliers dans le cadre de cette coopérative a une valeur d’exemple, et souligne l’importance du mâle dans la fertilité du troupeau et l’intérêt d’une bonne préparation du bélier à la lutte.
Ainsi, l’examen de la fonction sexuelle doit être réalisé avant la lutte et doit, au minimum, comprendre la mesure de la circonférence scrotale et la vérification de l’intégrité du tractus génital externe et de l’appareil locomoteur.
L’évaluation de l’état corporel conduit, pour les béliers trop maigres, à augmenter les apports énergétiques pour permettre une reprise de poids avant la lutte.
COMMÉMORATIFS ET EXAMEN DE LA FONCTION SEXUELLE
L’examen génital
L’examen séminologique
Tableau 1 - Paramètres séminologiques (moyenne ± écart-type et étendue) des 36 béliers, comparativement aux valeurs seuils usuelles
DISCUSSION
Les facteurs de variation de la production spermatique
Figure 1 - Relation entre la production spermatique (en millions de spermatozoïdes/éjaculat) et la note d’état corporel Figure 2 - Relation entre la circonférence scrotale (cm) et l’âge pour 34 béliers
Lien entre production spermatique et circonférence scrotale
Figure 3 - Relation entre la production spermatique et la circonférence scrotale
CONCLUSION
Encadré - Recommandations pour préparer les béliers et pour la conduite de la lutte
9 photos illustrent cet article.
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DOSSIERS : L'IBR EN FRANCE - STRATÉGIES DE CONTRÔLE DANS UN CONTEXTE EUROPÉEN
FMC Vét -formation médicale continue vétérinaire -Étude de cas - évaluation de la fonction sexuelle de 36 béliersNicole Picard-Hagen, Sandrine Bousquet, Danae Lartigue, Hélène Schwarz, Laurie Lebert, Xavier Berthelot - Revue de presse internationale - Sébastien Assié, Catherine Belloc, Xavier Nouvel, Nicole Picard-Hagen - Infectiologie - Protection fœtale contre le virus de la diarrhée virale bovine type 1 après une administration d’un vaccin vivant atténué - Infectiologie - Virus de la fièvre catarrhale sérotype 8 : avortement et transmission transplacentaire chez les bovins dans la région Bourgogne en France, 2008-2009 - Reproduction - épaisseur de l'endomètre évaluée par échographie avant une insémination animale programmée comme indicateur de la fertilité des vaches laitières hautes productrices - Porcs - Pouvoir pathogène comparé des souches de virus S.D.R.P. de types 1 et 2 dans un modèle d’infection expérimentale de porcelets