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ACTUALITÉS EN PERSPECTIVE
résumé et plan de l'article

Un foyer de maladie congénitale

liée au virus de Schmallenberg

en troupeau ovin allaitant


Valérie Wolgust, Hélène Benoit-Valiergue


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L’occurrence d’un épisode infectieux au sein d’un troupeau dégrade les performances zootechniques et économiques de celui-ci. Les éléments de diagnostic cliniques et nécropsiques sont indispensables à la démarche : constat, analyses des causes, moyens de lutte.
Dans le cas présent, nous avons suivi le développement d’un épisode du virus de Schmallenberg sur un troupeau ovin allaitant en 2012, et ses conséquences sur la gestion de celui-ci.












DESCRIPTION DE L’ÉPISODE

Contexte

Observations d’ensemble et par groupe d’animaux


Tableau 1 - La mortalité des agneaux par âge
Encadré - Observation sur les trois groupes d’animaux : agneaux et brebis


PROTOCOLE D’INVESTIGATION MIS EN PLACE

Figure 1 - L’organisation de l’agnelage d’hiver en 2012

Les résultats et leur interprétation

Tableau 2 et figure 2 - Résultats des analyses sérologiques sur les trois lots

Maladies abortives

Incidence selon la race

SBV

DISCUSSION

Rappels épidémiologiques du SBV

Données météorologiques et incidence sur la population de Culicoïdes


Figure 3 - Répartition des agnelages

Figure 4 - Conséquences hypothétiques d’une infection in utero par le virus Schmallenberg (SBV), pour les bovins et les petits ruminants

Figure 5 - Le relevé des températures de l’année 2012, Auxerre, France


Désinsectisation

CONCLUSION



4 photos illustrent cet article.



Mots clés :
Anatomie-pathologie, maladies infectieuses, arbovirose, zootechnie




Parcours
V. Wolgust
Valérie Wolgust

Valérie Wolgust est praticienne hospitalière en Pathologie
du Bétail au Centre d’application de l’école nationale vétérinaire
de Maisons- Alfort.


1989 : Diplômée de l’école nationale vétérinaire de Nantes (ENVN)
1992 : Doctorat vétérinaire, Université de Nantes, prix de thèse.
1990-1994 : Vacations d’enseignante en zootechnie
1994-2006 : Collaboration en clientèle vétérinaire
2006-2010 : Vétérinaire conseil au sein d’une coopérative agricole dans l’Yonne (CIALYN : groupement de producteurs bovins et ovins)
2010-2011 : Chargée de consultation au Centre d’application de l’ENVA, responsable de l’atelier d’autopsie du Centre
2012-2013 : Praticienne hospitalière au Centre d’application de l’ENVA


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DOSSIER : Maîtrise sanitaire de l’élevage en lot : jeunes bovins et taurillons
résumé et plan de l'article

Jeunes bovins (taurillons) en France :

panorama de la production

et stratégies d’exportation



Pierre Sans
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UNE PRODUCTION SENSIBLE AUX FACTEURS TECHNIQUES ET ÉCONOMIQUES

Figure 1 - Abattages contrôlés de gros bovins en France
(d’après données FranceAgriMer)


CHEPTEL À VIANDE ET CHEPTEL LAITIER

Figure 2 - Races des jeunes bovins abattus en 2011 (% des effectifs)

Figure 3 - Part de la production de jeunes bovins
selon le type et la taille de l'atelier en 2010

Figure 4 - Répartition des jeunes bovins (mâles et femelles) selon leur race en 2011 : localisation de la dernière exploitation avant abattage ou exportation

Tableau 1 - Poids et âge à l’abattage des taurillons en 2010


L’EXPORTATION : UN DÉBOUCHÉ INDISPENSABLE À L’ÉQUILIBRE DU MARCHÉ

De 2008 à 2012 : le développement des exportations

Un marché instable

UNE NOUVELLE STRATÉGIE


CONCLUSION


2 photos illustrent cet article.


Mots clés :
Économie, zootechnie, jeunes bovins, taurillons, engraissement, production, stratégie, exportation, importation, commerce, viande bovine




Parcours
auteur
Pierre Sans est docteur vétérinaire, docteur en Sciences
économiques et titulaire d’une habilitation à diriger
les recherches (HDR) en Sciences économiques.
Il est actuellement professeur à l’Institut national polytechnique (INP) – école nationale vétérinaire de Toulouse (ENVT).


1990 : Diplômé de l’école nationale vétérinaire de Toulouse
Depuis 1992 : Enseignant-chercheur à l’ENVT

Depuis la création de du NOUVEAU PRATICIEN vétérinaire élevages et santé en 2006, il est membre du comité de rédaction et responsable de rubrique "Enjeux économiques".


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DOSSIER : Maîtrise sanitaire de l’élevage en lot : jeunes bovins et taurillons
résumé et plan de l'article

Production de viande bovine

et engraissement en France :

être plus compétitif pour mieux

répondre aux nouvelles attentes

du marché



Patrick Sarzeaud
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UN VRAI POTENTIEL DE PRODUCTION FRANÇAIS
ET DES OPPORTUNITÉS DE MARCHÉ


Figure 1 - Équilibre offre/demande en viande bovine en France

Le marché : divergence entre offre et demande nationale

L’engraissement : une production à part dans les élevages ...

... mais de plus en plus en expansion


LA NÉCESSAIRE MAÎTRISE DES COÛTS DE PRODUCTION

Figure 2 - Évolution en indice des coûts et des prix en engraissement bovin


La flambée des prix change la donne

Comment améliorer le niveau de compétitivité


Encadré - La méthode de calcul du coût de production en viande bovine

Figure 3 - Les principaux leviers pour améliorer l’efficacité économique

Figure 4 - Les différents indicateurs de coûts de production : les critères retenus dans la démarche



LES COÛTS DE PRODUCTION EN ENGRAISSEMENT :
étude d’un groupe d’éleveurs des réseaux d’élevage


Tableau 1 - Évolution des exploitations d’engraissement

Tableau 2 - Évolution des performances des exploitations d’engraissement

Tableau 3 - Variabilité des coûts de production et de rémunération
en atelier d’engraissement (27 élevages)

Figure 5 - Les coûts de production en atelier d’engraissement (27 élevages)

Figure 6 - Coût de production en €/100 kg vif
selon les conduites alimentaires


CONCLUSION : PLUSIEURS FAÇONS D’ÊTRE PLUS COMPÉTITIF


Mots clés :
Bovins, économie, taurillons, engraissement, commerce, coûts, production, consommation

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4
DOSSIER : Maîtrise sanitaire de l’élevage en lot : jeunes bovins et taurillons
résumé et plan de l'article

Les affections des bovins

en engraissement :

tour d’horizon des principales maladies

rencontrées



Marie-Anne Lefol, Sébastien Assié
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Dans un contexte économique de reprise des cours de la viande, un nouvel intérêt des producteurs apparaît pour l’engraissement de bovins, notamment celui de jeunes bovins.

L’objectif de cette production est de réaliser le meilleur gain de croissance par jour en conformité avec les exigences du marché, tout en limitant les intrants et les sources de contre performances.

Dans la majorité des cas, l’engraissement de bovins se fait à partir d’animaux nés sur l’exploitation et d’achats extérieurs. Les 10 premiers jours suivant la phase d’allotement est la source de tous les risques sanitaires. Les maladies respiratoires dominent avec 78 p. cent de prévalence, devant les atteintes locomotrices, digestives et alimentaires. L’impact économique est variable en fonction de la gravité des signes cliniques, les atteintes subcliniques sont souvent sous-évaluées.



L’ensemble des interventions curatives doit être mis en place le plus précocement possible, en intégrant le pronostic économique de l’animal et les modalités de réalisation des traitements.

L’ensemble des maladies sont multi-factorielles. Elles exigent la mise en place de plans de lutte intégrés adaptés à l’exploitation. Les mesures préventives actuellement employées sont perfectibles notamment en termes de gestion du logement, de l’alimentation, de l’abreuvement et de la régie de l’atelier.

La mise en place de vaccination précoce notamment contre les affections respiratoires est une perspective prometteuse dans un contexte d’économie de filière et de rationalisation de l’utilisation des antibiotiques.



















.



Mots clés :
Bovins, maladies infectieuses,
maladies contagieuses, taurillons, engraissement, affections respiratoires, affections locomotrices, alimentation, affections digestives, vaccination, économie.


LES MALADIES RESPIRATOIRES SONT LES PLUS FRÉQUENTES

Figure 1 - Dans les ateliers d’engraissement : un schéma étiologique complexe

L’impact économique varie selon l’intensité des signes cliniques

Tableau 1 - Les effets des troubles de santé respiratoires et autres,
de la mise en lot à l’abattage sur les GMQ , selon plusieurs paramètres :
la durée d’engraissement, le poids vif à l’abattage, le poids et la conformation de la carcasse chez les 810 jeunes bovins à performances connues


Tableau 2 - Effets sanitaires, zootechniques et économiques :
simulation de situations sanitaires dégradées pour une exploitation-type
exprimés en déviation par rapport à la situation d’incidence faible


Les stratégies sanitaires curatives

Un traitement précoce

Choisir le protocole de soins

La prévention des maladies respiratoires :
comment gérer des facteurs de risques à la mise en lot


Les logements d’accueil des jeunes bovins

Le suivi sanitaire et zootechnique

La vaccination

LES AFFECTIONS DE L’APPAREIL LOCOMOTEUR

Les atteintes des membres et du dos :
entorses, luxation, déchirure musculaire, fractures

Les atteintes articulaires, primaires et secondaires

Les atteintes du pied : une dominante, le phlegmon interdigité,
ou panaris suivie par une fourbure aiguë à subaiguë

Comment prévenir ces affections de l’appareil locomoteur


LES DÉSORDRES D’ORIGINE DIGESTIVE ET ALIMENTAIRE

L’acidose ruminale subaiguë


Figure 2 - Synthèse des conséquences de l’acidose ruminale

La météorisation

L'entérotoxémie

La polioencéphalomalacie ou nécrose du cortex

Prévention des troubles d’origine alimentaire


Encadré 1 - L’abreuvement des jeunes bovins

La complémentation en minéraux et en vitamines

Tableau 3 - Valeur approximatives des quantités totales d’eau ingérées
par un jeune bovin en kg, par kg de (MSI)


Ostéodystrophies

3 Le rachitisme

L’ostéochondrose ou dyschondroplasie

Urolithiases

L’amaurose

Les carences en minéraux majeurs, les oligo-éléments

Les intoxications

LES AFFECTIONS PARASITAIRES

La teigne

La gale

Les poux

Le parasitisme interne


CONCLUSION



8 photos illustrent cet article.



parcours


Lefol
Marie-Anne Lefol

Marie-Anne Lefol est docteur vétérinaire production ruminants pour le groupe Terrena, au sein d’une équipe
de vétérinaires responsable du suivi et de l’accompagnement sanitaire
pour la prévention et la résolution des maladies collectives
des adhérents du groupe. Cette équipe intervient également
dans les formations de l’ensemble des équipes techniques du groupe
et la réalisation de programme de recherche et d’essais terrain,
notamment dans le cadre de l’AEI (agriculture écologiquement intensive).


2007 : Diplômée de l’Ecole vétérinaire de Nantes (Oniris), prix de thèse médaille de bronze.
2008 : Diplômée de l’internat en médecine de des animaux d’élevage, Ecole nationale Vétérinaire de Nantes.
2008-2011 : Vétérinaire praticienne libérale en activité mixte à dominance rurale à Mauléon (79).
Depuis 2011 : Vétérinaire de production ruminants (bovins, ovins et caprins) au sein du groupe Terrena.





Assié
Sébastien Assié



1997 : Diplômé de l’École vétérinaire de Toulouse (ENVT)
diplômé de l’ECBHM (European College of Bovine Health and Management)
maître de conférences en médecine des animaux d’élevage à Oniris - École nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’Alimentation Nantes-Atlantique, département dans lequel il a également la responsabilité de l’hospitalisation des animaux d’élevage.
Depuis 2006 : Rédacteur en chef scientifique du NOUVEAU PRATICIEN vétérinaire élevages et santé


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DOSSIER : Maîtrise sanitaire de l’élevage en lot : jeunes bovins et taurillons
résumé et plan de l'article

L’acidose ruminale subaiguë dominante

en pathologie nutritionnelle

des bovins à l’engraissement



Francis Enjalbert
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L’acidose subaiguë est la maladie nutritionnelle la plus fréquente en élevage de bovins à l’engraissement, les impératifs zootechniques conduisant à l’utilisation de rations riches en énergie sous forme de concentrés.

De façon plus fréquente que chez des vaches laitières, elle est souvent associée à de la météorisation, des abcès hépatiques ou une nécrose du cortex cérébral.
La prévention passe par la gestion des facteurs de risque que sont les transitions alimentaires trop rapides, les rations riches en amidon rapidement fermentescible, le manque de fibres longues et la prise de gros repas.






















Mots clés :
Bovins, nutrition, affections nutritionnelles, affections métaboliques, acidose, rumen, engraissement, météorisation, abcès, nécrose du cortex, acides gras


ACIDOSE DES BOVINS À L’ENGRAISSEMENT ET MALADIES ASSOCIÉES

La météorisation

Les abcès hépatiques

La nécrose du cortex cérébral ou polioencéphalomalacie

COMMENT GÉRER LE RISQUE D’ACIDOSE RUMINALE SUBAIGUË

Organiser la transition alimentaire

Maîtriser la production d’acides gras volatils (AGV)


Encadré - Vitesse de fermentation des glucides

Figure - Dégradation ruminale de différentes céréales et conséquences sur le pH ruminal

Permettre aux animaux de faire de nombreux petits repas

La production de salive


CONCLUSION



2 photos illustrent cet article.



Parcours
auteur
Francis Enjalbert est docteur vétérinaire, PhD,
Diplomate de l’European College of Veterinary
and Comparative Nutrition (ECVCN).
Il est professeur de Nutrition et alimentation animales à l’Institut national polytechnique de Toulouse - École nationale vétérinaire de Toulouse (INPT-ENVT)


1980 : Diplômé de l’école nationale vétérinaire de Toulouse (ENVT)
1981 : Doctorat vétérinaire, Université de Toulouse
1985 : Agrégé des écoles nationales vétérinaires en Alimentation animale
1994 : Doctorat de l’Institut national polytechnique de Toulouse, spécialité Productions animales et Qualité des denrées.
Depuis 1982 : Maître-assistant, Maître de Conférences, puis Professeur à l’ENVT


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DOSSIER : Maîtrise sanitaire de l’élevage en lot : jeunes bovins et taurillons
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Prévalence des infections par le BVD

en ateliers d’engraissement



Didier Raboisson, Simon Chabalgoïty, Grégory Pons, Frédéric Lemarchand
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LA PRÉVALENCE DES IPI EN ATELIER D’ENGRAISSEMENT


Tableau 1 - Prévalence de jeunes bovins infectés permanents immunotolérants (IPI) dans différents pays

Tableau 2 - Prévalence de veaux infectés permanents immunotolérants (IPI) aux USA


SÉROPRÉVALENCE INITIALE, SÉROCONVERSION ET CIRCULATION VIRALE

Tableau 3 - Séroprévalence à l’allotement et séroconversion au BVDV des jeunes bovins

LA DYNAMIQUE DE CONTAMINATION DU BVD

Essais :


1er essai

2e essai

CONCLUSION



2 photos illustrent cet article.



Mots-clé :
Bovins, maladies infectieuses, économie, taurillons, engraissement, BVD, contamination, allotement, prévalence.



Parcours
Raboisson
Didier Raboisson est maître de conférences
à l’École nationale vétérinaire de Toulouse (ENVT)

2004 : Diplômé de l’ENVT
2003-2004 : Assistant en clientèle Charolaise (Dr André Meyus, Montmarault, 03)
2004 : Docteur Vétérinaire
2004-2005 : Internat en Clinique des Ruminants (Pathologie des Ruminants, ENVT)
2005-2011 : Résident en Gestion de la Santé des Bovins (Pathologie des Ruminants, ENVT)
2007 : Master Ruralité et dynamiques territoriales à l’Institut National Polytechnique de Toulouse
2008-2011 : Doctorant d’Université à l’Institut National Polytechnique de Toulouse
2011 : Doctorat d’Université à l’Institut National Polytechnique de Toulouse
2011 : Spécialiste Européen en Gestion de la Santé des bovins (European College of Bovine Health Management Diplomate)


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DOSSIER : Maîtrise sanitaire de l’élevage en lot : jeunes bovins et taurillons
résumé et plan de l'article

Impact du BVD sur les résultats

sanitaires et zootechniques



Didier Raboisson, Simon Chabalgoïty, Grégory Pons, Frédéric Lemarchand
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CIRCULATION VIRALE DE BVD ET TROUBLES RESPIRATOIRES

Risque élevé de maladies respiratoires chez les animaux IPI

Risque élevé de maladies respiratoires chez les animaux non IPI mais exposés


Tableau 1 - Relation entre séroprévalence à l’entrée, séroconversion
et risque de traitements respiratoires dans les études menées au Canada


Moins de troubles respiratoires chez les animaux initialement séropositifs

Séroconversion augmente le risque de troubles respiratoires

Maladies respiratoires et circulation virale de BVD identifié par présence de virus

Maladies respiratoires et circulation virale de BVD identifié par présence d'IPI dans le lot


Encadré 1 - Certains essais n’évaluent qu’indirectement la circulation virale de BVD

Pas de lien troubles respiratoires circulation de BVD dans certains essais

Tableau 2 - Relation entre présence d’un IPI dans le lot et risque de troubles respiratoires


Lésions pulmonaires et BVD

Essais d'explications physiopathologiques du lien circulation virale du BVD
et troubles respiratoires

CIRCULATION VIRALE ET MORTALITÉ


La mortalité précoce des IPI

Risque de mortalité élevée des animaux non IPI lors de circulation virale

CIRCULATION VIRALE DE BVD ET LE GAIN MOYEN QUOTIDIEN (GMQ)

La performance zootechnique des IPI est dégradée

GMQ et circulation virale de BVD : une relation ambiguë


Tableau 3 - Relation entre présence d’un IPI dans le lot et risque de mortalité

Tableau 4 - Relation entre présence d’un IPI dans le lot et risque de mortalité
en ateliers d’engraissement

Encadré 2 - Circulation virale et GMQ : des résultats discordants


CIRCULATION VIRALE DE BVD ET QUALITÉ DE CARCASSE

CONCLUSIONS




2 photos illustrent cet article.


Mots-clé :
Bovins, maladies infectieuses, économie, taurillons, engraissement, BVD, contamination, allotement, prévalence, vaccination, affections respiratoires, virus, mortalité, gains, qualité


Parcours
Raboisson
Didier Raboisson est maître de conférences
à l’École nationale vétérinaire de Toulouse (ENVT)

2004 : Diplômé de l’ENVT
2003-2004 : Assistant en clientèle Charolaise (Dr André Meyus, Montmarault, 03)
2004 : Docteur Vétérinaire
2004-2005 : Internat en Clinique des Ruminants (Pathologie des Ruminants, ENVT)
2005-2011 : Résident en Gestion de la Santé des Bovins (Pathologie des Ruminants, ENVT)
2007 : Master Ruralité et dynamiques territoriales à l’Institut National Polytechnique de Toulouse
2008-2011 : Doctorant d’Université à l’Institut National Polytechnique de Toulouse
2011 : Doctorat d’Université à l’Institut National Polytechnique de Toulouse
2011 : Spécialiste Européen en Gestion de la Santé des bovins (European College of Bovine Health Management Diplomate)


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PORCS - La visite d’élevage en production porcine
résumé et plan de l'article

5. les contaminants infectieux

et parasitaires

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Arlette Laval


Les contaminants en élevage porcin peuvent être divisés en trois catégories : les agents de maladies réglementées, désormais qualifiés de dangers sanitaires de catégorie 1, les contaminants à l’origine de pertes économiques sévères avec une forte mortalité et les agents d’infections enzootiques, cliniquement moins sévères mais à l’origine de lourdes pertes économiques.
Les maladies réglementées comportent surtout des infections virales : Fièvre aphteuse, Pestes porcines, Maladie d’Aujeszky, Maladie de Teschen, mais aussi la Brucellose et la Salmonellose à Salmonella choleraesuis.

Les pertes économiques sévères sont le fait du virus SDRP, du PCV2 et, dans une moindre mesure des virus grippaux, d’Actinobacillus pleuropneumoniae, des colibacilloses, de la streptococcie à Streptoccus suis dans leurs formes aiguës.


Les infections enzootiques à expression clinique moins sévères (Mycoplasma hyopneumoniae, pasteurelles et bordetelles, Lawsonia intracellularis, leptospiroses,…) provoquent des retards de croissance très coûteux qui désorganisent la conduite d’élevage. Le rôle du vétérinaire est crucial à tous les étages de la production.

En sélection et en multiplication, il doit établir l’inventaire des contaminants et choisir les tests à mettre en œuvre, l’échantillonnage et la fréquence des contrôles.

En production, l’examen clinique et nécropsique oriente le diagnostic qui doit être confirmé par le laboratoire et être complété par un "monitoring" permettant de suivre la chronologie de l’infection afin de mettre en place prévention et traitement dans les meilleures conditions d’efficacité.



Mots-clés :
Zootechnie, maladies infectieuses, maladies contagieuses, contamination, conduite d'élevage, économie, coûts, examens complémentaires


LES CONTAMINANTS ET LEUR IMPACT SUR LA PRODUCTION

Les agents de maladies réglementées

La démarche en cas de suspicion

Les contaminants, à l’origine de pertes économiques directes sévères

Les maladies enzootiques et leurs manifestations cliniques


Tableau - Notion d’agent ”initiateur” et “suiveur”

LA PYRAMIDE DE PRODUCTION : COMMENT MAÎTRISER LES CONTAMINANTS

Comment maîtriser la situation sanitaire en sélection


Les tests sérologiques

Le contrôle obligatoire

Comment maîtriser la situation sanitaire en élevages de multiplication

Comment maîtriser la situation sanitaire en production

Diagnostic clinique

Les examens complémentaires pour corriger ou pour clarifier le diagnostic

La cinétique de l’infection et l’intensité de la pression infectieuse

Le diagnostic histologique et les autres examens

CONCLUSION




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COMPRENDRE ET AGIR - ÉPIDÉMIOLOGIE
résumé et plan de l'article

Un épisode d’agalactie

d’une ampleur inhabituelle

chez des brebis dans l’est de la france


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Julien Anderbourg, Antoine Dumont, Pascal Messin, Jean-Denis Bailly,
Didier Calavas, Kristel Gache


Durant l’hiver 2012, de nombreux cheptels ovins des régions Alsace et Lorraine ont été confrontés à un épisode sévère de baisse importante, voire d’une absence totale de montée de lait après agnelage.

Un groupe de travail (réunissant l’Ecole vétérinaire de Toulouse, la Plateforme d’épidémiosurveillance en santé animale (Plateforme ESA), des vétérinaires ruraux des groupements techniques vétérinaires (GTV) 54 et 57, GDS France et les GDS des régions Alsace et Lorraine) a rapidement mis en place un cadre d'investigations.

Les différentes investigations et analyses réalisées dans 17 élevages atteints d’agalaxie ont établi un diagnostic d’intoxication par des mycotoxines.

Les résultats de recherche de mycotoxines présentes dans les rations distribuées aux brebis ont montré de fortes teneurs en alcaloïdes de l’ergot, associées ou non à d’autres mycotoxines (trichothécènes) en quantité importantes dans les céréales produites sur la ferme et/ou les aliments du commerce.


Comme la principale observation faite sur les brebis était une absence de colostrum suivie de la mise en place progressive de la lactation, les alcaloïdes de l’ergot sont la cause la plus probable de l’épisode.

En effet, ces derniers inhibent la sécrétion de prolactine, indispensable au développement mammaire et à la mise en place de la lactation.

Le phénomène a rapidement disparu dans les élevages qui ont arrêté les aliments incriminés ou qui ont ajouté des capteurs de mycotoxines.

L’hypothèse des aléas climatiques peut expliquer le caractère localisé et exceptionnel de ce phénomène. Suite à la vague de froid de février 2012, la Lorraine et l'Alsace ont connu d'importants dégâts dus au gel de cultures, pouvant aller localement jusqu’à la destruction de 70 à 80 % de parcelles de blé.

En parallèle, la protection fongicide a été souvent insuffisante pour des blés dont la production semblait compromise et, à la faveur de l’humidité au moment de la floraison, la fusariose s’est installée avec une production intense de mycotoxines.






Mots-clé :
Ovins, épidémiologie, toxicologie, affections mammaires, intoxications, agalactie, mamelles, agnelage, mycotoxines, examens complémentaires, alcaloïdes




DESCRIPTION CLINIQUE ET ÉPIDÉMIOLOGIQUE

ENQUÊTES ÉPIDÉMIOLOGIQUES EN ÉLEVAGE


Figure 1 - Distribution géographique des 39 élevages ovins ayant rapporté
des cas d’agalactie à la mise bas au cours de l’hiver 2012-2013


De bons résultats techniques
mais des pertes d’agneaux importantes

Relation avec l’infection par le virus de Schmallenberg
(sous sa forme congénitale) exclue

Des rations équilibrées pour une bonne préparation à l’agnelage

Des gestions sanitaires différentes mais cohérentes

INVESTIGATION DES CAUSES POSSIBLES


Encadré 1 - Les examens complémentaires réalisés sur les brebis atteintes

Encadré 2 - Pour l’analyse des mycotoxines : démarche et résultats


DISCUSSION

L’intoxication par des mycotoxines


Arrêter les aliments incriminés ...

... ou ajouter des capteurs de mycotoxines

Les conditions climatiques expliquent la présence massive des mycotoxines


Figure 2 - Estimation des proportions de surfaces en céréales détruites
(orge d’hiver, blé d’hiver) en pourcentages, au 9/03/2012
et distribution géographique des 39 élevages ovins
ayant rapporté des cas d’agalactie à la mise bas au cours de l’hiver 2012-2013


La toxicité des alcaloïdes

Figure 3 - Proportion de brebis atteintes d’agalactie
en fonction de la quantité d’alcaloïdes de l’ergot ingérée


Retour d’expérience

CONCLUSION




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parcours


Anderbourg
Julien Anderbourg

Julien Anderbourg est technicien,
responsable du Pôle Terrain du GDS 54.
Il a une activité de conseil en santé animale en élevages bovins et ovins,
essentiellement au travers d’audits d’élevages qu’il réalise en étroite
collaboration avec le Dr Jean-Pierre Bailly (GTV 54) mais aussi de visites,
de réunions et de formations auprès des éleveurs.

Anciennement responsable d’un secteur géographique
durant cinq années, c’est après une expérience d’un an en élevage
charolais dans le but de reprendre une exploitation agricole
qu’il revient finalement au GDS pour devenir responsable du service
technique (Pôle Terrain) en charge de la gestion et la formation
de l’équipe des techniciens, responsable de la section ovine du GDS
mais aussi porteur de projets (développement des audits entérites
néonatales, mise en place du plan avortements en série, dynamisation
de la section ovine, ...).

2001 : BTSA Productions Animales
2001-2004 : Responsable certification IBR au sein du GDS 54
2004-2009 : Technicien de secteur polyvalent (GDS 54) ;
mise en place des formations éleveurs infirmiers
2009-2010 : Eleveur en Saône et Loire
2010-2013 : Responsable Pôle Terrain (GDS 54)





Dumont
Antoine Dumont

Antoine Dumont est technicien polyvalent au GDS 57.
Il a une activité de conseil en santé animale à destination d’éleveurs de bovins et d’ovins en étroite collaboration
avec les vétérinaires praticiens.

Coordonnateur des actions ovines régionales, il est responsable
des journées de formations auprès des éleveurs, des actions liées
à la bonne utilisation des médicaments vétérinaires (enregistrement
et valorisation des interventions, élimination des déchets d’activités
de soins à risques infectieux, …).
Il est le référent départemental pour le module sanitaire du site EstElevage.
De plus, il encadre l’installation des jeunes exploitants par des audits
en élevage et des interventions régulières auprès de lycées agricoles
et de centres de formations.

Au sein d’une équipe, il participe au suivi des maladies sous certification (IBR) et à la lutte contre des maladies non réglementées
(BVD-bovine viral disease, paratuberculose,…).
Depuis deux ans, il participe aux travaux d’éradication de la BVD menés par les GDS de Lorraine.


2003 : BTSA Production Animales à Vendôme (41)
2004 : Licence Professionnelle Ingénierie du Conseil en Entreprise Agricole à Saint-Lô (50)
2004 : Technicien au GDS de Moselle (57)





Gache
Kristel Gache

Kristel Gache est vétérinaire épidémiologique à GDS France
et membre de l’équipe opérationnelle de la Plateforme nationale d’épidémiosurveillance en santé animale (Plateforme ESA)


2007 : Diplômée de l’école nationale vétérinaire de Toulouse
Thèse de Doctorat vétérinaire, Université Paul Sabatier, Toulouse
2007-2009 : Vétérinaire praticien 2009-2010 : Master 2 "Surveillance épidémiologique des maladies humaines et animales" (Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort, Paris XI, Paris XII)
2010-2012 : Coordinatrice scientifique du projet COMPAQH-HPST (Unité Inserm U988)
Depuis 2012 : Vétérinaire épidémiologiste à GDS France

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10
COMPRENDRE ET AGIR - ENJEUX ÉCONOMIQUES
résumé et plan de l'article

Quel avenir

pour la filière apicole française ?


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Christophe Roy, Pierre Sans


La filière apicole souffre de pertes massives de colonies d’abeilles et d’une diminution régulière du nombre d’apiculteurs.

Ces baisses d’effectifs pourraient, à long terme, la mettre en péril.

Les mortalités de colonies d’abeilles, dont les causes sont probablement multiples et parfois synergiques, nuisent à l’économie de la filière.

Une remise en question semble nécessaire pour que l’apiculture, au cœur de multiples enjeux, retrouve un avenir prometteur.


En France, les principales propositions du plan de développement d’octobre 2012 pour “une filière apicole durable“ vont dans ce sens :

- améliorer l’état sanitaire du cheptel apicole ;
- rendre l’environnement compatible avec l’apiculture ;
- aider la recherche fondamentale ;
- développer la formation des apiculteurs ;
- organiser la filière, …











Mots clés :

Économie, apiculture, filière, abeilles, miel, mortalités



LE CONTEXTE : ÉTAT DES LIEUX DE LA FILIÈRE APICOLE FRANÇAISE

Le cheptel apicole


Encadré 1 - Des chiffres variables selon le périmètre retenu

Figure 1 - La répartition régionale du nombre de ruches et d’apiculteurs


Tableau 1 - L’évolution du nombre d’apiculteurs, de ruches et de la production de miel en France entre 1994 et 2010

L’économie de la filière apicole

Encadré 2 - Les différentes productions de la filière apicole

Un état sanitaire non satisfaisant

Des causes de mortalité des abeilles plurifactorielles

Les abeilles, victimes des parasites

Un encadrement sanitaire insuffisant

DES ENJEUX MULTIPLES ET IMPORTANTS

Des enjeux politiques

Des enjeux économiques et sanitaires


Figure 2 - Vulnérabilité des agricultures nationales en Europe
face à une disparition des insectes pollinisateurs


Une urgence : la prise en compte de la préservation de l’environnement

LES PROPOSITIONS POUR UNE FILIÈRE APICOLE DURABLE

Améliorer l’état sanitaire du cheptel apicole

Développer l’élevage

Améliorer l’environnement des abeilles

Sécuriser la profession d’apiculteur


Figure 3 - Profil socio-professionnel des apiculteurs français en fonction du nombre de ruches

CONCLUSION



4 photos illustrent cet article.



Parcours

Christophe Roy

Christophe Roy est docteur vétérinaire, et praticien exerçant en libéral à Riom-es-Montagnes dans une clientèle mixte à dominante rurale. Il est président de la commission apicole de la SNGTV.

1997 : Diplômé de l’école nationale vétérinaire de Toulouse (ENVT)
1998 : Assistant en pathologie du Bétail de l’ENVT
1999 : Doctorat Vétérinaire, Université de Toulouse
Depuis 2000 : Praticien libéral en clientèle mixte
2008 : Diplôme Inter-Ecole "Apiculture – Pathologie Apicole" Oniris/ENVA



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FMC Vet - formation médicale continue - ÉTUDE DE CAS
résumé et plan de l'article

Décubitus postpartum

associé à une hyperglycémie

provoquée par une intoxication à l’urée

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Florent Perrot


Un cas d’intoxication accidentelle par l’urée d’une vache adulte Prim’Hosltein est présenté.
Le mécanisme physiopathologique de l’intoxication, le tableau clinique et les bases du diagnostic sont rappelés.

Les modifications biochimiques concomitantes sont discutées.
Enfin un traitement est proposé.









Mots clés :

Toxicologie, biochimie, intoxication, urée, azote non protéique,
vache couchée, hyperglycémie



HYPOTHÈSES DIAGNOSTIQUES

Tableau 1 - Résultats de la bandelette urinaire
(Siemens Multistix 10 SG®)


TRAITEMENT

LES EXAMENS SANGUINS COMPLÉMENTAIRES


Tableau 2 - Biochimie sanguine (veine jugulaire, lithium héparine)

ÉVOLUTION

DISCUSSION


Présentation clinique

Les troubles biochimiques associés

Traitement


CONCLUSION



3 photos illustrent cet article.


Parcours
Perrot
Florent Perrot


2005-2009 : Etudes vétérinaires à l'ENVA
2009-2010 : Interne en clinique des ruminants à l'ENVT
2010-2011 : Chargé de consultation en clinique des ruminants à l'ENVT
2011 : Diplôme d'Ecole "Nutrition et alimentation de la vache alimentation de la vache laitière" ENVT
2011-2013 : Salarié de la clinique vétérinaire de Formerie (60)
2013 : Salarié du cabinet vétérinaire de Saint-Flour (15)



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TEST CLINIQUE
résumé et plan

Dilatation abdominale

et amaigrissement chronique -

chez une vache laitière


Guillaume Lemaire, Florent Perrot,
Olivier Salat


Découvrez l'article en cliquant ici



Une vache laitière présente quelques mois après son vêlage une baisse d'appétit ainsi que de sa production laitière. L'éleveur entreprend un traitement pour "corps étranger". Celui-ci étant sans effet une laparotomie exploratrice est effectuée.

A l'ouverture, de nombreux nodules sont observés sur plusieurs organes abdominaux. Un processus tumoral étant suspecté, l'animal est euthanasié.

La nécropsie révèle que les nodules sont présents sur la quasi totalité des organes abdominaux et thoraciques. Une analyse histologique confirme la nature tumorale de ces nodules. Elle indique même la présence de deux processus tumoraux : un mésothéliome et un adénocarcinome.

Les bovins sont rarement atteints d'affections tumorales, seules 1 p. cent de celles ci sont des mésothéliomes. Les mésothéliomes touchent de nombreuses espèces, dont l'homme ; une relation avec l'amiante a été mise en évidence chez ce dernier. Chez les bovins, l'origine de ce type de tumeur reste inconnue.

Le diagnostic clinique n'est pas aisé, il repose surtout sur l'exclusion des autres causes de syndrome d'Hoflund, de distension abdominale, et d'épanchement abdominal. Quelques examens complémentaires peuvent orienter le diagnostic : paracentèse, numération formule sanguine, biochimie, échographie. La laparotomie et l'histologie permettent de confirmer le diagnostic.





















Mots clés :
Filière ruminants, bovins, cancérologie, chirurgie, anatomie pathologique, mésothéliome, Hoflund, épanchement



PLAN DE L'ARTICLE


1. La laparotomie peut-elle permettre d’orienter le diagnostic ?

2. Comment peut-on préciser le diagnostic après laparotomie ?



DISCUSSION

Données épidémiologiques

Données diagnostiques et cliniques


Encadré - Analyse histologique des lésions hépatiques

CONCLUSION


6 photos illustrent cet article


Parcours
Guillaume Lemaire est docteur vétérinaire,
et praticien à Saint-Flour dans le Cantal.


2008 : Diplômé de l'école nationale vétérinaire de Toulouse



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Sauter N°24, volume 6, 2013

N°24, volume 6, 2013

Sauter Sommaire

Sommaire


Éditorial Pierre Sans
Test clinique - Dilatation abdominale et amaigrissement chronique chez une vache laitière Guillaume Lemaire, Florent Perrot, Olivier Salat

ACTUALITÉS EN PERSPECTIVE
- Chronique - La nouvelle catégorisation des maladies animales
et ses conséquences

Zénon
- Questions et réponses sur le virus de Schmallenberg,
sa répartition et sa prévention
Stéphan Zientara
- Actualités en perspective - Un foyer de maladie congénitale
liée au virus de Schmallenberg en troupeau ovin allaitant
Complément disponible
Valérie Wolgust, Hélène Benoit-Valiergue


RUMINANTS
Dossier

- Jeunes bovins (taurillons) en France :
panorama de la production et stratégies d’exportation
Complément disponible
Pierre Sans
- Production de viande bovine et engraissement en France :
être plus compétitif pour mieux répondre aux nouvelles attentes du marché

Patrick Sarzeaud
- Les affections des bovins en engraissement :
tour d’horizon des principales maladies rencontrées

Marie-Anne Lefol, Sébastien Assié
- L’acidose ruminale subaiguë dominante en pathologie nutritionnelle des bovins à l’engraissement
Francis Enjalbert
- Prévalence des infections par le BVD en ateliers d’engraissement
Didier Raboisson, Simon Chabalgoïty, Grégory Pons,
Frédéric Lemarchand, François Schelcher

- Impact du BVD sur les résultats sanitaires et zootechniques
Didier Raboisson, Simon Chabalgoïty, Grégory Pons,
François Schelcher


PORCS
- La visite d’élevage en production porcine :
5. les contaminants infectieux et parasitaires

Arlette Laval


COMPRENDRE ET AGIR
- Épidémiologie - Un épisode d’agalactie d’une ampleur inhabituelle chez des brebis dans l’est de la france Complément disponible
Julien Anderbourg, Antoine Dumont, Pascal Messin,
Jean-Denis Bailly, Didier Calavas, Kristel Gache

- Enjeux économiques - Quel avenir pour la filière apicole française ? Complément disponible
Christophe Roy, Pierre Sans


FMC Vét - formation médicale continue vétérinaire
- Étude de cas - Décubitus postpartum associé à une hyperglycémie provoquée par une intoxication à l’urée
Florent Perrot

- Revue de presse internationale - Nicolas Herman
- Thérapeutique - Traitement des diarrhées néonatales : l’utilisation d'un anti-inflammatoire non stéroïdien :
quels effets sur les performances du veau
- Bactériologie/médecine comparée - Staphylocoques isolés du lait : la prévalence des gènes codant les entérotoxines

Test clinique - Les réponses