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DOSSIER :
REPRODUCTION
CHEZ LES ÉQUIDÉS : MISES AU POINT ET NOUVEAUTÉS
| | | 1 | DOSSIER : REPRODUCTION chez les équidés : mises au point et nouveautés
résumé et plan de l'article
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Maîtrise hormonale de l’œstrus
chez la jument
Jean-François Bruyas
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Disciplines : reproduction, thérapeutique, imagerie, économie
Mots clés : œstrus, cycle, transplantation embryonnaire, progestagènes, prostaglandine, molécules, traitement, ovulation, altrénogest, jument, cheval
PLAN DE L'ARTICLELES TRAITEMENTS À BASE DE PGF2α OU D’ANALOGUES STRUCTURAUX
Molécules et produits disponibles et utilisations
Y-a-t-il du nouveau sur le moment de l’injection et sur la dose à utiliser ?
Encadré - Principe d’une tentative de maîtrise du moment de l’œstrus
Résultats à attendre et conséquences pratiques
Figure 1 - Répartition de la durée de l’intervalle entre l’injection de cloprosténol (250 µg) et l’ovulation chez des juments traitées le 6e ou le 7e jour post-ovulation (n = 555 cycles)
Les molécules sont-elles équivalentes ?
LES TRAITEMENTS À BASE DE PROGESTATIFS
Molécules et produits disponibles
Comment effectuer le traitement
LES TRAITEMENTS ASSOCIANT PROGESTATIFS ET PROSTAGLANDINES
Molécules et produits disponibles
Résultats à attendre
Figure 2 - Répartition de la durée de l’intervalle entre l’injection de cloprosténol (250 µg) et l’ovulation chez des juments traitées pendant 7 jours avec de l’altrénogest 40 mg/j per os et par une injection de cloprosténol (250 µg) le 7e jour (n = 134 cycles)
Tableau 1 - Résultats des synchronisations d’ovulation entre juments donneuses et receveuses lors d’opération de transfert d’embryons
Une injection de prostaglandine 3 à 5 jours après la 1re injection de PG post-traitement progestatif pourrait-elle mieux grouper les ovulations ou la venue de l’œstrus ?
Peut-on synchroniser la croissance folliculaire pour réduire la variabilité de réponse aux traitements de synchronisation de l’œstrus et de l’ovulation ?
CONCLUSION2 photos illustrent cet article
Jean-François Bruyas est docteur vétérinaire, PhD, habilité à diriger des recherches (HDR) (Rennes 1), diplômé ECAR (European College of Animal Reproduction), chef de Centre d’insémination artificielle dans les espèces chevalines et asines. Il est professeur agrégé des écoles nationales vétérinaires (ENV) en pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’alimentation, Nantes-Atlantique (ONIRIS).
1984 : Diplômé de l'école nationale vétérinaire de Toulouse 1986 : Doctorat Vétérinaire, Lauréat de l'Université Paul Sabatier de Toulouse 1984-1985 : Service national comme vétérinaire biologiste aspirant section équestre du prytanée militaire de la Flèche 1984-1986 : Aides et remplacements en clientèles vétérinaires rurales ou mixtes 1986-1987 : Vacataire d'enseignement clinique en Pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire de Nantes (ENVN) Depuis 1987 : Enseignant - chercheur en Pathologie de la reproduction à l'ENVN (ONIRIS), et professeur depuis 1998 1990 : Diplôme d'études approfondies (DEA) de Physiologie de la reproduction de l'Université Pierre et Marie Curie 1994 : Admission au concours d'agrégation de Pathologie de la reproduction des ENV 1997 : Thèse de doctorat de l’école nationale supérieure agronomique de Rennes, sur la cryoconservation des embryons équins 2007 : HDR (habilitation à diriger les recherches) – mention Sciences de la vie - Université Rennes 1 sur les travaux de recherche en reproduction équine (maîtrise des cycles œstraux, (polyovulation, induction de l'ovulation) cryoconservation des embryons équins, risques sanitaires de transmission des EHV1 et 4 par le sperme et les embryons équins)
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| | 2 | DOSSIER : REPRODUCTION chez les équidés : mises au point et nouveautés
résumé et plan de l'article
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Fiche - Maîtrise de l’anœstrus
saisonnier
Jean-François Bruyas
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Disciplines : reproduction, thérapeutique, imagerie, économie
Mots clés : anœstrus, œstrus, ovulation, traitement, progestatif, photostimulation, œstrogènes, GnRH, jument, cheval
PLAN DE L'ARTICLEL’INTÉRÊT DES TRAITEMENTS PROGESTATIFS
L’INTÉRÊT DES TRAITEMENTS À BASE DE GNRH
AUTRES PERSPECTIVES
Jean-François Bruyas est docteur vétérinaire, PhD, habilité à diriger des recherches (HDR) (Rennes 1), diplômé ECAR (European College of Animal Reproduction), chef de Centre d’insémination artificielle dans les espèces chevalines et asines. Il est professeur agrégé des écoles nationales vétérinaires (ENV) en pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’alimentation, Nantes-Atlantique (ONIRIS).
1984 : Diplômé de l'école nationale vétérinaire de Toulouse 1986 : Doctorat Vétérinaire, Lauréat de l'Université Paul Sabatier de Toulouse 1984-1985 : Service national comme vétérinaire biologiste aspirant section équestre du prytanée militaire de la Flèche 1984-1986 : Aides et remplacements en clientèles vétérinaires rurales ou mixtes 1986-1987 : Vacataire d'enseignement clinique en Pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire de Nantes (ENVN) Depuis 1987 : Enseignant - chercheur en Pathologie de la reproduction à l'ENVN (ONIRIS), et professeur depuis 1998 1990 : Diplôme d'études approfondies (DEA) de Physiologie de la reproduction de l'Université Pierre et Marie Curie 1994 : Admission au concours d'agrégation de Pathologie de la reproduction des ENV 1997 : Thèse de doctorat de l’école nationale supérieure agronomique de Rennes, sur la cryoconservation des embryons équins 2007 : HDR (habilitation à diriger les recherches) – mention Sciences de la vie - Université Rennes 1 sur les travaux de recherche en reproduction équine (maîtrise des cycles œstraux, (polyovulation, induction de l'ovulation) cryoconservation des embryons équins, risques sanitaires de transmission des EHV1 et 4 par le sperme et les embryons équins)
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| | 3 | DOSSIER : REPRODUCTION chez les équidés : mises au point et nouveautés
résumé et plan de l'article
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Fiche - Actualités sur l'induction
de l’ovulation chez la jument
Jean-François Bruyas
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Disciplines : reproduction, thérapeutique, imagerie, économie
Mots clés : induction, ovulation, transfert embryons, injection, traitement, GnRH, triptoréline, jument, cheval, ânesse
PLAN DE L'ARTICLE
DONNÉES ÉPIDÉMIOLOGIQUES
TRAITEMENT
Des essais sur le terrain d’injection de buséréline
En Grande-Bretagne
Aux États-Unis
Chez l’ânesse
Des essais d’injection de triptoréline
CONCLUSION3 photos illustrent cet article
Jean-François Bruyas est docteur vétérinaire, PhD, habilité à diriger des recherches (HDR) (Rennes 1), diplômé ECAR (European College of Animal Reproduction), chef de Centre d’insémination artificielle dans les espèces chevalines et asines. Il est professeur agrégé des écoles nationales vétérinaires (ENV) en pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’alimentation, Nantes-Atlantique (ONIRIS).
1984 : Diplômé de l'école nationale vétérinaire de Toulouse 1986 : Doctorat Vétérinaire, Lauréat de l'Université Paul Sabatier de Toulouse 1984-1985 : Service national comme vétérinaire biologiste aspirant section équestre du prytanée militaire de la Flèche 1984-1986 : Aides et remplacements en clientèles vétérinaires rurales ou mixtes 1986-1987 : Vacataire d'enseignement clinique en Pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire de Nantes (ENVN) Depuis 1987 : Enseignant - chercheur en Pathologie de la reproduction à l'ENVN (ONIRIS), et professeur depuis 1998 1990 : Diplôme d'études approfondies (DEA) de Physiologie de la reproduction de l'Université Pierre et Marie Curie 1994 : Admission au concours d'agrégation de Pathologie de la reproduction des ENV 1997 : Thèse de doctorat de l’école nationale supérieure agronomique de Rennes, sur la cryoconservation des embryons équins 2007 : HDR (habilitation à diriger les recherches) – mention Sciences de la vie - Université Rennes 1 sur les travaux de recherche en reproduction équine (maîtrise des cycles œstraux, (polyovulation, induction de l'ovulation) cryoconservation des embryons équins, risques sanitaires de transmission des EHV1 et 4 par le sperme et les embryons équins)
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| | 4 | DOSSIER : REPRODUCTION chez les équidés : mises au point et nouveautés
résumé et plan de l'article
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Conduite à tenir
face à un hyperœstrus
chez la jument
Jean-François Bruyas
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Disciplines : reproduction, thérapeutique, imagerie, économie
Mots clés : hyperœstrus, ovulation, follicule, échographie, injection, iatrogènes, œstrogènes, traitement, progestagènes, HCG, jument, cheval
PLAN DE L'ARTICLE
CONDUITE À TENIR
1. Établir le diagnostic
2. Cesser d’inséminer ou de faire saillir la jument
Discussion
PRÉVENTION
CONCLUSION7 photos illustrent cet article
Jean-François Bruyas est docteur vétérinaire, PhD, habilité à diriger des recherches (HDR) (Rennes 1), diplômé ECAR (European College of Animal Reproduction), chef de Centre d’insémination artificielle dans les espèces chevalines et asines. Il est professeur agrégé des écoles nationales vétérinaires (ENV) en pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’alimentation, Nantes-Atlantique (ONIRIS).
1984 : Diplômé de l'école nationale vétérinaire de Toulouse 1986 : Doctorat Vétérinaire, Lauréat de l'Université Paul Sabatier de Toulouse 1984-1985 : Service national comme vétérinaire biologiste aspirant section équestre du prytanée militaire de la Flèche 1984-1986 : Aides et remplacements en clientèles vétérinaires rurales ou mixtes 1986-1987 : Vacataire d'enseignement clinique en Pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire de Nantes (ENVN) Depuis 1987 : Enseignant - chercheur en Pathologie de la reproduction à l'ENVN (ONIRIS), et professeur depuis 1998 1990 : Diplôme d'études approfondies (DEA) de Physiologie de la reproduction de l'Université Pierre et Marie Curie 1994 : Admission au concours d'agrégation de Pathologie de la reproduction des ENV 1997 : Thèse de doctorat de l’école nationale supérieure agronomique de Rennes, sur la cryoconservation des embryons équins 2007 : HDR (habilitation à diriger les recherches) – mention Sciences de la vie - Université Rennes 1 sur les travaux de recherche en reproduction équine (maîtrise des cycles œstraux, (polyovulation, induction de l'ovulation) cryoconservation des embryons équins, risques sanitaires de transmission des EHV1 et 4 par le sperme et les embryons équins)
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| | 5 | DOSSIER : REPRODUCTION chez les équidés : mises au point et nouveautés
résumé et plan de l'article
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Fiche - Des effets indésirables
des prostaglandines ?
Jean-François Bruyas
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Disciplines : reproduction, thérapeutique, imagerie, économie
Mots clés : prostaglandines, lutéolyse artificielle, injection, cloprosténol, ovulation, jument, cheval
PLAN DE L'ARTICLE
DES TAUX DE GESTATION PLUS FAIBLES APRÈS LUTÉOLYSE ARTIFICIELLE
DES OVULATIONS MULTIPLES PLUS ÉLEVÉES LORS D’ŒSTRUS
INDUIT PAR LUTÉOLYSE
CONCLUSION
Jean-François Bruyas est docteur vétérinaire, PhD, habilité à diriger des recherches (HDR) (Rennes 1), diplômé ECAR (European College of Animal Reproduction), chef de Centre d’insémination artificielle dans les espèces chevalines et asines. Il est professeur agrégé des écoles nationales vétérinaires (ENV) en pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’alimentation, Nantes-Atlantique (ONIRIS).
1984 : Diplômé de l'école nationale vétérinaire de Toulouse 1986 : Doctorat Vétérinaire, Lauréat de l'Université Paul Sabatier de Toulouse 1984-1985 : Service national comme vétérinaire biologiste aspirant section équestre du prytanée militaire de la Flèche 1984-1986 : Aides et remplacements en clientèles vétérinaires rurales ou mixtes 1986-1987 : Vacataire d'enseignement clinique en Pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire de Nantes (ENVN) Depuis 1987 : Enseignant - chercheur en Pathologie de la reproduction à l'ENVN (ONIRIS), et professeur depuis 1998 1990 : Diplôme d'études approfondies (DEA) de Physiologie de la reproduction de l'Université Pierre et Marie Curie 1994 : Admission au concours d'agrégation de Pathologie de la reproduction des ENV 1997 : Thèse de doctorat de l’école nationale supérieure agronomique de Rennes, sur la cryoconservation des embryons équins 2007 : HDR (habilitation à diriger les recherches) – mention Sciences de la vie - Université Rennes 1 sur les travaux de recherche en reproduction équine (maîtrise des cycles œstraux, (polyovulation, induction de l'ovulation) cryoconservation des embryons équins, risques sanitaires de transmission des EHV1 et 4 par le sperme et les embryons équins)
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| | 6 | DOSSIER : REPRODUCTION chez les équidés : mises au point et nouveautés
résumé et plan de l'article
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Comment diagnostiquer,
suivre et gérer
des gestations gémellaires
chez la jument
Ingrid Vagner
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Cette étude a permis d’analyser 102 cycles à ovulations multiples, 53 cas de gestations gémellaires, 43 cas de jumeaux collés et un effectif témoin de 509 cycles sur sept clientèles françaises. Elle a été coordonnée par la Commission Elevage de l’AVEF.
Nous avons pu ainsi confirmer en grande partie les données de la littérature sur les caractéristiques des ovulations doubles et des gestations gémellaires, étudier les mesures thérapeutiques utilisées en pratique et établir une conduite à tenir applicable sur le terrain afin d’aider nos confrères à gérer au mieux les cas d’ovulations multiples et de gestations gémellaires.
Un suivi gynécologique ovarien rigoureux et précis permet de noter et de caractériser les doubles ovulations (15 à 30 p. cent des cycles). Il convient notamment de suivre toute la vague folliculaire afin de dépister des ovulations asynchrones (30-50 p. cent des cas d’ovulations multiples, séparées en moyenne de 1,9 jours). Seuls 30-40 p. cent des cycles à ovulations multiples aboutissent à une gestation gémellaire lors du premier diagnostic de gestation (DG). Le diagnostic et la gestion des jumeaux impliquent tout d’abord un programme de suivi précoce et régulier.
Nous proposons au minimum un premier DG à J14, un 2è DG à J25, un 3è DG éventuel à J30-J32 et un 4è DG à J45, avec des contrôles éventuels supplémentaires en fonction du cas.
Les différentes options thérapeutiques les plus largement répandues sur l’hexagone sont la non intervention, l’écrasement manuel d’une des deux vésicules embryonnaires, avec ou sans traitement associé, et l’administration de prostaglandines.
Avant immobilisation des vésicules, l’écrasement est pratiqué quasi systématiquement par les praticiens de l’étude avec un bon taux de succès (80-100 p. cent de maintien de la gestation avec l’autre embryon). En cas de jumeaux collés, l’écrasement est plus difficile et il est recommandé d’essayer de les séparer ou d’attendre un peu qu’ils bougent d’eux-mêmes.
Après immobilisation des vésicules embryonnaires (après J 17), pour les cas où les deux vésicules jumelles sont accolées, le suivi sans intervention de ce type de gestation gémellaire permet d’observer une résorption spontanée d’une des deux vésicules avant J 40 dans 77 à 90 p. cent des cas.
Dans le cas de jumeaux séparés au delà de J 17, on n’observe aucune résorption spontanée d’une des deux vésicules embryonnaire avant J 40 et en revanche, un avortement fréquent avant J 90. Dans tous les cas, une injection de PGF2α entraîne un avortement, mais après J 35, date de début de mise en place des cupules endométriales, il est possible d’avoir à répéter les injections et le retour à une cyclicité normale est incertain.
Disciplines : reproduction, thérapeutique, imagerie, économie
Mots clés : gestations gémellaires, suivi gynécologique, échographie, follicule préovulatoires, kystes utérins, vésicule, allantochorions, écrasement manuel, injection, PGF2α, jument, poulains, cheval
PLAN DE L'ARTICLE
LE SUIVI GYNÉCOLOGIQUE DE LA VAGUE FOLLICULAIRE
Figure 1 - Étude prospective multicentrique non aléatoire sur 7 clientèles lors des saisons 2001/2002
Encadré 1 - Rappels sur les données physiologiques
Figure 2 - “The twinning tree”
LE DIAGNOSTIC DE GESTATION
Diagnostic précoce
Diagnostic tardif
Figure 3 - Protocole de diagnostic de gestation optimal proposé
Figure 4 - Conduite à tenir lors de diagnostic pendant la phase de mobilité (J 14-J 17)
Figure 5 - Conduite à tenir lors de diagnostic après immobilisation mais avant mise en place des cupules endométriales (J 17-J 35)
LES MESURES À METTRE EN PLACE LORS DE GÉMELLITÉ DIAGNOSTIQUÉE PRÉCOCEMENT ?
Figure 6 - La technique d’écrasement manuel
Figure 7 - L’écrasement manuel avant fixation
Encadré 2 : Les deux techniques d’écrasement manuel de vésicule
L’écrasement manuel des vésicules
Ne rien faire ?
L’injection de PGF2α
En cas d’échec d’une autre technique
En cas de diagnostic tardif
CONCLUSION
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| | 7 | DOSSIER : REPRODUCTION chez les équidés : mises au point et nouveautés
résumé et plan de l'article
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L’évaluation de la qualité
du sperme de l’étalon
Isabelle Barrier-Battut
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Les analyses classiques effectuées sur les spermatozoïdes d’étalon permettent de prédire la fertilité dans une certaine mesure. Leurs limites sont bien connues : pour le sperme frais, environ 24 p. cent des chevaux à qualité de sperme jugée “insuffisante” sont pourtant fertiles, et environ 20 p. cent des chevaux à qualité de sperme jugée “acceptable” sont cependant infertiles. Des analyses approfondies des différents compartiments cellulaires, notamment grâce à la cytométrie, peuvent apporter des informations complémentaires. De plus, pour prédire la fertilité, il n’est pas suffisant d’analyser individuellement les différents critères de qualité des spermatozoïdes par rapport à des “seuils d’acceptabilité” pour chaque critère. Il est nécessaire d’évaluer la qualité du sperme dans son ensemble, car des mécanismes compensatoires sont possibles. Aucun test ne permet à lui seul, de prédire la fertilité avec suffisamment de précision.
Aucun test ne permet à lui seul, de prédire la fertilité avec suffisamment de précision. La Jumenterie du Pin a développé une technique d’examen et un modèle statistique qui permet de prédire la fertilité du sperme, frais ou congelé, d’un étalon, à partir l’analyse globale de plusieurs critères de qualité des spermatozoïdes. Les examens incluent notamment l’analyse automatisée de mobilité et la cytométrie. Cette technique disponible dès maintenant améliore considérablement la prédiction de la fertilité, par rapport aux analyses classiques.
Disciplines : reproduction, diagnostic, économie, thérapeutique, imagerie
Mots clés : cytométrie, spermatozoïde, fertilité, qualité, sperme, étalon, cheval
PLAN DE L'ARTICLE
Encadré - Principe de la cytométrie appliquée à la biologie
PROTOCOLE EXPÉRIMENTAL
RÉSULTATS
Figure 1 - Variables pour prédire la fertilité
LA PRÉDICTION DE LA FERTILITÉ - SUR SPERME FRAIS
Répartition des valeurs dans la population et exemples d’étalons
Intervalle de confiance (“fourchette”) de prédiction de la fertilité par chaleur
Figure 2 - Histogrammes de répartition de la mobilité progressive des spermatozoïdes, et de la polarisation des mitochondries immédiatement après dilution Population de 43 étalons dont 34 de fertilité par chaleur connue après insémination en sperme frais
LA PRÉDICTION DE LA FERTILITÉ - SUR SPERME CONGELÉ
Répartition des valeurs dans la population et exemple d’étalons
Intervalle de confiance (“fourchette”) de prédiction de la fertilité par chaleur
APPLICATIONS PRATIQUES INDICATIONS
Tableau 1 - Prédiction de la fertilité du sperme frais : exemple d'étalons
Figure 3 - Histogrammes de répartition pour 44 étalons dont 33 de fertilité connue en sperme congelé
Tableau 2 - Prédiction de la fertilité du sperme congelé : exemple d'étalons
Tableau 3 - Fertilité prédictive des éjaculats non utilisés pour l'insémination du fait d'une faible mobilité après décongélation
CONCLUSION9 photos illustrent cet article
Isabelle Barrier-Battut
Isabelle Barrier-Battut est docteur vétérinaire (Toulouse, 1987), docteur de l'Université Paris VI, et diplômée du European College of Animal Reproduction (ECAR)
2015 : Diplômée de l’école vétérinaire de Toulouse et 5e année d’approfondissement (équine) à l’école vétérinaire de Nantes 2015-2016 : Internat en médecine et chirurgie des équidés à l’école vétérinaire de Nantes Vétérinaire à la Jumenterie du Pin (haras nationaux).
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| | 8 | DOSSIER : REPRODUCTION chez les équidés : mises au point et nouveautés
résumé et plan de l'article
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La suppression de l’œstrus
chez la jument athlète
et contraception
de la jument réformée
Jean-François Bruyas, Peter Daels
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Disciplines : reproduction, thérapeutique, imagerie, économie
Mots clés : ovariectomie, hyperprolactinémie, pneumovagin, cyclicité ovarienne, progestatifs, alténogest, vésicule embryonnaire, ocytocine, GnRH, vaccin, jument
PLAN DE L'ARTICLE
INDICATIONS ET CLINIQUE
Les juments “pisseuses”
La présence d’un pneumovagin
Une éventuelle suppression de la cyclicité ovarienne
TRAITEMENT : LES PROGESTATIFS
Mécanisme d’action
Protocoles testés/ utilisés
Résultats
Contre-indications/ limites d’utilisation
INDUCTION D’UN PHASE LUTÉALE PROLONGÉE
L’introduction de billes dans l’utérus
Résultats
Limites / contraintes d’utilisation contre-indications
Induction d’une pseudogestation par écrasement d’une vésicule embryonnaire
Effets des injections répétées d’ocytocine
Quatre études et essais
Comprendre le mécanisme d’action
Induction d’ovulations en phase lutéale
Essai
Résultats
Inconvénients
Éthique
AGONISTES, ANTAGONISTES DE GNRH
Mécanisme d’action
Antagonistes de GnRH
Protocoles testés ou utilisés
Avec des agonistes
Avec des antagonistes
Résultats
IMMUNISATION CONTRE LA GNRH, VACCINS ANTI-GNRH
Vaccin dédié à l’espèce équine
Vaccin dédié à l’espèce porcine
Vaccin adapté à l’espèce bovine
Vaccin adapté à l’espèce canine
Vaccin chez la jument
CONCLUSION1 photo illustre cet article
Jean-François Bruyas est docteur vétérinaire, PhD, habilité à diriger des recherches (HDR) (Rennes 1), diplômé ECAR (European College of Animal Reproduction), chef de Centre d’insémination artificielle dans les espèces chevalines et asines. Il est professeur agrégé des écoles nationales vétérinaires (ENV) en pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’alimentation, Nantes-Atlantique (ONIRIS).
1984 : Diplômé de l'école nationale vétérinaire de Toulouse 1986 : Doctorat Vétérinaire, Lauréat de l'Université Paul Sabatier de Toulouse 1984-1985 : Service national comme vétérinaire biologiste aspirant section équestre du prytanée militaire de la Flèche 1984-1986 : Aides et remplacements en clientèles vétérinaires rurales ou mixtes 1986-1987 : Vacataire d'enseignement clinique en Pathologie de la reproduction à l'école nationale vétérinaire de Nantes (ENVN) Depuis 1987 : Enseignant - chercheur en Pathologie de la reproduction à l'ENVN (ONIRIS), et professeur depuis 1998 1990 : Diplôme d'études approfondies (DEA) de Physiologie de la reproduction de l'Université Pierre et Marie Curie 1994 : Admission au concours d'agrégation de Pathologie de la reproduction des ENV 1997 : Thèse de doctorat de l’école nationale supérieure agronomique de Rennes, sur la cryoconservation des embryons équins 2007 : HDR (habilitation à diriger les recherches) – mention Sciences de la vie - Université Rennes 1 sur les travaux de recherche en reproduction équine (maîtrise des cycles œstraux, (polyovulation, induction de l'ovulation) cryoconservation des embryons équins, risques sanitaires de transmission des EHV1 et 4 par le sperme et les embryons équins)
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| | 9 | RUBRIQUE : Étude clinique
résumé et plan de l'article
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Gestion de la reproduction
des juments
dans le cadre d’une clientèle équine
du Sud-Ouest de la France
Pauline Casenave, Isabelle Gaudry, Xavier Berthelot, Nicole Picard-Hagen
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L’objectif de cette étude est de décrire la gestion de la reproduction de 98 juments, essentiellement de selle, suivies dans le cadre d’un cabinet vétérinaire équin pluridisciplinaire, dans la région d’Occitanie entre 2012 et 2016. Sur 118 saisons de reproduction au cours desquelles 209 cycles ovariens ont été utilisés pour la mise à la reproduction, le nombre moyen de cycles suivis par jument a été de 2,3 et la durée moyenne de suivi jusqu’à l’ovulation a été de 8 jours. Un cycle sur cinq n’a pas été utilisé en raison de caractéristiques physiopathologiques de la jument pour deux tiers des cycles et en raison de problèmes de gestion de la mise à la reproduction pour un tiers des cycles. Pour le cabinet, cette gestion de la reproduction nécessite un investissement important du vétérinaire qu’il faut prendre en compte dans l’organisation et la gestion technico-économique du cabinet. En raison de l’éloignement géographique des étalons, le mode de reproduction majoritairement utilisé dans cette étude, est l’insémination artificielle, avec de la semence réfrigérée ou congelée. Pour optimiser l’utilisation de la semence congelée, les examens gynécologiques ont été plus rapprochés, de façon à mieux cibler le moment de l’IA par rapport à l’ovulation, sans augmenter le nombre d’IA.
En outre, un traitement d’induction de l’ovulation a été presque systématiquement utilisé avant insémination.
Près de la moitié des juments a présenté une endométrite au cours de la saison de reproduction et un traitement antibiotique a été utilisé chez un quart des juments de notre étude. Deux facteurs de risque des endométrites ont été mis en évidence : la prédisposition des juments à une vidange non efficace de l’utérus en période d’œstrus et l’utilisation de semence conservée. Dans le cadre de cette clientèle vétérinaire, les contraintes liées aux modes de reproduction, à la zone géographique, aux caractéristiques de la jument, sont généralement bien maîtrisées. Mais il est important d’expliquer au propriétaire des juments leur impact sur la gestion et les performances de reproduction.
Disciplines : reproduction, économie, imagerie, thérapeutique
Mots clés : insémination, fertilité, semence, induction, ovulation, gestation, endométrite, jument, équidés
PLAN DE L'ARTICLE
MATÉRIEL ET MÉTHODES
Organisation du suivi de la reproduction des juments
Les modes de reproduction
Tableau 1 - Nombre de saisons de reproduction de juments et de cycles ovariens suivis par année
Caractéristiques des juments en suivi de reproduction
RÉSULTATS ET DISCUSSION
Figure 1 - Répartition du nombre de juments en fonction du nombre de cycles suivis par jument et par année de 2012 à 2016
Figure 2 - Répartition du nombre de cycles suivis en fonction de leur rang dans la saison et de la durée du suivi gynécologique des juments sur la période de 2012 à 2016
Tableau 2 - Répartition des 204 cycles (% par mode de reproduction) pour lesquels le nombre d’IA/saillie est connu, en fonction du nombre d’IA/saillie par cycle et du mode de reproduction
Les modes de reproduction
Les caractéristiques de l’ovulation
Tableau 3 - Répartition des 207 cycles utilisés (% par mode de reproduction) de 2012 à 2016, en fonction de l’intervalle entre les examens gynécologiques autour de l’ovulation pour chaque mode de reproduction
Figure 3 - Répartition du diamètre des follicules pré-ovulatoires pour chaque mode de reproduction sur la période de 2012 à 2016
Les traitements de maîtrise des cycles
Tableau 4 - Répartition des cycles (% par mode de reproduction) en fonction du traitement d’induction de l’ovulation et pour chaque mode de reproduction, sur la période de 2012 à 2016
Les juments atteintes d’endométrite
Les traitements
Les causes d’endométrite
Supplémentation en progestagène et maintien de la gestation
Tableau 5 - Répartition des cycles utilisés (%) en fonction des traitements d’endométrite pré et post IA/saillie utilisés sur la période de 2012 à 2016
CONCLUSION
Pauline Casenave est Docteur Vétérinaire diplômée de l’École Vétérinaire de Toulouse en 2017. Son intérêt pour la médecine vétérinaire équine s'est manifesté tout au long de son cursus universitaire, notamment au travers de ses stages dans les cliniques vétérinaires équines en France et à l’étranger. Pauline Casenave a réalisé sa thèse de Doctorat vétérinaire sur les performances de reproduction des juments suivies dans le cadre d’une clientèle vétérinaire en 2017.
2012-2017 : Études à l’École Vétérinaire de Toulouse Juin 2017-Juin 2018 : Internat de Perfectionnement en Sciences Appliquées Vétérinaire (IPSAV) en Équine au centre hospitalier universitaire vétérinaire de l'université de Montréal au Canada
Nicole Picard-Hagen est Professeure en Pathologie de la reproduction à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse. Son activité de recherche sur la toxicologie de xénobiotiques agrovétérinaires perturbateurs endocriniens est réalisée au sein de l’Unité mixte de recherche INRA/INP-ENVT Toxalim.
1988 : Diplôme de fin d'études - École Nationale Vétérinaire de Lyon 1989 : Doctorat Vétérinaire - Université de Lyon 1988-1990 : Coopérative d'Élevage et d'Insémination artificielle de la Meuse. Vétérinaire responsable du service Fécondité 1991-1995 : Doctorat d’Université en Physiologie de la reproduction à la Station de Physiologie de la Reproduction des Mammifères domestiques, INRA Nouzilly. Université Pierre et Marie Curie, Paris VI. Depuis 1996 : Enseignant-Chercheur en Pathologie de la Reproduction à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse. |
| | 10 | RUBRIQUE : Étude clinique
résumé et plan de l'article
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Performances de reproduction
des juments en suivi dans le cadre
d’une clientèle équine du Sud-Ouest
de la France
Pauline Casenave, Isabelle Gaudry, Xavier Berthelot, Nicole Picard-Hagen
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L’objectif de cette étude est d’analyser les performances de reproduction de juments suivies dans le cadre d’une clientèle type chevaux de selle d’un cabinet vétérinaire équin pluridisciplinaire du Sud-Ouest de la France, sur la période de 2012 à 2016, de façon à mettre en évidence des facteurs de variation. Sur les 207 cycles utilisés au cours de 118 saisons de reproduction de 98 juments, le mode de reproduction le plus utilisé a été l’IA en semence congelée (55 %) et l’IA en semence réfrigérée (40 %). Le taux de gestation en fin de saison a été de 66,4% et la fertilité par cycle a été de 46 %, ce qui est comparable aux données françaises. Le nombre total de chaleurs exploitées par jument gravide en fin de saison a été de 2,7. Les juments subfertiles (nécessitant plus de deux cycles exploités sur la saison) représentent 19,6% des femelles mises à la reproduction. La gestion de la reproduction et le recours aux traitements de maîtrise des cycles sont globalement conformes aux recommandations usuelles et permettent de garantir une fertilité optimale.
Cependant, l’intérêt de l’insémination profonde semble limité, ce qui pourrait remettre en cause son utilisation. Au contraire, l’IA post-ovulation pourrait être davantage utilisée car elle permet de réduire le nombre d’IA, même si elle nécessite un suivi régulier des juments. Dans notre étude, l’âge des juments et les endométrites ont constitué les causes majeures de dégradation des performances de reproduction. Ainsi, les juments atteintes d’endométrite ont eu deux fois moins de chance d’être gravides sur un cycle que les femelles saines. Dans le cadre d’un cabinet vétérinaire, une analyse annuelle simplifiée des performances de reproduction des juments pourrait permettre aux vétérinaires d’évaluer de manière objective les stratégies de gestion de la reproduction et, éventuellement de proposer des voies d’amélioration.
Disciplines : Reproduction, économie, imagerie, thérapeutique
Mots clés : insémination, fertilité, subfertilité, semence, induction, ovulation, gestation, endométrite, jument, équidés
PLAN DE L'ARTICLE
TAUX DE GESTATION PAR SAISON DE REPRODUCTION ET PAR CYCLE
LA MORTALITÉ EMBRYONNAIRE ET FŒTALE INDUITE OU SPONTANÉE
L’INFLUENCE DE L’ÂGE DE LA JUMENT SUR LES PERFORMANCES DE REPRODUCTION
L’INFLUENCE DU MODE DE REPRODUCTION SUR LES PERFORMANCES DE REPRODUCTION
L’INFLUENCE DU NOMBRE D’OVULATION ET DE LA TAILLE DU FOLLICULE PRÉ-OVULATOIRE SUR LA FERTILITÉ
LA FERTILITÉ ET LES TRAITEMENTS DE MAÎTRISE DES CYCLES
Figure 1 - Fertilité par cycle en fonction de la taille du follicule pré-ovulatoire, sur 155 cycles ovariens suivis de 2012 à 2016
L’INFLUENCE DES ENDOMÉTRITES SUR LES PERFORMANCES DE REPRODUCTION
LA SUPPLÉMENTATION EN PROGESTÉRONE EN DÉBUT DE GESTATION ET LES PERFORMANCES DE REPRODUCTION
CONCLUSION
4 photos illustrent cet article
Pauline Casenave est Docteur Vétérinaire diplômée de l’École Vétérinaire de Toulouse en 2017. Son intérêt pour la médecine vétérinaire équine s'est manifesté tout au long de son cursus universitaire, notamment au travers de ses stages dans les cliniques vétérinaires équines en France et à l’étranger. Pauline Casenave a réalisé sa thèse de Doctorat vétérinaire sur les performances de reproduction des juments suivies dans le cadre d’une clientèle vétérinaire en 2017.
2012-2017 : Études à l’École Vétérinaire de Toulouse Juin 2017-Juin 2018 : Internat de Perfectionnement en Sciences Appliquées Vétérinaire (IPSAV) en Équine au centre hospitalier universitaire vétérinaire de l'université de Montréal au Canada
Nicole Picard-Hagen est Professeure en Pathologie de la reproduction à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse. Son activité de recherche sur la toxicologie de xénobiotiques agrovétérinaires perturbateurs endocriniens est réalisée au sein de l’Unité mixte de recherche INRA/INP-ENVT Toxalim.
1988 : Diplôme de fin d'études - École Nationale Vétérinaire de Lyon 1989 : Doctorat Vétérinaire - Université de Lyon 1988-1990 : Coopérative d'Élevage et d'Insémination artificielle de la Meuse. Vétérinaire responsable du service Fécondité 1991-1995 : Doctorat d’Université en Physiologie de la reproduction à la Station de Physiologie de la Reproduction des Mammifères domestiques, INRA Nouzilly. Université Pierre et Marie Curie, Paris VI. Depuis 1996 : Enseignant-Chercheur en Pathologie de la Reproduction à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse. |
| | 11 | RUBRIQUE : Synthèse
résumé et plan de l'article
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Myélographie cervicale
sous anesthésie générale :
effets indésirables chez les chevaux
Pascale Dussaud
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Disciplines : Anesthésiologie, médecine humaine, thérapeutique, neurologie, imagerie
Mots clés : induction, anti-inflammatoires, injection, convulsion, troubles respiratoires, hyperthermie, cheval
PLAN DE L'ARTICLE
MATÉRIEL ET MÉTHODE
RÉSULTATS ET DISCUSSION
CONCLUSION |
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| Sauter N°44, Volume 12, 2017Sauter Sommaire
Test clinique - Une jument de 9 ans toujours vide Marine Schott, Aurélie Allard
Éditorial par Aurélie Allard
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CHEVAL ET ÉQUIDÉS Dossier : Reproduction chez les équidés : mises au point et nouveautés
- Maîtrise hormonale de l’œstrus chez la jument Jean-François Bruyas - Fiche - Maîtrise de l’anœstrus saisonnier Jean-François Bruyas - Fiche - Actualités sur l’induction de l’ovulation chez la jument Jean-François Bruyas, Laure Normandin, Fanny Huiban - Conduite à tenir face à un hyperœstrus chez la jument Jean-François Bruyas - Fiche - Des effets indésirables des prostaglandines ? Jean-François Bruyas - Comment diagnostiquer, suivre et gérer des gestations gémellaires chez la jument Ingrid Vagner - Évaluation de la qualité du sperme de l’étalon Isabelle Barrier-Battut - La suppression de l’œstrus chez la jument athlète et contraception de la jument réformée Jean-François Bruyas, Peter Daels
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RUBRIQUES - Étude clinique - Gestion de la reproduction des juments dans le cadre d'une clientèle équine du Sud-Ouest de la France Pauline Casenave, Isabelle Gaudry, Xavier Berthelot, Nicole Picard-Hagen - Étude clinique - Performances de reproduction des juments en suivi dans le cadre d'une clientèle équine du Sud-Ouest de la France Pauline Casenave, Isabelle Gaudry, Xavier Berthelot, Nicole Picard-Hagen - Synthèse - Myélographie cervicale sous anesthésie générale : effets indésirables chez les chevaux Pascale Dussaud
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REVUE DE PRESSE INTERNATIONALE
- Rubrique dirigée par Jean-Luc Cadoré, Jean-Philippe Germain
Un panorama des meilleurs articles d’équine : notre sélection par Anaëlle Barandiaran, Pauline Venture, Paul Camdeborde, Roxane Jouve, Lauriane Lucas, Mathilde Royer
- Locomoteur/Chirurgie - Traitement d’une bursite naviculaire contaminée ou septique : bilan de 19 cas (2002-2016) de chevaux ayant subi une bursotomie naviculaire
- Chirurgie - Évaluation de l’intestin grêle par laparoscopie sur cheval debout : technique et effets
- Ophtalmologie - Glaucome avec un détachement de la membrane de Descemet chez cinq chevaux
- Thérapeutique / Respiratoire - Biodisponibilité et tolérance de la dexaméthasone phosphate de sodium chez les chevaux adultes
- Respiratoire - Pleuropneumonie septique : facteurs associés à la survie chez 97 chevaux atteints
- Médecine interne / Épidémiologie - Évaluation de la capacité des propriétaires de chevaux à reconnaître la fourbure
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Test clinique - les réponses
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