DOSSIER :

GESTION DES PÂTURAGES

ET PARASITISME

chez les ruminants


 
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DOSSIER : GESTION DES PÂTURAGES ET PARASITISME chez les ruminants
résumé de l'article

Savoir organiser

un pâturage performant



Mathieu Bessière
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Un pâturage de qualité doit respecter le sol, les plantes et les animaux. Le sol doit être nourri par l’herbe laissée sur la parcelle après broutage et protégé en permanence.

Les plantes doivent être pâturées, ni trop fréquemment ni trop ras pour ne pas fragiliser leurs réserves et à un stade nutritionnel compris entre 2,5 et 3 feuilles.

Le chargement doit être adapté aux ressources de la parcelle pour ne générer ni surpâturage ni refus.

Le pâturage fixe apporte peu de contraintes aux éleveurs, mais offre peu de garantie sur le respect des réserves des plantes et leur équilibre nutritionnel.

Le pâturage au fil permet de s’adapter à des changements d’effectifs mais demande une astreinte quotidienne forte pour les éleveurs. Il nécessite l’utilisation d’un fil arrière en cas de séjour long sur une parcelle.

Le pâturage tournant dynamique cherche à répondre avec un maximum de précision au respect du cycle sol/plante/animal.







Le nombre de paddock optimal varie entre 10 et 30 dans la perspective de respecter des vitesses de pousse comprises entre 20 et 40 jours. Cela demande un investissement en matériel de clôture important.

Les robots de traite imposent des contraintes supplémentaires notamment dans le cas où les stalles sont saturées.

Lorsque c’est possible, nous proposons plusieurs paddocks par jour pour soutenir le nombre de passages au robot et améliorer la valorisation de l’herbe.




Disciplines
: Nutrition, Zootechnie

Mots-clés : Pâturage, sol, plantes, animaux, paddocks





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DOSSIER : GESTION DES PÂTURAGES ET PARASITISME chez les ruminants
résumé de l'article

Comment mettre en place

et entretenir

des prairies performantes



Mathieu Bessière
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Lorsqu’elles ont conservé leur état d’équilibre, les prairies naturelles, par leurs diversités floristiques, sont plus productives et plus résilientes que les prairies plus récemment implantées.

Pour autant, il n’est pas recommandé de chercher à recopier cette diversité lors de l’implantation de nouvelles pâtures car nos approximations inévitables conduisent à des prairies déséquilibrées et difficiles à conduire. Il est préférable de choisir des associations de plantes qui respectent les mêmes appétences, les mêmes précocités et mêmes vitesses de pousse. Par exemple, il n’est pas opportun de mélanger le Dactyle ou les fétuques à feuilles dures avec du Ray-Grass Anglais.

Au delà des mélanges prairiaux, ce qui fait la force d’une prairie est le niveau de fertilité des sols. Nous devons l’apprécier sous deux aspects, l’activité biologique et la quantité de matière organique stable.







Ces deux éléments déterminent respectivement la vigueur et la robustesse des prairies. S’il est relativement simple de relancer l’activité biologique en supprimant le surpâturage, il est plus complexe et plus long de rétablir le stock de matière organique stable. Pour cela, il est nécessaire d’avoir recours à des sursemis de légumineuses annuelles, à l’épandage maximum de fumier et plus structurellement, à l’agro-foresterie.

Pour évaluer les pratiques des éleveurs, à défaut d’un bilan humique plus précis, nous pouvons comparer la ration laissée au sol à une ration de vache laitière. Cette dernière doit être en quantité élevée et présenter un bon équilibre alimentaire (sucres et fibres).




Disciplines
: Nutrition, Zootechnie

Mots-clés : Prairie, sol, plantes, équilibre, ruminants, bovins, vache laitière





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DOSSIER : GESTION DES PÂTURAGES ET PARASITISME chez les ruminants
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Faut-il et, si oui,

comment complémenter

les vaches laitières au pâturage ?



Luc Delaby
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L’herbe pâturée présente les caractéristiques nutritionnelles d’une ration complète. Mais les conditions de pâturage recommandées, notamment via les quantités d’herbe offertes, limitent son niveau d’ingestion.

Dans ces conditions, l’apport de concentré permet d’accroître le niveau d’apports nutritifs et d’augmenter la production laitière d’environ 0,9 kg de lait par kg de concentré.

Dans le même temps, le taux butyreux du lait baisse tandis que le taux protéique augmente un peu.

Les performances de reproduction des vaches inséminées au printemps, au pâturage, ne sont pas améliorées. Pour une quantité d’herbe offerte donnée, les quantités d’herbe ingérées individuelle au pâturage dépendent et augmentent avec la capacité d’ingestion de chaque vache. En conséquence, la complémentation en concentré peut être simplifiée et constante entre vaches d’un même troupeau.







La complémentation en fourrages doit être raisonnée différemment. L’apport d’ensilage ou de foin doit être envisagé en cas de déséquilibre entre l’offre et la demande, associé à un déficit de croissance de l’herbe. La situation la plus dommageable est de distribuer aux vaches des fourrages conservés alors que la disponibilité en herbe est suffisante. Du fait d’un coût alimentaire faible, l’herbe pâturée est un atout des systèmes laitiers à condition de tout faire pour bien la valoriser.



Disciplines
: Nutrition, Zootechnie

Mots-clés : pâturage, ingestion, complémentation, performances, bovins, vaches laitières








Parcours
Bonbon
Luc Delaby
Ingénieur de Recherches INRAE, AgroCampus Ouest
UMR Physiologie, Environnement, Génétique
pour l’Animal et les Systèmes d’Elevage



1984-86 : Chargé d’étude et animateur au CEDAPA (22) dans le cadre du service national civil
1987 : INRA - Ingénieur d'Etudes (IE2) chargé d'expérimentation. Affectation à la Station de Physiologie de la Reproduction (37 – Nouzilly) puis à la Station de Recherches sur la Vache Laitière (35 – Saint Gilles).
1998 : INRA - Ingénieur de Recherches (IR2). En charge des recherches sur la gestion du pâturage puis sur les systèmes d’élevage laitier à l'Unité Mixte de Recherches sur la Production du Lait (35 – Saint Gilles)
2012 : Ingénieur de Recherches (IR1) au sein de l’Unité Mixte de Recherches Pégase (35 – St Gilles)
2018 : Ingénieur de Recherches Hors Classe (IRHC) au sein de l’Unité Mixte de Recherches Pégase (35 – St Gilles)

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DOSSIER : GESTION DES PÂTURAGES ET PARASITISME chez les ruminants
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Des plantes bioactives

pour répondre aux nouvelles attentes

en élevage des ruminants



Hervé Hoste, Denis Gautier, Laurence Sagot, Barbara Fança, Vincent Niderkorn
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Face à l’expansion et à la rapidité d’apparition des résistances aux anthelminthiques de synthèse dans les populations de nématodes gastro-intestinaux chez les ovins et les caprins, il est indispensable d’explorer l’intérêt de solutions représentant des alternatives aux molécules antiparasitaires de synthèse.

Parmi les options explorées pour développer le concept de gestion intégrée des nématodes parasites, l’emploi de plantes bioactives, comme le sainfoin ou la chicorée, présente l’intérêt d’avoir des effets bénéfiques sur les plans nutritionnels, sanitaires ainsi qu’environnementaux.







Ces plantes contenant des métabolites secondaires répondent donc par plusieurs aspects aux attentes de l’agroécologie.



Disciplines
: Nutrition, Zootechnie, thérapeutique, parasitologie

Mots-clés : Physiologie Digestive, Nutrition, Méthane, Gaz à Effets de Serre, Parasitisme, Nématodes, Alicament, Plantes Bioactives, Métabolites secondaires, Tannins condensés, Sesquiterpènes lactones, Ruminants








Parcours
Hervé Hoste. DVM, PhD Université Paris VI , HdR Université Paris V

Séjour post doctoral à l’Université de Melbourne Diplomate de l’European College of Veterinary Parasitology.Directeur de Recherches INRA dans l’UMR 1225 IHAP INRA/ENVT où il est responsable d’une équipe travaillant sur les Interactions Nématodes-Milieu Digestif. Auteurs ou co auteurs de 130 publications dans des revues internationales de Parasitologie et de Sciences Vétérinaires.
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Les risques liés aux plantes toxiques

au pâturage



Nathalie Priymenko
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Les animaux en pâture ou recevant des fourrages conservés sont exposés à une grande variété de plantes non cultivées, dont certaines sont toxiques. Il est donc nécessaire de connaître les plantes herbacées les plus souvent présentes dans les prairies en France, en les classant en trois catégories : les plantes plutôt ubiquistes, celles des milieux plutôt humides et celles des milieux plutôt secs.







L’objectif est de reconnaître ces plantes, de comprendre leur(s) mode(s) de dissémination pour mettre en place des moyens de lutte adaptés. Il est rarement nécessaire par exemple, voire contre-productif de labourer une prairie pour se débarrasser des plantes toxiques qui y sont présentes, avant de ressemer.



Disciplines
: Nutrition, Toxicologie

Mots-clés : Plantes toxiques, pâturage, foin, ensilage, moyens de lutte, plantes envahissantes, ruminants, bovins, ovins, caprins







Parcours
priymenko
Nathalie Priymenko

Nathalie Priymenko est diplomate de l’European Veterinary College of Veterinary Comparative Nutrition, et Maitre de Conférences Hors Classe à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse (INP-ENVT). Elle participe à la recherche dans l’unité INRA 1331-Toxalim.


1988 : Diplômée de l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse
1988 : Diplôme de l'Institut Pasteur en Virologie Médicale
1991 : Diplôme de fin d'études du Certificat Supérieur en Alimentation des Animaux Domestiques, INAPG
1993 : Maître Assistant des Ecoles Nationales Vétérinaires, Chaire d'Alimentation et Botanique appliquée
1996 : Maitre de Conférences
1997 : Thèse de Doctorat
2007 : Diplômée du Collège Européen de Nutrition Comparée Vétérinaire (ECVCN
2012 : “Recertification“ du diplôme ECVCN
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DOSSIER : GESTION DES PÂTURAGES ET PARASITISME chez les ruminants
résumé de l'article

Le pâturage cellulaire

ou pâturage tournant dynamique :

principes et impacts possibles

sur le parasitisme par les strongles

digestifs en élevage ovin



Philippe Jacquiet, Claire Ruiz-Huidobro, Laurence Sagot, Cécile Valadier, Sophie Lugagne, Denis Gautier, Françoise Prévot, Léa Bordes, Christelle Grisez
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Parcours
jacquiet
Philippe Jacquiet, DVM, PhD, Diplomate of the European Veterinary Parasitology College. Philippe Jacquiet est Professeur de Parasitologie et de Maladies Parasitaires à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse. Il est membre de l’Unité Mixte Technologique “Santé des Petits Ruminants”

1986 : Diplômé de l’école nationale vétérinaire de Lyon
1988 : Diplômé de l’Institut d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux (Maisons-Alfort) et de la Faculté de médecine de Créteil (Henri Mondor)
1989 : Doctorat Vétérinaire, Université de Lyon
1989 - 1995 : Chef du Service de Parasitologie du Centre national d’élevage et de recherches vétérinaires de Nouakchott (République Islamique de Mauritanie) pour le Ministère Français de la Coopération
1995 : Docteur de l’Université de Montpellier II
1996 : Diplômé de l’Institut Pasteur de Paris (Immunologie Générale)
1997 - 2016 : Enseignant-chercheur à l’école nationale vétérinaire de Toulouse
Depuis 2016 : Enseignant-chercheur à l’école nationale vétérinaire de Toulouse

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DOSSIER : GESTION DES PÂTURAGES ET PARASITISME chez les ruminants
résumé de l'article

Impacts du pâturage cellulaire

sur la dynamique des populations

de Nématodes parasites

du tube digestif chez les ovins



Claire Ruiz-Huidobro, Françoise Prévot, Laurence Sagot, Cécile Valadier, Sophie Lugagne, Denis Gautier, Léa Bordes, Christelle Grisez, Yayu Huang, Marion Sautier, Philippe Jacquiet
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résumé et plan de l'article
Cas pratiques de nutrition

Utilisation d’un méteil ensilé

pour des vaches allaitantes


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Francis Enjalbert




Les méteils ensilés peuvent avoir une composition et une valeur alimentaire très variable selon le mélange végétal et le stade de récolte, d’où l’importance d’une analyse.

Un ensilage de méteil à 12 p. cent de MAT peut représenter l’essentiel de la ration de vaches allaitantes, sous réserve d’un apport d’aliment minéral et d’un apport d’énergie (céréales) en fonction de l’état corporel des animaux.



Disciplines : Nutrition

Mots-clés : vache allaitante, ensilage, méteil




























Parcours
auteur
Francis Enjalbert est docteur vétérinaire, PhD,
Diplomate de l’European College of Veterinary
and Comparative Nutrition (ECVCN).
Il est professeur de Nutrition et alimentation animales
à l’Institut national polytechnique de Toulouse -
École nationale vétérinaire de Toulouse (INPT-ENVT)


1980 : Diplômé de l’école nationale vétérinaire de Toulouse (ENVT)
1981 : Doctorat vétérinaire, Université de Toulouse
1985 : Agrégé des écoles nationales vétérinaires en Alimentation animale
1994 : Doctorat de l’Institut national polytechnique de Toulouse, spécialité Productions animales et Qualité des denrées.
Depuis 1982 : Maître-assistant, Maître de Conférences, puis Professeur à l’ENVT
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résumé de l'article
Étude de cas

Mycotoxicose et baisse de production

chez des vaches laitières


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Kevin Guelou, Jean-Christophe Dupin, Christophe Tonnin, Marie Liron



A la fin du mois d’aouût 2016, un éleveur de 35 vaches Montbéliardes du Doubs est confronté sur plusieurs animaux (n = 20) à de la fièvre, de la tachypnée, une baisse de la production laitière, et de la dyspnée sur quelques vaches (n = 6).

L’apparition des signes cliniques est concomitante à l’introduction du seigle récemment récolté dans le concentré distribué aux vaches en lactation.
L’examen par le vétérinaire de cet aliment permet de mettre en évidence des structures noires, de quelques mm à 2 cm, compatibles avec des sclérotes. Après tri, la pesée des sclérotes révèle une contamination de l’ordre de 9,8 %, alors que la réglementation tolère une teneur maximale en sclérotes de 1 g/kg de céréale non moulue. La recherche de mycotoxines (chromatographie couplée à de la spectrométrie de masse) montre une teneur en alcaloïdes de l’ergot de 54,85 mg/kg de seigle. Selon le poids vif des animaux et la quantité de seigle ingérée, la dose d’alcaloïdes de l’ergot reçue par les animaux est de 0,06 à 0,25 mg/kg de PV.







L’analyse de la bibliographie rapporte des signes cliniques compatibles avec ceux rencontrés dans ce cas clinique. L’augmentation de la température corporelle est consécutive à l’augmentation de la libération d’hormone T3, à l’origine d’une augmentation de la production de chaleur ainsi qu’à une baisse des pertes de chaleur résultant de l’effet vasoconstricteur des alcaloïdes.

Ce dernier effet a été exacerbé par l’exposition des animaux à des fortes chaleurs à cette période. La baisse de production laitière est le résultat de la baisse d’ingestion consécutive à la hausse de la température centrale, et à l’effet inhibiteur des alcaloïdes de l’ergot sur la libération de prolactine, hormone essentiel pour la lactation.




Disciplines
: Nutrition, Toxicologie

Mots-clés : céréale, seigle, sclérotes, teneur, alcaloïdes, ergot, vaches, bovins



















Parcours

Kévin Guélou, Docteur vétérinaire, ingénieur agronome INA-PG (AgroParisTech).

Kévin Guélou est vétérinaire praticien en clientèle rurale dans le Doubs (Vercel).


2005 : Diplômé de l’INA-PG
2009 : Diplômé de l’Ecole Vétérinaire d’Alfort (ENVA)
2010 : Doctorat vétérinaire, Université de Créteil
2010-2012 : Vétérinaire praticien à Allanche (15)
2012-2013 : Internat service Pathologie des ruminants (ENV Toulouse)
Depuis 2013 : Vétérinaire praticien en clientèle rurale à Vercel (25).



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Sauter N°48, Vol 12, 2020

N°48, Vol 12, 2020

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Éditorial - Francis Enjalbert

Actualité thérapeutique - Axience complète sa gamme d'antiparasitaires

Actualité thérapeutique - À propos du nouveau vaccin CZ Vaccines

Dossier : Gestion des Pâturages et parasitisme des ruminants


- Savoir organiser un pâturage performant
Mathieu Bessière

- Comment mettre en place et entretenir des prairies performantes
Mathieu Bessière

- Faut-il et, si oui, comment complémenter les vaches laitières au pâturage ?
Luc Delaby

- Des plantes bioactives pour répondre aux nouvelles attentes de l’élevage des Ruminants
Hervé Hoste, Denis Gautier, Laurence Sagot, Barbara Fança, Vincent Niderkorn

- Les risques liés aux plantes toxiques aux pâturages
Nathalie Priymenko

- Le pâturage cellulaire ou pâturage tournant dynamique : principes et impacts possibles sur le parasitisme par les strongles digestifs en élevage ovin
Philippe Jacquiet, Claire Ruiz-Huidobro, Laurence Sagot, Cécile Valadier, Sophie Lugagne, Denis Gautier, Françoise Prévot, Léa Bordes, Christelle Grisez

- Impacts du pâturage cellulaire sur la dynamique des populations de Nématodes parasites du tube digestif chez les ovins
Claire Ruiz-Huidobro, Françoise Prévot, Laurence Sagot, Cécile Valadier, Sophie Lugagne, Denis Gautier, Léa Bordes, Christelle Grisez, Yayu Huang, Marion Sautier, Philippe Jacquiet




COMPRENDRE ET AGIR

- Cas pratiques de nutrition - Études de cas en alimentation des ruminants : utilisation d’un méteil ensilé pour des vaches allaitantes
Francis Enjalbert

- Étude de cas - Mycotoxicose et baisse de production chez des vaches laitières
Kevin Guelou, Jean-Christophe Dupin, Christophe Tonnin, Marie Liron


- Revue de presse internationale

- Modifications métaboliques chez la vache laitière en acétonémie subclinique
Éloi Guarnieri

- Les effets de la surveillance du vêlage par un thermomètre intravaginal sur la prévalence des dystocies, des mortinatalités, des rétentions placentaires et des métrites dans des élevages laitiers
Chloé Saada, Nicole Picard-Hagen, Xavier Nouvel

- Description des déséquilibres acido-basiques et association avec la mortalité de caprins malades
Éloi Guarnieri