1 | ACTUALITÉS EN PERSPECTIVE
Un quart de siècle
d’encéphalopathie spongiforme
bovine en France et en Europe
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Carole Sala, Didier Calavas Anses-Laboratoire de Lyon, Unité Epidémiologie31 avenue Tony Garnier, 69364 Lyon Cedex 07
UNE MALADIE AUX CARACTÈRISTIQUES PARTICULIÈRES
La source de contamination des animaux
Encadré 1 - Les encéphalopathies spongiformes transmissibles animales et humaines Encadré 2 - Les formes atypiques d’ESB : vers une origine bovine de l’ESB classique ? Encadré 3 - Un agent infectieux protéique ? La théorie du prion
La nature de l’agent pathogène responsable des EST
Encadré 4 - Les apports de l’épidémiologie et de la modélisation à la compréhension de l’épizootie d’ESB
L’âge moyen d’apparition des signes cliniques
Le diagnostic de certitude de l’ESB
UNE MALADIE À L'ÉPIDÉMIOLOGIE ET À LA DYNAMIQUE COMPLEXE
Tableau 1 - Principaux signes cliniques observés sur des cas d’ESB
Les différents facteurs de risque
Figure 1 - Répartition par année de naissance des cas d’ESB détectés en Europe (pays ayant déclaré plus de 10 cas) Figure 2 - Comparaison de l’estimation du nombre de cas infectés en France entre 1985 et 2001 et du nombre de cas détectés en France entre 1990 et 2009*
La prévalence observée et la prévalence réelle
DES MESURES RÉGLEMENTAIRES ÉVOLUTIVES
Figure 3 - Évolution du nombre de cas d’ESB classique détectés par an et par pays (pays ayant déclaré plus de 10 cas) en Europe Encadré 5 - Chronologie des mesures de surveillance en France et de l’évolution du nombre de cas détectés Figure 4 - Nombre de cas d’ESB détectés par les différents programmes de surveillance en France
Des mesures de contrôle efficaces
Tableau 2 - Principales mesures mises en œuvre pour le contröle de l’ESB en Europe
Une police sanitaire progressivement allégée
BILAN : UNE ÉPIZOOTIE DIFFICILEMENT MAÎTRISÉE ET UNE VIGILANCE À MAINTENIR
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| | 2 | DOSSIER : MAMMITES BOVINES : nouvelles perspectives
Approche pratique : comment
définir une stratégie de traitement
des vaches laitières au tarissement
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Henri Seegers1, Pierre Billon1, Philippe Roussel1, Francis Sérieys2, Marylise Le Guénic3, Nathalie Bareille11 UMT Santé des Bovins, Institut de l’Elevage-Oniris-INRA, UMR BIOEPAR, BP 40706, 44307 Nantes Cedex 032 Filière Blanche, 12 Quai Duguay Trouin, 35000 Rennes3 Chambres d’Agriculture de Bretagne, Recherche Appliquée - Pôle Herbivores, BP 398, 56009 Vannes Cedex CARACTÉRISER LA SITUATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE DU TROUPEAUEncadré 1 - Les points clés pour les stratégies de traitement Tableau 1 - Situation du troupeau pour le niveau des infections existantes, avec les indicateurs concentration cellulaire du tank au contrôle laitier (CCTCL) moyenne ou pourcentage de concentration cellulaire individuelle (CCI) < 300 000 cellules/mL (sur les 12 derniers mois)Encadré 2 - Répétabilité inter-annuelle de l’indicateur de nouvelles infections calculé à partir des concentrations cellulaires individuelles
1er temps : déterminer le niveau d’infection du troupeau au tarissement
Pour les troupeaux soumis au contrôle laitier Pour les autres troupeaux
2e temps : évaluer le risque de nouvelles infections au cours de la période tarie
Évaluer les nouvelles infections survenues au cours de la période tarie Évaluer le risque de survenuede nouvelles infections au cours de la période tarie Faire la synthèse
3e temps : évaluer le type de bactérie impliqué de manière dominante
Pour les infections prévalentes au tarissement Pour les nouvelles infections risquant de survenir en période tarie Tableau 2 - Évaluation des facteurs de risque relatifs à la conduite et au logement
CHOIX DE STRATÉGIE À PARTIR DE CETTE ÉVALUATION
Encadré 3 - Comment sélectionnerles vaches soumises au traitement antibiotique sélectifFigure - Les alternatives au traitement antibiotique systématique dans les contextes épidémiologiques courantsTableau 3 - Pourcentage de vaches infectées non traitées valeur de ces informations dans une stratégie de traitement antibiotique sélectif
La mise en œuvre opérationnelle
CONCLUSION
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| | 3 | DOSSIER : MAMMITES BOVINES : nouvelles perspectives
Mammites à mouches en Aveyron :
comment les prévenir et les traiter ?
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Céline Pouget FODSA-GDS12 Avenue des Ebénistes ZA Bel-Air 12032 Rodez Cedex CLINIQUE ET IMPACT DANS LES CHEPTELS AVEYRONNAIS Données épidémiologiques
Signes cliniques
ÉTIOLOGIE DES MAMMITES À MOUCHESEncadré - Expérimentation sur le rôle de la mouche Hydrotaea irritans dans la transmission des mammites d’été L'UTILISATION DES ANTIPARASITAIRES EXTERNES
Tableau - Nombre de cas de mammites d’été par troupeau en fonction des traitements antiparasitaires utilisés - Comparaison en cheptel allaitant aveyronnais en 2008 et en Angleterre en 1997QUELS TRAITEMENTS CURATIF ET PRÉVENTIF ?
Les recommandations en matière de traitement curatif
Les recommandations en matière de traitement préventif
CONCLUSION |
| | 4 | DOSSIER : MAMMITES BOVINES : nouvelles perspectives
Traitemement des mammites et résistance bactérienne chez les vaches laitières
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Émilie Gay, Nathalie Jarrige, Géraldine Cazeau, Didier Calavas AFSSA Lyon31, avenue Tony Garnier - 69364 Lyon Cedex 07 LES ANTIBIOTIQUES UTILISÉS POUR LE TRAITEMENT DES MAMMITES Figure 1 - Formulaire d’enquête auprès des vétérinairesEncadré 1 - Protocoles de l’enquête sur l’utilisation des antibiotiques par les vétérinaires et les éleveurs en filière bovine
Volet vétérinaires Figure 2 - Formulaire d’enquête auprès des éleveurs
Volet éleveurs Figure 3 - Proportion de traitements par les éleveurs et de prescriptions par les vétérinaires mentionnant au moins une fois la famille d’antibiotique citéeTableau 1 - Les principes actifs contenus dans les principales spécialités antibiotiques utilisées dans le traitement des mammites par les éleveurs ou les vétérinaires
LES RÉSISTANCES DES GERMES ISOLÉS DE MAMMITES Tableau 2 - Couples bactéries-antibiotiques présentant des résistances notables dans le cas des mammites cliniques (MC) ou subcliniques (MSC) MISE EN PARALLÈLE ET DISCUSSION
Les biais potentiels de l’étude
Quels risques de résistance ?
Quel avenir ?
Quelles pratiques adopter ?
CONCLUSION |
| | 5 | DOSSIER : MAMMITES BOVINES : nouvelles perspectives
Prévalence dans le lait de mammites
bovines des bactéries pathogènes
et de leurs résistances
aux antibiotiques : résultats
d’une enquête en Rhône-Alpes
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Émilie Gay, Marisa Haenni, Philippe Sulpice, Jean-Yves Madec, Didier Calavas PROTOCOLE DE L'ÉTUDE
Encadré - Le protocole de l'étude LES RÉSULTATS
Les élevages enquêtés et les échantillons collectés Les bactéries isolées de mammites
Lors de mammites cliniques Figure 1 - Fréquence des bactéries isolées de mammites cliniques (n = 802) Tableau 1 - Antibiotiques testés selon l’espèce bactérienne isolée
Lors de mammites subcliniques Figure 2 - Fréquence des bactéries isolées de mammites subcliniques (n = 829)Résistance aux antibiotiques des souches bactériennes isolées de mammites Tableau 2 - Proportions de résistances chez les Staphylocoques isolés de mammitesTableau 3 - Proportions de résistances chez les Streptocoques isolés de mammitesTableau 4 - Proportions de résistances chez les E. coli isolés de mammites DISCUSSION Les conditions de prélèvement et d’analyse
Le recrutement des éleveurs Les aspects techniques
Les bactéries isolées
La résistance des bactéries isolées de mammites
CONCLUSION |
| | 6 | PORCS : La visite d'élevage en filière porcine
La visite d’élevage
en production porcine : partie 1
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Arlette Laval
Le vétérinaire répond aux appels de l’éleveur motivés par un problème médical ponctuel. Il doit aussi avoir une bonne connaissance de l’élevage. Pour cela, il réalise au moins deux visites annuelles : l’une pour dresser le Bilan Sanitaire d’Élevage qui garantit sa connaissance de l’élevage, et lui permet de prescrire les traitements, l’autre pour réévaluer régulièrement le protocole de soin.
La visite initiale doit se dérouler en trois étapes : 1. la préparation de l’intervention avec examen des données disponibles ; 2. la visite des lieux avec un examen attentif des animaux et une analyse détaillée de la situation ; 3. la rédaction du rapport de sa visite.
Dans la plupart des élevages, les résultats techniques et économiques sont enregistrés et présentés de façon synthétique. Les performances peuvent ainsi être comparées à celles d’autres élevages conduits dans les mêmes conditions et l’évolution de la situation suivie en fonction du temps. Les résultats d’analyse de laboratoire et les bordereaux d’abattage doivent aussi être examinés.
Lors de la visite, six paramètres essentiels sont à inventorier : l’éleveur, les animaux, le logement, l’alimentation, la conduite de l’élevage et les contaminants infectieux.
Dans ce premier article, les points relatifs à l’éleveur et à ses conseils sont détaillés, ainsi que le paramètre "animal". Les quatre autres points sont décrits dans les articles suivants.
LES DIFFÉRENTES SORTES DE VISITES
La visite annuelle
La visite sur appel
Cas des maladies monofactorielles
Cas des maladies multifactorielles LES TROIS PHASES DE LA VISITE
Encadré - Les questions essentielles à poser à l’éleveur lors de l’appel téléphonique
1re étape : l’analyse des données disponibles
2e étape : la visite des bâtiments
3e étape : La rédaction du rapport
Les critères à prendre en compte
Figure 1 - Représentation hexagonale de l’écosystème porcin selon Tillon Figure 2 - Représentation schématique d’un élevage “à problèmes” (Tillon 1980)
L’éleveur et ses conseillers
L’animal
L’auto-renouvellement, la sélection interne, l’organisation génétique L’état sanitaire des animaux
CONCLUSION
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| | 7 | ENJEUX ÉCONOMIQUES
La production porcine au Danemark :
mégafermes, environnement
et compétitivité
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Christine Roguet, Boris Duflot
LA GRANDE MUTATIONL’ancien modèleL’évolution récente Figure 1 - Production et consommation du porc export en vif par le DanemarkTableau 1 - Orientation et taille des élevages danois en 1997 et en 2007Figure 2 - Évolution des nombres et des tailles des élevages de porcs, truies et porcs charcutiersLes prévisions pour l’avenir LE CHOIX DES "MEGAFARMS"Encadré 1 - Les modalités de financement au DanemarkL'AMÉLIORATION DES PERFORMANCESFigure 3 - Évolution du nombre de porcelets nés vivants par portéeFigure 4 - Prix du porc perçus par les éleveursLES OBLIGATIONS RÉGLEMENTAIRES POUR LA PROTECTION ANIMALE ET ENVIRONNEMENTALEPour les truies en groupeLa protection de l’environnementEncadré 2 - L’évolution des textes réglementaires sur l’impact environnemental des élevagesLE PLAFOND D'UNITÉS ANIMALES PAR HECTARELes zones sensiblesCONCLUSION |
| | 8 | ÉTUDE DE TERRAIN
Circulation du virus BVD
dans les ateliers d’engraissement,
en région Pays de la Loire (France),
chez de jeunes bovins
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Frédéric Lemarchand, Pascal Fanuel, Roland Gasnier, Sébastien Assié, Christophe Thévenot, Alain Douart, Jean-Luc Cheval, Catherine Couroussé, Sophie Letard
LA GRANDE MUTATION Encadré 1 - La production de jeunes bovins en Pays de la Loire Tableau 1 - Répartition des poids et âge des animaux de l'étude n°1 Tableau 2 - Nombre d’analyses PCR temps réel BVD du lot 1 - 2 et résultats positifs Encadré 2 - Matériel et méthodes pour les deux études RÉSULTATS Étude n°1 : Prévalence de l’infection par le virus BVD chez les jeunes bovins à la mise en lot Encadré 3 - Les techniques de recherche du virus BVDTableau 3 - Animaux IPI dans les mélanges positifs en PCR temps réelÉtude n°2 : Séroprévalence des jeunes bovins envers le virus B.V.D. à la mise en lot et après 150 jours d’engraissement, fréquence des séroconversionsTableau 4 - Sérologie BVD p80 (NS2-3) à J0 et J150 et pourcentage de séroconversion (Lot 1)DISCUSSIONÉtude n°1Étude n°2Influence de l’infection par le B.V.D. sur les maladies respiratoires CONCLUSION |
| | 9 | OLIGO-ÉLÉMENTS
Hormones thyroïdiennes :
variations physiologiques et relation
avec l’iode et le sélénium
chez les bovins
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Odile Arnaudies, François Schelcher, Didier Raboisson, Catherine Viguié, Véronique Gayrard, Nicole Picard-Hagen
MATÉRIELS ET PÉTHODES Encadré 2 - Les dosages et les paramètres analysés Tableau 1 - Caractéristiques des animaux RÉSULTATS Étude n°1 : Prévalence de l’infection par le virus BVD chez les jeunes bovins à la mise en lot Figure 2 - Relation entre les concentrations plasmatiques de thyroxine (T4) totales (ng/mL) et libres (pg/mL) chez 101 bovinsFigure 3 - Répartition des 71 vaches laitières et des 30 vaches allaitantes en fonction des concentrations de thyroxine (T4) totale et de thyroxine (T4) libre ainsi que de triiodothyronine (T3) totale et de triiodothyronine (T3) libre Tableau 2 - Concentrations de T3 et de T4 libres et totales (moyenne ± écart-type et étendue) chez 71 vaches laitières et 30 vaches allaitantes Effet du stade physiologique sur les concentrations plasmatiques en hormones thyroïdiennes
Relation entre les hormones thyroïdiennes et le statut en iode et en sélénium
Statut en iode
Figure 4 - Moyenne (± écart-type) des concentrations de thyroxine (T4) totale et libre et de triiodothyronine (T3) totale et libre pour 60 vaches laitières (dont 44 en lactation et 16 taries)
Statut en sélénium
Figure 5 - Concentrations en thyroxine totale et libre et en triiodothyronine totale et libre en fonction des concentrations plasmatiques en iode chez 101 vaches (71 laitières et 30 allaitantes) Figure 6 - Répartition des 69 vaches laitières et des 30 vaches allaitantes en fonction de l’activité GSH-péroxydase érythrocytaire (UI/g Hb)
Prise en compte simultanée des statuts en iode et en sélénium
Effet de la saison sur les concentrations plasmatiques en hormones thyroïdiennes Tableau 3 - Concentrations plasmatiques (moyenne ± écart-type) en hormones thyroïdiennes (T4 et T3 totales et libres) et en iode et activité GSH-peroxydase érythrocytaire en fonction de la saison chez 101 vaches DISCUSSION Intérêt des dosages hormonaux dans l’appréciation du statut thyroïdien Encadré 1 - La fonction thyroïdienne (figure 1)Figure 1 - La fonction thyroïdienne, relation avec l’iode et le sélénium
L’influence des carences en oligoéléments CONCLUSION |
| | 10 | FMC Vét - formation médicale continue vétérinaire - COMPRENDRE L'ÉPIDÉMIOLOGIE
3e série : Analyse de risque
en santé animale
5. Gestion du risque et communication relative au risque
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Bernard Toma
L'ÉVALUATION DU RISQUE Encadré - La notion de “risque acceptable” Figure- les différentes étapes de la gestion du risque (OIE) IDENTIFIER DES OPTIONS DE MAÎTRISE DU RISQUE Estimer le risque réduit
Évaluer le risque réduit
Mise en œuvre
Suivi et révision LA COMMUNICATION RELATIVE AU RISQUECONCLUSION
Exercice pratique : questions... analyse de risque : gestion et communication |
| | 11 | FMC Vét - formation médicale continue vétérinaire - ÉTUDE DE CAS
Un foyer de mammites
et de pneumonies
dues à Mycoplasma bovis
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Sébastien Assié, Noura Cesbron, Raphaël Guattéo, Lucie Trencart, Yves Buret, Dominique Le Grand, Alain Douart
L'EXPLOITATIONOrganisation et bilan sanitaireLes vaches laitièresLe prétroupeauLes veaux nourris au lait entier LES TROUBLES OBSERVÉS Figure - Chronologie des événements sanitaires
Des mammites “inguérissables”
Un épisode de mortalités de veaux
Un syndrome mammite-pneumonie
Tableau - Mycoplasmes mis en évidence dans l’appareil respiratoire et la mamelle de cinq des huit vaches ayant eu un syndrome mammite-pneumonie
Des troubles respiratoires dans l’atelier veaux
MISE EN ÉVIDENCE DE MYCOPLASMA BOVIS
Implication de M. bovis dans le syndrome mammite-pneumonie des vaches laitières
Dissémination dans l’organisme
Les autres vaches en lactation
Les veaux élevés au lait entier
DISCUSSION
CONCLUSION ET CONDUITE À TENIR |
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| Sauter N°15, volume 3, 2010Sauter sommaire
Éditorial par Arlette Laval Test clinique - Une génisse gonflée Caroline Oulhen, Hervé Turban, Marleen Bruggink, Raphaël Guattéo
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ACTUALITÉS EN PERSPECTIVE - Chronique - Un été où tout bouge en santé animale : fièvre aphteuse, ESB, FCO, ... Zénon - Bilan épidémiologique : un quart de siècle d’Encéphalopathie spongiforme bovine en France et en Europe Carole Sala, Didier Calavas
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RUMINANTS Dossier mammites bovines : nouvelles perspectives - Approche pratique : comment définir une stratégie de traitement des vaches laitières au tarissement Henri Seegers, Pierre Billon, Philippe Roussel, Francis Serieys, Marylise Le Guénic, Nathalie Bareille - Mammites à mouches en Aveyron : comment les prévenir et les traiter ? Céline Pouget - Traitement des mammites et résistance bactérienne chez les vaches laitières Émilie Gay, Nathalie Jarrige, Géraldine Cazeau, Didier Calavas - Prévalence dans le lait de mammites bovines des bactéries pathogènes et de leurs résistances aux antibiotiques : résultats d’une enquête en Rhône-Alpes Émilie Gay, Marisa Haenni, Philippe Sulpice, Jean-Yves Madec, Didier Calavas
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PORCS - La visite d’élevage en production porcine : partie 1 Arlette Laval
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COMPRENDRE ET AGIR - Enjeux économiques - La production porcine au Danemark : mégafermes, environnement et compétitivité Christine Roguet, Boris Duflot - Étude terrain - Circulation du virus BVD dans les ateliers d’engraissement,en région Pays de la Loire (France), chez de jeunes bovins Frédéric Lemarchand, Pascal Fanuel, Roland Gasnier, Sébastien Assié, Christophe Thévenot, Alain Douart, Jean-Luc Cheval, Catherine Couroussé, Sophie Letard - Oligo-éléments - Hormones thyroïdiennes : variations physiologiques et relation avec l’iode et le sélénium chez les bovins Odile Arnaudies, François Schelcher, Didier Raboisson, Catherine Viguié, Véronique Gayrard, Nicole Picard-Hagen
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FMC Vét - formation médicale continue vétérinaire - Présentation - Comprendre l’épidémiologie - 3e série : Analyse de risque en santé animale 5. Gestion du risque et communication relative au risque Bernard Toma - Étude de cas - Un foyer de mammites et de pneumonies dues à Mycoplasma bovis Sébastien Assié, Noura Cesbron, Raphaël Guattéo, Lucie Trencart, Yves Buret, Dominique Le Grand, Alain Douart - Revue de presse internationale - Synthèses rédigées par Sébastien Assié, Nicole Picard-Hagen, Didier Raboisson - Répétabilité des mesures de la température rectale chez les vaches laitières - Mycoplasmose des ruminants en France : données récentes du réseau national d’épidémio-surveillance - Évaluation des facteurs associés à une mortalité élevée des vaches laitières aux États-Unis - La monte naturelle avec des taureaux expérimentalement infectés par Neospora caninum n’a pas entraîné de séroconversion des femelles - Approche clinique fondée sur la bactériologie et la cytologie utérine pour déterminer les diagnostics faux positifs d’endométrite clinique établis par examen vaginoscopique chez la vache laitière
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Test clinique - Les réponses
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